Longue journée. Stressante. À courir un peu dans tous les sens. Et, quand elle passe devant le bureau de Nika, elle se dit qu’elle ne pourrait pas y arriver sans elle. Qu’elle la regrettera fort quand elle aura terminé ses études et qu’elle sera sa collègue au lieu d’être sa secrétaire. Ce soir encore, elles font des heures sup’. Gros dossier. Sur lequel elle pourrait certainement se concentrer plus efficacement si elle n’était pas obnubilée par l’idée qu’elle est peut-être en train de faire une erreur, en ayant accepté d’épouser Ethan. Elle n’en sait rien. C’est juste que tout ça est un peu en train de lui échapper des mains. On prend déjà des décisions pour elle. Et son téléphone qui sonne presque toutes les dix minutes depuis qu’il est passé 18h parce qu’Ethan trouve qu’elle travaille trop. Qu’elle devrait rentrer à la maison au plus vite.
D’ailleurs, il lui a dit hier soir qu’il préfèrerait qu’elle arrête de travailler une fois qu’ils seront mariés. Qu’elle reste à la maison. Il n’a pas dit pour t’occuper des gosses et Jill ne sait même pas si c’est le but. Ils n’en ont pas beaucoup parlé des enfants, même si elle se souvient qu’il lui a dit qu’il ne voyait pas sa vie sans enfants. Oui, maintenant qu’elle y pense, il n’a pas dit qu’il voulait des enfants. Il a dit qu’il ne voyait pas sa vie sans. Peut-être parce que c’est ce qui est attendu de lui, d’eux, qu’ils fassent de beaux petits enfants blonds pour faire plaisir à tout le monde et continuer la lignée. Merde, elle n’a jamais pris le temps de réfléchir vraiment à si elle, elle en voulait des enfants.
Quoi qu’il en soit, il est maintenant 20h et après un ultime SMS d’Ethan, elle décide qu’elle ne rentrera pas à la maison ce soir. Qu’il aille se faire foutre, elle fait encore ce qu’elle veut non ? Enfin, le plan qui se forme dans son esprit n’est pas non plus celui d’une rebelle tatouée : elle prévoit d’aller passer la soirée chez Nika qui, rappelons-le, occupe l’appartement juste au-dessus du leur. Et puis, elle lui demande quand même l’autorisation avant. Good girl.
Quoi qu’il en soit, elle attrape deux verres et une bouteille de whisky et vient s’asseoir sur le bureau de Nika. Elle remplit les deux verres, soupire et en tend un à son amie. « Nika, je saurais jamais assez te remercier de faire toutes ces heures sup’ avec moi. T’es vraiment pas obligée. » Elle sait que c’est toujours mieux de bosser pour elle que pour le gros tordu qu’elle avait comme boss avant mais elle n’aime vraiment pas l’idée de l’exploiter. C’est son amie avant d’être sa secrétaire. D’ailleurs, ce soir, c’est bien de son amie dont elle a besoin. « D’ailleurs, t’as pas vraiment fini ta journée, chérie. J’ai besoin d’une soirée fille. Dis-moi que t’es dispo, Ethan a déjà dit oui. » Elle sourit, bois une gorgée de whisky et grimace un peu. Ça a beau être l’alcool que les avocats partenaires boivent dès qu’ils en ont l’occasion, c’est amer ce truc. « On va chez toi ? On prend ma voiture ? » Jill, des fois, elle agit un peu comme une princesse, le genre qui dicte ses désirs, agissant comme si Nika avait le choix alors que la décision est déjà prise. « S’il-te-plait. », elle ajoute dans une petite moue, les yeux implorant. Elle n’a vraiment pas envie de rentrer chez elle et Ethan ce soir.
Sujet: Re: kids in amercia (nika) Lun 10 Juin - 17:56
kids in america.
Tu bosses comme une acharnée, tu pourrais y passer ta vie à te battre pour certain dossier et autant dire que le dossier sur lequel bosse Jill c’est exactement ce style. Le besoin d’aider les autres et aussi de fuir la maison qui est tienne à présent depuis un an, toi coincée dans une vie qui n’est pas pour toi. Pas ta vie, pas celle dans laquelle tu devrais être. Tu voudrais récupérer l’insouciance dans laquelle t’avais laissé ta abuela, prétendre que tu étais une enfant de l’Amérique. Alors que tu es mexicaine. Tu n’en savais rien. Tu ne savais rien et tu as du dire : je le veux, comme ça sans même avoir le droit à l’’amour, t’avais pas droit à ça, pas droit de vivre ton, tes rêves. C’est fini. Et tu te plains plus, tu ne peux pas le faire quand tu sais Ruben gâche sa vie pour toi. Lui a le droit d’être sur cette terre, droit de cracher dessus si cela l’arrangeait. Toi non. Surveillé, médiatisé par le public de ton mari, mari que tu aimes, mais pas de cette façon, un an que ça dure, un an que tu endures, silencieuse parfois. T’es butée princesse, t’arrive pas à lâcher prise comme il le faudrait. Continuant de mentir à ta meilleure amie, continuant de prétendre que tout va bien. Sauf à certain, car putain c’est dur de faire semblant h24. Jill elle sait tout, elle a su voir ton mensonge, su voir que plus rien n’allait dans ta vie quand tu as changé de tout au tout. Laissant les études pendant quelques mois, le temps de convoler un mariage qui n’était pas ton rêve. T’as pourtant pas de raison de te plaindre, pas de raison de pleurer, ou de vouloir tout arrêter. Car il t’a sauvé la vie Ruben, il a tendu sa main pour prendre la tienne, pour te faire sienne, alors qu’il avait une vie, il avait ce qu’il fallait sans doute. Les parents qui demandent l’enfant, pas prêt. Les histoires, les mensonges qui vous rongent, vous qui vous perdez dans cela, car à force qui a dit quoi, et à qui. La réponse n’est jamais simple à retrouver. Alors, ceux qui savent la vérité sont ta source de force, de repos. Jill, ton boulot sont ce dont tu as besoin. Toujours plus. Alors, tu bosses. Puis ça t’évite d’être seule aussi. Saccage toi au boulot, tues-toi à la tâche, car ce boulot, ce rêve de faire partie de ce système est là, même si tu te ronges de l’intérieur de briser la loi pour laquelle tu veux te battre. Pas si juste, pas si tendre. Tu le savais, mais t’avais juste envie d’aider ceux qui ne pouvaient pas survivre sans quelqu’un pour les guider. T’es devenue une cause d’espoir et de désespoir à la fois. Concentrée, donnant ton maximum, Jill posant ses fesses sur ton bureau, t’offre un sourire à la belle blonde, qui soulage tes maux d’un sourire. Tes opales qui se plongent dans les siennes alors, que tes doigts entourent le verre qu’elle t’offre. Tu le bois d’une traite le whisky, t’en as besoin, besoin de calmer la tempête qui fait rage comme toujours en toi. « Tu parles … » Que tu lances amusée. « C’est moi qui devrait te remercier d’être une acharnée du boulot, j’ai besoin de ce boulot, de m’en sortir … » Elle sait tout la belle blonde, elle sait ta vie princesse. Comme le fait que ta abuela elle n’est plus là, qu’elle s’en est allé vers le Mexique, renvoyer vers son pays, alors qu’elle aurait donné sa vie sans doute pour le pays de l’oncle sam. Un oncle Sam qui ne veut plus de toute ces personnes. De toi. Alors, faut se tenir la main, ce qu’a fait Ruben. Tu fronces les sourcils. « Jill … ce sera toujours oui, mais tu demandes vraiment la permission à Ethan ? » Que tu demandes en grimaçant. « je t’enlève à ce faux prince avec plaisir ! » toi tu lances ça en rigolant tu ne sais rien des maux qui rongent la poupée face à toi. Tu ris à ses demandes secouant la tête finissant par laisser un sourire prendre place sur ton visage. « Oui, c’est un oui … j’en ai besoin puis ruben n’est pas là, alors on est tranquille ! » Que tu lâches, sautant sur l’occasion d’une soirée entre fille, ce que tu faisais avec Jules, avec tes amies quand tu vivais avec elle, mais tout ça est fini. Ton mariage a brisé bien des choses. « Allez on y va ! » Que tu dis en faisant le tour de ton bureau et tendant la main à la belle pour qu’elle la prenne. Marchant vers l’ascenseur, tu salues Lenny qui lui commence à peine sa journée/nuit de boulot. Vous le croisez tout le temps quand vous finissez tard ainsi. « T’es garée où ? » Que tu lui demandes sachant qu’il y a le parking arrière et à l’avant, alors que l’ascenseur lui glisse vers le bas avec une douce musique qui te berce quelques minutes le temps de la descente.
Sujet: Re: kids in amercia (nika) Sam 15 Juin - 14:54
Nika termine le verre de Whisky d’une traite. Elle a l’air un peu préoccupée. Jill la couve du regard alors qu’elle est assise sur son bureau. Elle ne pourrait pas y arriver sans elle. C’est à peu près certain. Nika fait partie des raisons pour lesquelles elle se sent bien dans ce grand cabinet d’avocats un peu effrayant, remplis de gens importants. Ces derniers jours, ils semblent qu’elles aient toutes les deux besoins de beaucoup travailler pour fuir leur quotidien. Pour Jill, il s’agit d’un futur mari bien trop collant. Qui lui semble même l’être de plus en plus au fur et à mesure que le mariage se rapproche. Il n’a jamais été très partageur, il n’a jamais été une présence très discrète dans sa vie mais, ces derniers jours, il lui donne l’impression d’être partout. Alors elle fonce tête baissée dans des dossiers compliqués, épaulée de Nika, la forçant à faire des heures supplémentaires avec elle. « Tu parles …C’est moi qui devrait te remercier d’être une acharnée du boulot, j’ai besoin de ce boulot, de m’en sortir … » Jill acquiesce doucement. Parce qu’elle connaît la situation, oui. Nika qui est, elle, bel et bien enfermée dans un mariage sans amour. Tout ça pour pouvoir rester en Amérique.
Dans un sens, elle aussi, elle épouserait Ethan pour pouvoir rester dans ce monde-là. Celui de ceux qui ont des belles carrières, qu’on invite dans des cocktails chics, des galas de charité. Le gratin de New York. Elle chasse la pensée, trop morose, de son esprit. Ce soir, elles passent la soirée à deux. Ce soir, elles sont libres. « Jill … ce sera toujours oui, mais tu demandes vraiment la permission à Ethan ? » Jill hausse les épaules. Il ne lui a jamais dit non mais c’est vrai qu’elle a toujours demandé. « Je t’enlève à ce faux prince avec plaisir ! », Nika ajoute en riant. « Oui, c’est un oui … j’en ai besoin puis Ruben n’est pas là, alors on est tranquille ! » Jill se lève, grand sourire aux lèvres. C’est encore mieux si elles peuvent avoir tout l’appartement pour elles. « Tant mieux ! Ça nous fera des vacances à toutes les deux. » Pas d’hommes ce soir, merci. « Allez on y va ! » Elles se dirigent vers les ascenseurs et saluent Lenny, le gardien de nuit, au passage. Il va presque devenir un ami, celui-là, à force de le croiser en sortant trop tard du boulot. « T’es garée où ? », Nika lui demande quand elles sont dans l’ascenseur. « Devant. Première arrivée, dernière partie, tu te rends compte ? » Le parking de devant est toujours le premier à être remplis et, souvent, c’est même une façon de savoir qui est déjà là depuis tôt le matin. À partir de neuf heure et demi, les gens sont plus ou moins obligés d’investir le parking arrière.
« Je sais pas si t’as déjà vu le vrai carrosse que le faux prince m’a offert pour nos fiançailles », elle dit alors qu’elles s’avancent vers une Jaguar F-Type décapotable blanche. Épouser Ethan, c’est l’assurance de toujours avoir des jolies choses. Le luxe devenu banal. À l’intérieur, ça sent toujours la voiture neuve et le nouveau cuir. La voiture parfaite pour se sentir comme une princesse qui s’apprête à épouser un prince. Il faudrait être une enfant gâtée pour ne pas être heureuse, non ? Tu n’es qu’une enfant gâtée, Jill.
Après avoir fait vrombir le moteur, direction le Queens huppé, elle ne peut s’empêcher de demander : « Ça va avec Ruben ? La situation reste viable ? » De son point de vue, il y a bien un jour où tout va se compliquer. L’un des deux va tomber amoureux. De l’autre ou de quelqu’un d’autres. Dans un cas comme dans l’autre, ça pourrait bien faire naître des tensions. Jill ne peut cacher qu’il lui arrive de s’inquiéter pour elle mais, la plupart du temps, elle ne dit rien. Pour ne dévoiler le secret. Les murs ont des oreilles. Aucun secret n’est vraiment en sécurité quand on vit dans le Queens huppé. Le temps du trajet, cependant, les secrets sont protégés par le ronronnement de la Jaguar.
Sujet: Re: kids in amercia (nika) Sam 31 Aoû - 15:56
kids in america.
Vivre comme une inconnue dans un monde qui n’est pas tien. Violence qui découle de cette dernière, toi qui t’accroches, tu n’es pas la seule à risquer dans ce mariage, dans ce mariage blanc. Deux inconnues se promettant la plus belle promesse au monde, s’aimer à vie. Alors qu’aucun lien ne vous unissez mis à part ta abuela. Elle qui a détenu le secret tant d’année sur ton enfance, sur ta naissance sur un territoire qui n’était pas les états unis. Tu te perds dans ton travail, tu bosses pour ton amie alors ça aide, tu aimes ce que tu fais, tu vises ce métier là même. Tu veux aider les autres, tendre la main pour comprendre une justice parfois dérisoire. Parfaite petite colombe dévoilant l’espoir pour les autres, mais qui ne crois plus à son avenir. T’aimerais retrouver l’engouement que tu avais la vie, le sourire solaire éblouissant ton monde, mais il s’est éclipsé, surveillé et délogé de tes lèvres à la force de mensonge. Tes mensonges, vos mensonges qui se mélange, s’entrechoquent prouvant que le couple Jenkins n’est clairement pas doué dans les facéties, mais ce sont vos vies qui sont en jeu alors tu as cessé d’être l’eau qui éteindra le feu que l’homme à mis entre tes mains, tu cesses d’être défaitiste, t’accrochant à l’amitié que tu portes à présent à ton mari, une amitié durement gagnée, alors que tes cries, tes plaintes auraient dû le voir fuir. Princesse bornée qui aime trop la droiture et qui s’est enfoncé dans un affreux mensonge pour se sauver d’une vie qu’elle n’a connue que pendant cinq années. La abuela elle manque, elle te manque à tel point que le cœur se brise à tes pensées qui volent pour elle, tes larmes qui glissent sur ton doux visage et tu essayes de sourire. Vous avez juste dit que c’était un choix, son choix de repartir voir son pays d’origine, que vous irez la voir. Mais tout ça n’est qu’une foutu apparence, ne rien laisser douter sur votre mariage, ne rien laisser au hasard. C’est ainsi princesse, t’es devenue la parfaite petite menteuse. Celle qu’on n’imagine pas faire cela, pourtant tu l’as fait, accordant ta main, accordant ta vie dans l’illégalité. Jill elle sait tout, elle lit en toi comme dans un livre ouvert et tu en fais autant. Une amie sur qui te peu poser ta tête quand tu sens qu’elle va exploser, que tu vas perdre le contrôle d’une vie qu’en réalité tu ne contrôles plus du tout. Une soirée entre fille, te fait songer que tes amies partie te manque, Jules, qui reviendra, t’y crois. Tu ne peux pas imaginer ta vie sans cette jumelle de cœur qui t’as limite demandée de l’épouser en quittant Ruben. Mais c’était déjà fait, tu avais déjà dit oui, le dos au mur, tu n’avais pas le choix quand les hommes du service publique était à ta porte ayant déjà embarqué ta abuela. « et on les mérite clairement ces vacances en plus ! » vous deux pour une paix royale, Jill qui sera libre et toi qui n’aura pas comme mission d’apprendre un peu plus à connaître Ruben. Il y a tellement de chose à retenir ou à subir, comme sa mère qui vous parle d’enfant, tu te sens horrible à chaque fois que tes opales se déposent dans ceux de la mère de Ruben. Car t’aimerais lui dire qu’elle ne doit pas attendre cela, mais tu ne le peux pas. Tu glisses dans tes songes avant de t’enfuir de ces dernières, bien trop détestable pour le moment . L’ascenseur qui vous mène à la voiture de Jill, tu souris à ses mots. « Et on, même si en conséquence surtout toi, comme des femmes, clairement pas l’égale des hommes, encore. » Tu le vois bien que Jill se tape parfois des affaires moindres que celle que les hommes ici, tu n’es pas aveugle et elle non plus. Alors, qu’elle brillerait bien mieux la blonde à ton humble avis dans des affaires les plus durs que ce soit contre des grosses firmes ou des minorités, Jill brillerait, car elle est douée. Tu l’admires, car elle se bat et continue de se faire une place, grimpant les échelons des affaires et pourrait sans doute devenir un jour une associée avec tout ce qu’elle déploie d’énergie pour la firme. « Ouai toujours les mêmes qui vont boire des coups en jouant les hommes de Cro-Magnon … » Que tu lances tout sourire. Tu suis la belle blonde, la fatigue qui commence à s’installer, mais il va te falloir peu de temps avant de l’effacer. « Il ne se moque pas de toi le faux prince … » Que tu lâches plutôt impressionné par la jaguar la seule et unique voiture encore garée devant la boite. Tu le sais t’es pas de celle qui aime ce style de voiture, mais tu l’aimes bien avec Jill, c’est son style. T’as pas l’habitude de la richesse, encore moins d’avoir quelqu’un pour te servir à manger. Tu fais tout par toi-même, deux mondes qui s’entrechoquent dans ton mariage, mais Ruben n’oublie pas d’où il vient et cela aide à ne pas créer des disputes démoniaques entre vous. « Il fait des efforts depuis le début … j’ai été la personne exécrable … il aurait pu me foutre dehors, tout arrêter avec tous mes reproches, toutes mes moqueries sur sa personne. [/b]» [/color] Tu repenses à tout, tes mots agressifs, tes envies de fuir, car ce n’était pas toi et ce ne l’est toujours pas , à vrai dire. « Mais je pense qu’il fallait que je réalise que je pouvais tout perdre si je ne cessais pas de jouer la sorcière. » Jolie princesse au caractère de sorcière, voilà ce que tu es, pas une enfant gâtée, mais une bornée. Tu as la rancune tenace et la tête bien dure. « Puis je ne sais pas, il vit sa vie cachée depuis déjà bien des années donc il sait parfaitement le faire et moi aussi. » Forcément que ton diablotin de cerveau est parti penser à Alexis. Un sourire naquit sur ton visage, laissant celui-ci illuminé ton minois. « Tu sais si Alexis n’était pas parti … je ne sais pas si j’aurais pu continuer. » Alexis, celui qui faisait battre l’organe central, mais qui a fui quand tu as annoncé ton mariage, une liaison dangereuse qui n’aurait pas dû commencer, sans nul doute . tu cachais déjà bien trop de chose à ta meilleure amie.
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Jeu 30 Mai - 18:02