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 (hot/hard) inachevés (annalisa)

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Message Sujet: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Mar 2 Juil - 14:49



au bout de la rue à droite, second bâtiment sur la gauche. la démarche n'est plus hésitante quand il s'agit d'entrer dans le salon. ce chemin il le connait sur le bout des doigts, il a passé d'innombrables heures allongé sur ce fauteuil de cuir, le corps entre les mains d'annalisa. elle a transformé jabez à grand coup de dermographe, le faisant passer d'humain banal à sombre étranger. les fragments de sa peau à nu se remplissent un peu plus à chaque séance, il laisse le libre arbitre à la tatoueuse pour le choix des motifs. une peau d'entrainement vivante. un croquis. un brouillon. de client régulier il est passé à apprenti tatoueur au service de la fille aux cheveux colorés. l'art lui procure de rares moments de sérénité, la concentration est obligatoire pour ne pas se foirer. pourtant ses pas le mènent vers le salon, mais une bouteille de whisky est fermement tenue dans ses mains. la boutique est officiellement fermé, l'occasion trop parfaite pour ne pas s'exercer. il en a abimé des peaux de cochons pour s'entrainer, il en a passé des heures blanches. le moment est venu de s'entrainer sur une personne bien réelle cette fois. la porte de la boutique claque derrière lui, direction le second étage pour rejoindre le côté piercing/tatouage. personne à l'horizon. « anna ! ne me dis pas que tu te dégonfles déjà.. » sa voix résonné dans le bâtiment encore éteint. sourire amusé au coin des lèvres, il s'empare du goulot de la bouteille pour laisser le liquide ambré couler dans sa gorge. sans l'once dune gène il s'installe sur le siège réservé à la tatoueuse, posant ses pieds sur la table de tatouage. il aime cette appréhension avant une séance de tatouage, ce stress qui le rend un peu plus vivant. il aime encore plus chercher la petite bête quand anna lui sert de cobaye. plaisir malsain.

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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Mar 2 Juil - 16:55



Inachevés
Jabez - Annalisa

«Welcome to my life, tattoo. I'm a man now, thanks to you I expect I'll regret you but the skin graft man won't get you. You'll be there when I die, Tattoo» the who
Tout le monde est enfin, parti et le shop vient officiellement de fermer ses portes pour la journée. Tu pousses un soupir de satisfaction lorsque tu te retrouves seules entre tes murs, une vieille chanson d'un de tes vieux groupes de rock passant par les enceintes du salon. Tu te mets à passer le balais au rez de chaussée, tout en te trémoussant de tout ton diable. T'aimes bien ça, te retrouver tranquille pour pouvoir nettoyer entièrement la boutique. C'est ton moment de défoulement, bien que ton quotidien ne te stresses pas vraiment. T'es étonnement relaxée ses derniers temps, depuis votre escapade en Italie entre cousins. Depuis que toi, Celio et le magnifique petit milo ayez traversé les mers et océans pour retrouver votre sang à des kilomètres de vous. Pas seulement des kilomètres, mais des années aussi. Des années que ton regard n'avait pas soutenu celui de ton père. Des années que tes bras n'avaient pas serrés tes frères ou ta mère. Il t'aura fallu quatorze ans, la plus grosse tragédie de ta vie pour que tu sois prête à faire un peu de place à ta famille dans ta vie. Pour que tu les acceptes enfin, eux, et ce que tu es vraiment. L'enfant terrible de la cosa nostra, celle qui après des années de silence revint avec la plus violente des vendetta.

Tu gagnes le deuxième étage, celui comprenant la salle de pause du personnel ainsi que ton appartement. Jabez ne devrait pas tarder à débouler quémandant ton bout de gras pour y tracer ce que bon lui semblera. Poussant la porte de ton appartement, une clope au bec tu te changes rapidement pour opter pour une tenue plus confortable. Ton allure excentrique se troque contre un sportwear léger. Ta peau frissonne de l'air climatiser, uniquement vêtue d'une brassière noire et d'un short legging qui te colle à la peau. T'as aucune idée de quelle zone ton second apprenti va vouloir attaquer, aucune idée de la taille alors autant laisser autant d'espace ouvert que possible, plutôt que de se galérer avec du tissu inutile. Il t'a filé son corps entier, alors tu peux bien fermer les yeux pour lui. Tu l'as assez emmerdé avec les peaux synthétiques et les oreilles de cochons pour que ses traits soient assez affirmés, assez sûrs pour passer sur de l'épiderme réel autre que le sien. Parce que tu les as vu, ces petits détails qui ne sont pas les tiens. Ca t'amuse, de voir ses gribouillis se mêler à ton art.

T'as pas le temps de dire "sambuca" que t'entends quelqu'un grimper les escalier menant à l'étage du dessous. Tendant l'oreille de par la porte de ton appartement toujours ouverte t'entends le bleu qui commence déjà à te chahuter. Toi te dégonfler? Tu souffles du nez d'amusement. "Et on en parle, de cette larmichette pendant la dernière séance?" que tu gueules en sa destination, taquine. Ouais ouais, il a beau être baraqué, imposant, et plein d'autre choses ça n'empêche que lui aussi tu l'as vu se trémousser d'inconfort sous tes aiguilles. T'aimes bien lui rappeler, de temps à autres. C'est de bonne guerre, surtout après autant d'heures de travail, autant d'encre. Attrapant deux verres et ta bouteille d'alcool anisé sous le bras, tu redescends en direction des ateliers où tu trouves l'israëlien déjà bien en place. Te tenant dans l'encadrement de la porte tes yeux le foudroient lorsque tu vois ses pieds installés contre la longue chaise de cuir où tes clients s'installent. Qu'est-ce qu'ils ont tous, les hommes à foutre leurs pattes partout? "Toi, je vais finir par te faire porter une tenue de soubrette et tu vas m'nettoyer le studio comme un bon petit apprenti si tu continues" que t'ajoutes, avec une lueur de défi dans les yeux. Ça te plairait bien, de le voir astiquer du sol au plafond en petite tenue pendant que tu fais claquer le fouet.

Tu quittes l’entrebâillement de la porte pour entrer dans ton atelier, un sourire amusé sur les lèvres. Tu vois une bouteille au liquide ambré entre les mains de ton zombie, qui quittant ses lèvres encrées. "Et moi qui espérais que c'était un cadeau pour le fait que je t'offre ma douce et délicate peau.." que tu souffles, avec un air d'actrice. Tu poses les deux verres vides et ta bouteille sur un plateau que t'amènes avec toi en direction de Jabez. T'envoie voler ton poing dans son biceps, en guise de salutation amicale avant de t'installer près de l'encré sur la place qui n'est habituellement pas la tienne, mais la sienne. "Alors, tu me charcutes quelle partie?" toujours aussi amusée. Ton dos est déjà complet de l'art de ton maître d'apprentissage, tes bras commencent à bien se remplir à présent. Décisions décisions le bleu, il ne te reste pas tant d'espace que ça, finalement.
(c) DΛNDELION


@jabez krief (hot/hard) inachevés (annalisa) 3227196488
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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Mer 3 Juil - 15:14



ce n'est qu'un tatouage de plus pour une peau déjà bien encrée. juste quelques traits pour peaufiner ce qui s'apparente déjà à une œuvre d'art vivante. n'importe quel apprenti serait enseveli sous le stress à l'idée de tatouer la patronne, mais pas jabez. il la connait assez pour être décontracté, peut-être trop puisque ses traits ne sont pas toujours parfaits, un peu trop tremblants, un peu trop profonds d'autre fois. il a appris qu'il n'y a qu'un seul moyen de progresser : l'entrainement. même une séance accompagnée d'alcool est une séance bénéfique. la bouteille de whisky se vide un peu plus de son contenu quand la voix de l'italienne résonne depuis l'étage, celui qui comprend la salle de pause et son appartement, antre formellement interdite pour ceux qui cherchent encore sa confiance. « Et on en parle, de cette larmichette pendant la dernière séance? » un point pour elle. il faut dire que comme jabez, elle prend un malin plaisir à choisir les parties du corps les plus sensibles. il a bien dû grimacer plus d'une fois, c'est aussi le prix à payer pour une grosse pièce. les pas descendent l'escalier et le tatoué entend bien le son caractéristique des verres accompagné d'une bouteille. les grands esprits se retrouvent. il penche la tête sur le côté pour enfin apercevoir la fille aux cheveux de feu. étrangement ses yeux reflètent à la perfection son état en voyant les pieds du tatoué sur le siège en cuir. « Toi, je vais finir par te faire porter une tenue de soubrette et tu vas m'nettoyer le studio comme un bon petit apprenti si tu continues » un ricanement éclate dans la salle d'ordinaire silencieuse. elle veut jouer, jabez encore plus. « détends-toi, tu ne crois quand même pas que je vais faire le boulot d'une femme ? » sourcil arqué dans un air de provocation. il est le premier à nettoyer après ses séances, mais ce soir c'est différent. ce soir tout est différent, ils ne sont que deux. « Et moi qui espérais que c'était un cadeau pour le fait que je t'offre ma douce et délicate peau.. » les deux regards se posent sur la bouteille de scotch puis celui de jabez revient sur celle de sambuca. « chacun sa bouteille, tu vas encore être malade sinon et j'ai horreur de te tenir les cheveux.. » le poing d'annalisa entre en collision avec son bras. cette fille est une alien, une hybride aussi féminine que masculine dans ses propos. sans faire de remarque, jabez retire ses pieds confortablement posés pour laisser sa maitresse d'apprentissage s'allonger. « Alors, tu me charcutes quelle partie ? » le jeu peut réellement commencer, l'israëlien n'est pas venu sans une idée derrière la tête.« les côtes, on va voir si tu es si résistante que ça.. » il est assez bien placé pour connaitre la sensibilité de cette zone, cette impression qu'une lame de rasoir passe lentement sur la peau pour l'ouvrir. nouvelle gorgée de whisky pour le zombie qui se lève enfin pour préparer le matériel nécessaire. l'encre, les aiguilles stériles, le dermographe, les gants. il reprend sa place, relevant sans aucune gène la brassière sur le côté d'annalisa pour préparer la peau à recevoir les molécules d'encre. « tu peux encore faire machine arrière, je comprends si tu as peur tu sais.. » l'air concentré sur le visage de jabez laisse une nouvelle fois sa place à une moue de défi. prête ou pas, le résultat sera le même, mais la vengeance différente.
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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Mer 3 Juil - 17:17



Inachevés
Jabez - Annalisa

«Welcome to my life, tattoo. I'm a man now, thanks to you I expect I'll regret you but the skin graft man won't get you. You'll be there when I die, Tattoo» the who
Ton royal fessier de boss se pose sur la table d'allonge. Passant ta main dans ta crinière de feu la ramenant sur l'une de tes épaules nues, tu relève le regard vers le tatoué omettant la partie gênante qu'il s'amuse à remettre sur la table. "Mes cheveux sont les plus beaux qu'il t'ai été donner de tenir, alors te plains trop." que tu rajoutes amusée. T'en sais trop rien après tout, peut être que tu parles sans savoir. Peut être bien que Jabez est ce bourreau des cœur, loveur à ses heures. Tu ne peux pas t'empêcher de t'esclaffer un instant à ces idées farfelues. C'est un solitaire, Jab. Un vieux loup à qui il manque la meute. Puis il vient piquer ta curiosité, encore et toujours. T’aperçois une légère lueur sadique dans ses yeux lorsque le zombie t'annonce qu'il a décider de faire passer un sale quart d'heure à tes côtes. Côtes jusqu'à présent nues, faute d'idées de projet. "Pourquoi pas, comme ça si tu me rate j'pourrais l'cacher au moins!" il t'en faudra sûrement plus que ça, pour te faire pigner. Quartorze ans que les aiguilles font partie de ton quotidien, c'est pas un bleu qui va te faire suer.

Te servant un verre de sambuca pendant que l'encré se prépare, tu portes le contenant à tes lèvres. La douce liqueur anisée qui vient tapisser ton œsophage te réchauffe de l'intérieur de cette saveur si familière qui t'es chère. T'es concentrée, sous tes traits amusés et détendus. Tu l'observes, ravie de voir que ce que tu lui as appris est mit en pratique. Tes yeux le guettent pendant qu'il s'affaire, studieux à préparer le nécessaire pour cette séance un peu spéciale et très intimiste. Tu voulais pas, prendre d'apprenti à la base. Pas parce que tu n'avais pas envie de partager ton savoir, juste parce que pour toi ça a toujours été difficile de trouver la bonne façon pour parler aux gens. Pour définir tes attentes, exprimer ce que tu attends d'eux. Parce que t'as vécu une vie de solitaire. T'avais Pierre à tes côtés, c'est tout ce qui comptait. Vous gardiez le profil bas, profitant de l'amour et l'eau fraîche que la vie vous offrait. C'était suffisant, vous trois avec cet enfant à naître. T'aurais fait une maman parfaite, une maman aimante qui fait de jolis dessins colorés pour habiller la chambre de ses enfants. A croire que c'était pas fait pour toi tant que ça après tout. Tes yeux se baissent sur la cicatrice au niveau de ton bassin s'étendant sur le long de ton ventre. Rose, encore légèrement boursouflée. Tu perds ton souffle, en te disant que ça va bientôt faire un an. Tu finis ton verre d'une longue goulée, inondant tes démons à coup de boisson alcoolisée.

C'est les mains de ton apprenti qui te ramènent à la réalité. T'es presque électrisée à son contact, de la fraîcheur de ses doigts gantés sur ta peau irradiante. Le peu de tissu couvrant ta peau se relève légèrement, laissant encore plus de marge à Jabez. Tu te sens un peu stupide, d'apprécier sa main sur ta peau. T'es pas d'un tactile légendaire, et les seuls bras qui ont l'habitude de t'éteindre sont ceux de Celio, ceux de Dakota aussi une fois. Et le dernier homme à avoir partager tes draps en date est ton défunt mari. Tu regardes ces lèvres tatouées remuer pendant qu'elles sont à hauteur de tes côtes fines. "Arrêtes donc de jacter avant que je décides de te torturer plutôt. J'crois qu'on à pas tout à fait fini ton dos et ça me dérangerait pas de te voir pleurer." t'es goguenarde, avide de finir cette toile vivante. Parce qu'il est ton plus beau projet, celui qui t'as le plus passionné. Parce que couvrir sa peau de ton encre t'as donné une raison de t'acharner pendant les heures sombres que t'as connues il y a peu. C'était silencieux, au début, presque glauque. Tu te contentais de piquer sans relâche pendant des heures sans un mot. Noircissant son épiderme de ta détresse. Puis il a ouvert sa gueule, parce qu'il le fait souvent Jab. T'as répondu avec cynisme, tu crois presque que ça lui a plu. Il t'as un peu sauvé, à sa façon.

Tu te sers un verre, parce qu'il va te falloir au moins ça. C'est drôle, parce que dans vos décharges que vous donnez aux clients il est précisé qu'aucune séance ne se fera sur une personne ayant consommé alcool ou stupéfiant. Fais ce que je dis, mais pas ce que je fais. Tu t'installes confortablement, t'allongeant de ton petit mètre soixante cinq. T'es toute menue, comparé au zombie. Il pourrait te bouffer tout cru, et pourtant vous êtes là à toujours chercher vos limites un peu plus. Tu regardes le matos préparé, les petits godets remplis de couleur t'étonnent. Tu te serais attendu à quelque chose de sombre, en full black. T'es ravie de pouvoir avoir un peu plus de couleur sur ta peau, elle qui en manque cruellement. "Tu me fais mal j'te bouffe." Tes yeux bruns se plantent dans le regard de Jabez à la fois joueurs et brûlants d'excitation. Il te tardes de découvrir ta nouvelle pièce et ce qu'il t'as concocté. T'as hâte de sentir à nouveau la morsure du dermographe sur ta peau pendant qu'il tracera son dessin. C'est une jolie soirée, pleine de proximité qui vous attend.

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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Jeu 4 Juil - 11:46



il pourrait la piquer sans prendre de précautions jabez, mais au-delà de son éthique il sait que son avenir peut se jouer à pas grand chose. un brouillon, une infection suite à un tatouage et son rêve s'envole aussi vite qu'il est venu. et puis il y anna, elle a assez d'influence pour lancer ou détruire une carrière naissante. pour son premier tatouage sur peau humain, le tatoué a une certaine pression qu'il s'efforce de cacher à grands renforts de phrases mordantes. « Mes cheveux sont les plus beaux qu'il t'ai été donner de tenir, alors te plains trop. » il fait rouler ses yeux dans leur orbite d'un air amusé. le pire dans tout ça c'est qu'elle a en partie raison, mais il n'a pas assez eu l'occasion de les toucher pour s'en assurer. ce n'est que partie remise. en attendant de s'attaque à son cuir chevelu, il annonce son projet. les côtes, une zone particulièrement féminine à son goût et surtout très sensible. comme une vengeance pour les heures qu'il a passé sur ce fauteuil, à serrer les dents pour oublier la morsure du dermographe. « Pourquoi pas, comme ça si tu me rate j'pourrais l'cacher au moins! » les pupilles sombres se redressent en direction du visage pâle de la patronne. une raison de plus pour lui de lui prouver qu'il est capable de faire les choses bien, peu importe la douleur occasionnée. le matériel est prêt pour la séance, mais jabez prend le temps de reprendre sa précieuse bouteille d'alcool en remarquant au passage qu'anna ne l'a pas attendue pour se servir. un air faussement vexé se dessine sur son visage encré. « tu ne prends même plus la peine de trinquer avec ton apprenti favori, c'est noté. » une rasade plus tard, l'heure est de nouveau à la concentration, jabez soulève doucement la brassière, dévoilant un peu plus de la peau immaculée d'anna. la vision est loin d'être désagréable, ça confirme son choix d'emplacement. « Arrêtes donc de jacter avant que je décides de te torturer plutôt. J'crois qu'on à pas tout à fait fini ton dos et ça me dérangerait pas de te voir pleurer » elle est piquante, la fille aux cheveux flamboyants. vive, déterminée et plus que jamais agréable à contempler. « je t'autorise à me charcuter le dos.. si t'es sage. » sourire carnassier qui laisse entrevoir ses canines. sourire qui ne cache en rien ses intentions. -je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises-. les regards a(i)mantés se décrochent pour laisser annalisa s'allonger confortablement sur la table de tatouage salie par les soins de jabez. enfin, les choses vont pouvoir s’accélérer, encore et encore. « Tu me fais mal j'te bouffe » ça sonne comme un avertissement pour beaucoup. la douleur dans le tatouage est une fatalité, une étape obligatoire par laquelle il faut passer. elle éveille tous ses sens, anna, captive son intérêt dans un échangé capté d'amusement. « répète-le une fois, pour voir ? » ose le redire, ose affirmer ton choix délibéré et la séance se terminera mal. les lippes de jabez sont étirées en un sourire en coin. il pose le calque du tatouage sur l'épiderme de la tatoueuse, le positionne sans vraiment demander son avis. il a maintenant une motivation supplémentaire pour s'appliquer, et lui faire du mal. c'est sans aucune gène que jabez prend appui sur la volontaire du soir pour commencer à piquer. les côtes sont saillantes, l'obligeant à étirer la peau par endroits. ses doigts gantés se posent sur le galbe de son sein, il aurait très bien pu choisir un autre morceau de peau, mais son sourire trahit toute innocence, il se délecte de ce moment et de celui à venir. « je t'entends beaucoup moins chère anna, tu souffres ? » les traits du cœur prennent doucement forme, dans un dernier élan de cynisme jabez pique un trait sans lever la main occupée par le dermographe, la seconde toujours fermement en place sur la rondeur de la poitrine d'anna. il fait le malin, le zombie, mais il ne peut pas ignorer la chaleur qui s'empare de son être. ce n'est pas que la concentration qui lui procure cette sensation, c'est bien plus que ça. c'est la bête qui se réveille pour une nuit qui promet d'être longue.

@annalisa de bertolis (hot/hard) inachevés (annalisa) 3794924939
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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Jeu 4 Juil - 13:53



Inachevés
Jabez - Annalisa

«Welcome to my life, tattoo. I'm a man now, thanks to you I expect I'll regret you but the skin graft man won't get you. You'll be there when I die, Tattoo» the who
Ton visage s'illumine comme celui d'un enfant lorsque Jabez laisse planer l'idée que tu puisse éventuellement attaquer son dos. Si t'es sage. C'est fou comme ces mots sonnent faux entre les lèvres tentatrices de l'encré. Mais toi t'as pas envie d'être sage, jamais quand il est là. Quand il est avec toi, t'as cette envie viscérale d'avoir le dernier mot. T'apprécie ces moments à chercher la petite bête, toujours en s’immisçant un peu plus dans la vie de l'autre. Tu t'attardes un instant sur ses canines révélées par un large sourire animal. Tes pensées les imaginent un instant caressant ta peau pour venir s'y refermer. T'aimes quand il est dur, sadique, impitoyable. Parce qu'avec toi il ne prend des gants que pour t'encrer, jamais pour te parler. Y'a pas de ça entre vous, c'est pas comme ça qu'elle marche votre relation. Ton regard vient retrouver le sien. "Ah parce que tu les préfères dociles? Et moi qui pensait que t'aimais le challenge." ils brûlent à présent, tes yeux ancrés dans ceux de Jab. T'es pas docile toi, t'es pas un animal de compagnie qui ronronne gentiment sur les genoux de son maître. T'es le chat sauvage, celui qui à prit des coups et qui continues pourtant d'errer dans la nuit.

Ses mains reviennent t'arracher un frisson lorsque le stencil se pose contre ta peau. Il te met au défi de répéter, comme si tu t'étais déjà défilé avant. "Tu me fais mal, j'te bouffe. T'es sourd en plus? T'es pas assez proche pour entendre?" tu hausses les yeux au ciel en laissant ton corps allongé se décontracter. Le calque se décolle, laissant le motif dessiné du papier carbone sur ta peau blanche. Décidément, tu n'auras de cesses d'être étonnée ce soir. Il est joli, ce coeur anatomique. Les proportions sont bonnes, et surtout il est adapté à la zone qu'il veut tatouer. Parce qu'être un bon tatoueur, c'est un ensemble de petites choses. C'est pas juste savoir tenir une bécane entre les mains et savoir gribouiller trois traits ensemble. T'en as vu combien, des scratcheurs de merde faire un travail dégueulasse mettant parfois en danger leurs clientèle avec leurs pratiques barbares. Tes dents grincent sans que tu ne le veuilles à cette pensée. L’appât du gain, ce tattoo pas cher par le copain du cousin qui te refiles une bonne infection. Tu reviens sur ton futur tatouage, ravie. Le dermo résonne à présent dans la salle, que la séance commence.

Le corps tendu afin de lui faciliter le piquage, le bras encré de ton apprenti vient se loger entre ta poitrine, fermement contre ton sein droit. Tes yeux roulent une nouvelle fois. L'aiguille fait vibrer tes cotes d'une façon gênante lorsqu'il trace ses traits, assidu. T'es ce genre de tatoués à embrasser totalement la douleur, à la laisser prendre sa place. C'est jamais agréable, de toute façon. Parce qu'un tatouage sans la brûlure lorsque la magie s'opère ça serait bien trop facile. De ta main la moins sollicitée tu viens chercher ton verre pour le porter de nouveau à tes lèvres tout en continuant de loucher sur la tête baissée de Jab. Il revient à la charge, ne pouvant pas rester calme bien longtemps. Un éclat sadique dans le regard, ta langue anisée claque. "Tu veux que je te montres ce que c'est, la souffrance?" parce que c'est toi le maître, et qu'il reste l'élève. Parce que t'as déjà tatoué des gens uniquement pour ça en Europe, pour qu'ils souffrent. T'as bossé un moment avec des tatoueurs un peu fou dont la spécialité est de faire se tordre leurs clients de douleur sans aucun but artistique. Ah tes jeunes années...

Tu continues de boire tranquillement ton verre pendant que l'aiguille ne se lève pas de ton épiderme. L'enfoiré fait bien exprès de jouer de ses longs traits espérant sûrement te voir te tortiller en finalité. La pièce à déjà bien avancée, la base des traits bientôt achevée. Ta peau est rougie, brûlante par l'agression des aiguilles contre celle-ci. Il la rafraîchit parfois, nettoyant la zone avec un peu d'eau fraîche. Mais ce que tu préfères, c'est le souffle de Jabez à quelques centimètres de sa toile t'électrise, te faisant frissonner de toutes parts. Bien plus que ce que tu ne voudrais bien lui avouer. "J'en étais sûre que t'en profiterai pour me tripoter plus qu'il n'en faut." Parce que de tout ton corps il avait carte blanche, il aurait pu décidé de te tatouer l'un de tes bras, l'une de tes mains. Un mollet ou une épaule même. Un sourire en coin sur ton visage, t'attends ce moment où ton apprenti relèvera le regard pour s'ancrer au tiens. Sa main sur ton sein se mouvant à la demande du travailleur énerve ton téton percé à travers ta brassière fine celui-ci venant se dresser en signe de contestation. Chaque minute te paraît être une éternité et pourtant t'aimerais que ça ne s'arrête pas. T'aimerais pouvoir rester là, dans cette soirée un long moment.

Il est appliqué, ses traits sont droits et au final tu lui trouves une certaine légèreté dans son poignet lorsqu'il oeuvre. T'es satisfaite du tableau se présentant à toi, la vision de Jabez penché sur ton corps concentré. Tu lui laisseras sûrement un peu plus de ta peau, s'il en veut bien.
(c) DΛNDELION


@jabez krief (hot/hard) inachevés (annalisa) 2371390455
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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Jeu 4 Juil - 15:13



le cliché parfait des tatoueurs, l'image que tout les ignorants se font de ce monde. de l'alcool, des tatouages en dehors des séances ouvertes, des joints à la sortie, des tatoueurs dévergondés et sans pression. il ne manque le joint pour atteindre le combo parfait. l'alchimie qui règne dans l'atelier est palpable, mais le dénouement est encore loin. anna et jabez ils sont comme ça. ils se cherchent, se provoquent et se taisent ensuite. chaque séance les mènent un peu plus loin, à la frontière du point de non-retour. une fois que la délimitation sera franchie, plus rien n'aura d'importance. ce sera un déchainement de fauves qui s'apprivoisent depuis trop longtemps. « Ah parce que tu les préfères dociles? Et moi qui pensait que t'aimais le challenge » léger ricanement. jabez il aime les volcaniques, celles qui explosent en laissant des marques aussi bien physique que mentale. certainement pas celles qui ouvrent les jambes au premier regard. « j'aime le challenge, dommage que tu n'en sois pas un.. » les lèvres s'étirent, la moquerie dans son regard pour la pousser toujours un peu plus à bout. il connait assez pour anna pour savoir ce qu'elle a traversée, la perte, le deuil, la colère. il sait ce qu'elle vaut, mais ce soir ça ne compte pas, les cartes sont rebattues. ils ne sont pas là pour ressasser le passé. « Tu me fais mal, j'te bouffe. T'es sourd en plus? T'es pas assez proche pour entendre? » elle est la tentation incarnée, celle qui fait bouillir le sang de jabez dans ses veines. il préfère ne pas répondre, ne pas céder à la tentation de se rapprocher si facilement. elle doit céder en premier, pas lui. c'est à elle de crouler sous la chaleur qui les assassine. les traits du cœur noirci se détaillent au fur et à mesure de la séance, bientôt les plus gros tracés se terminent. elle endure la tatoueuse, bien plus que ce qu'il pensait. « Tu veux que je te montres ce que c'est, la souffrance? » les pupilles se croisent et s'échappent au cours de la conversation. la souffrance, il ne sait que trop bien l'infliger, mais la ressentir c'est une autre affaire. « Je pense être assez recouvert pour la connaitre, bien plus que toi je me trompe ? » des heures, des jours entiers de travail pour arriver au résultat d'un corps quasiment recouvert dans son intégrité. même les endroits les plus sensibles sont passés sous l'aiguille d'anna. le plus gros du tatouage est fait quand la sulfureuse reprend la parole. « J'en étais sûre que t'en profiterai pour me tripoter plus qu'il n'en faut. » le bijou qui se dessine sous le tissu brassière est une trahison involontairement pour ses paroles. le tatoué se redresse pour changer de gants et d'aiguilles, il ne manque que les rares touches de couleur pour achever son œuvre. sa main lâche le sein à contre-coeur, juste le temps pour lui de se pencher en arrière, se détendre la nuque pour ensuite avaler une longue gorgée du liquide ambré qui provoque un frisson le long de son échine. « Ça n'a pas l'air de te déplaire en tout cas.. » le regard amusé se pose sur les tétons pointés vers le ciel. le corps parle pour elle. jabez ne tarde pas à revenir à l'attaque, un mélange de couleur aquarelles seront bientôt encrées dans la peau pâle d'anna. sa main gauche reprend sa place initiale, mais les doigts se faufilent sous le tissu de la brassière pour jouer avec le bijou en acier, beaucoup plus franchement cette fois. son regard reste solidement accroché à la réalisation du tatouage, mais le sourire sur les lèvres de l'israëlien en dit long, tout comme son souffle qu'il peine à contrôler parfaitement au fil de ses gestes. sans le dévoiler, il bouffe sa langue pour ne pas tout gâcher. le tatouage sera bientôt terminé. bientôt les fauves seront lâchés.

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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Jeu 4 Juil - 19:07



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Jabez - Annalisa

«Welcome to my life, tattoo. I'm a man now, thanks to you I expect I'll regret you but the skin graft man won't get you. You'll be there when I die, Tattoo» the who
La tension entre vos deux êtres est palpable. Presque perceptible à l'oeil nu tant l'attraction entre vous est forte. L'air chaud de ton atelier vous plonge dans cette bulle confortable, offerte aux yeux de certains passants qui pourraient vous voir des larges baies vitrées composant majoritairement ton antre. Tu t'en fous, c'était pas comme si t'étais très pudique de nature, sinon tu te serais trouvée une grotte. Il n'arrête jamais, Jabez. T'as à peine le temps de sortir une pique qu'il surenchérit de suite. Tu te sens réellement piquée à vif lorsque de son ton éternellement las l'encré ajoute que tu n'es pas un challenge. Tu grognes t'enfouissant un peu plus contre le siège, soutenant un peu moins le rapport entre vos deux peaux te punissant un peu aussi par la même occasion d'avoir tendu le bâton pour te faire battre. "Chi semina vento, raccoglie tempesta." que tu chanterai presque de ton plus bel italien, la défiance aiguisée de ton regard percutant celui de Jabez. Ce soir tu le sens dans tes membres, ton sang pulsant plus fort qu'à l'accoutumée. Tu le sais, que ce soir votre jeu prendra un niveau de plus.

Tu pouffes, lorsque Jab te parles de connaître la douleur. Premièrement, t'es réputée pour avoir une main de velours donc malgré les heures de travail sur sa peau il n'a pas jonglé tant que ça. Secundo, toi ton dos est complètement encré de l'art japonais de ton maître d'apprentissage. Et tatoué au hane-bari s'il vous plaît. Si ça c'est pas être badass, tu sais pas vraiment ce qu'il lui faut de plus. "Vous êtes tous des chochottes, c'est bien connu que les hommes supportent moins bien la douleur en général. Tu déroges pas à la règle." que tu lances comme un pavé dans la marre, faussement. Parce que Jabez, il est pas comme tout les autres. Jabez, c'est un peu le zombie qui hurle à la mort d'être encore en vie. Enfin sa main se relève et l'aiguille quitte ta peau. Ton épiderme aimerait lui hurler "encore!" pourtant tu l'observes se décoller de toi te rendant subitement plus légère. Le travail du noir est terminé et tu peux enfin contempler les premiers jets de ton nouveau bébé.

La nuque du tatoué craque, et une longue gorgée de liquide ambré se glisse entre ses lèvres directement du bord de la bouteille. C'est sa langue finalement qui reprend soulignant ta poitrine agacée. "Non mais tatoues moi les tétons la prochaine fois, t'ira plus vite hein." il revient de plus belle, afin de couvrir ta peau d'une multitude de petites taches colorées. Sa main reprend sa place initiale mais avec un petit goût de l'aventure en plus lorsque certains de ses doigts s'insinuent dans le peu d'espace disponible entre ta peau et le tissu élastique de ta brassière. T'as l'impression de défaillir, non pas de douleur mais sûrement de plaisir lorsque ses doigts viennent trouver la tige en titane parcourant ton téton percé. Tu le vois, son sourire carnassier pendant qu'il te tatoue d'un air faussement concentré. Comme s'il ne mettait pas tes sens à feu et à sang, comme s'il avait besoin d'en rajouter. Le rouge te montes aux joues, s'il te demande t'accuseras la sambuca.

Cette caresse cachée te paralyse. Tu sens l'acier se déplacer lentement dans ta chaire, tourner légèrement lui même torturant ta peau de cette sensation délicieuse que peu de personnes peuvent ressentir. Ton souffle est bien plus court que tes longues inspirations que t'as gardées tout le long de la séance. T'essaie de te rester concentrer, ta tête reposée contre le dossier tes yeux fixant le plafond. Tu n'oses pas attraper ton verre, trop peur que sa main ne s'enlève et ne quitte la chaleur de ta poitrine. Parce que t'as rien dis, lorsque ses doigts sont venus te chercher. Parce que tu veux que ce soit lui qui fasse le pas de trop. Celui qui indiquerait la montée de niveau, le stade supérieur. Tu veux le pousser à bout, le pousser à fauter. Tu veux sentir ses mains sur ton corps autrement que gantées, tu veux goûter à sa peau encrée et à ses lèvres viles qui ne font que te narguer.

La température commence à monter, tout comme ta peau colorée maintenant irradiante. Tes yeux quittent le plafond pour retomber sur Jab, toujours tête baissée sur son travail. Ta langue également trouée passe sur tes lèvres fines les humectant au passage. Puis vient le moment où son dermographe pique trop profondément, le moment où il réussit à t'arracher un grognement. L'enfoiré, il a attendu ça tout ce temps. Tes yeux le foudroient de nouveau alors que ta lèvre se fait mordre par tes dents afin de supporter la douleur éclaire lancinant dans tes côtes. "Bordel t'as pas compris quoi dans j'vais te bouffer? Jamais deux sans trois c'est ça? Faut encore le répéter?" faussement énervée, tu tentes de te resservir un verre à une main ce qui te demandes bien trop d'effort. Au diable la courtoisie, tu ramène le goulot à tes lèvres et t'avales une longue rasade du breuvage italien avec lequel tu passes nombre de tes soirées. Tu te demandes combien de temps la torture va encore durer, que de le voir penché et si concentré. T'as envie de te mesurer à lui, de t'y frotter et de le déchaîner. Tu veux le rendre fou, voir l'animal se lâcher.

Envie ou besoin, besoin ou envie. Quand l'un ne va pas sans l'autre, c'est qu'il est temps de s'y abandonner?



(c) DΛNDELION


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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Jeu 4 Juil - 20:07



l'atelier de tatouage devient aride. l'air est étouffant, intenable. la soif devient un besoin vital, il va sûrement en crever. la soif de leurs corps en action, deux peaux qui s'apprennent sans douceur, sans amour, juste de la bestialité à l'état pur. violent, mais tellement bon pourtant. ça va arriver, il le sait, c'est inévitable, le jeu est déjà trop engagé pour faire machine arrière. il n'entend plus rien jabez, juste quelques mots fredonnés dans un italien parfait et les souffles qui se mesurent, difficilement contrôlable des deux côtés. elle le provoque la lionne, persuadée de mieux connaitre la douleur qu'un homme entièrement recouvert de pigments d'encre. « Vous êtes tous des chochottes, c'est bien connu que les hommes supportent moins bien la douleur en général. Tu déroges pas à la règle » ça ne le perturbe pas plus que ça le zombie, il a déjà grimacé lors de séances sensibles, à cause d'excès de la veille le plus souvent. mais il estime être plutôt résistant, pas du genre à agoniser à la moindre petite maladie. « Les hommes sont des petites natures ouais, mais t'en connais beaucoup avec le crâne tatoué ? » la balle de la réflexion est dans le camp d'anna à présent, elle est insatiablement lancée d'un camp à l'autre. les piques fusent sans ménagement, les deux caractères sont assez brûlants pour s'exprimer en cas de désaccord. ça les amuse plus qu'autre chose, comme des grands enfants en manque d'attention. pause pour tout le monde, le tatouage touche bientôt à sa fin et jabez veut reprendre un peu de forces avant l'issue fatale, cet instant où plus rien ne sera sous contrôle, où la suite ne sera ponctuée d'aucune pause. pas de reprise de souffle, pas d'alcool, les corps vont devenir indissociables dans l'urgence de s'appartenir. « Non mais tatoues moi les tétons la prochaine fois, t'ira plus vite hein. » c'est au tour de jabez de pouffer devant l'idée venue de nul part. elle est l'unique quand il s'agit de sortir ce genre de phrases anna, ça l'amuse autant que ça l'excite. « Ne me donne pas des idées comme ça, déjà que tu ne m'a pas attendu pour les percer.. » la métamorphose est en cours, le regard amusé laisse progressivement sa place à des pupilles plus animales. les doigts s'affairent à titiller ses tétons, dans un dernier effort, comme une vengeance, il plante légèrement le dermographe dans la peau de sa victime pendant quelques instants. l'effet est immédiatement, un grognement résonne, juste un prémisse de ce qui les attend un peu plus tard. « Bordel t'as pas compris quoi dans j'vais te bouffer? Jamais deux sans trois c'est ça? Faut encore le répéter? » il perd pied jabez, brutalement, sans prévenir il lâche le dermographe pour se redresser dans un bond, la main toujours fermement en place sur son sein. il se penche au-dessus d'elle, loup au-dessus de sa proie, les lèvres à quelques centimètres des siennes, le regard sombre planté dans ceux tout aussi sombres de l'italienne. « tu veux me bouffer ? très bien, à toi l'honneur. j'ai pas l'intention de craquer le premier. » craque et le loup se déchainera comme jamais. dans un effort qui lui parait surhumain, il s'éloigne des lèvres tentatrices pour reprendre le travail du tatouage. la main libre se fait plus pressente, les caresses sont remplacées par des ongles plantés dans la peau. un index finit par descendre le long de son ventre nu, mais il s'arrête à la frontière imposée par le legging. il n'ira pas plus bas, pas avant le top départ. pourtant il en meurt d'envie, son souffle rauque peut en témoigner. plus que quelques touches de couleur, quelques touches d'orange et de bleu. quelques secondes avant que la main se lève. terminé, fini. place au moment le plus intéressant. jabez se pose confortablement contre le dossier de son siège, satisfait. dernière rasade de whisky et son regard fou se plante dans ceux de l'italienne. « à toi de jouer. » tu n'as qu'une geste à faire, juste un signe d'abandon. et ce sera un déchainement de plaisir pour tous les deux.


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Message Sujet: Re: (hot/hard) inachevés (annalisa)   (hot/hard) inachevés (annalisa) Empty Jeu 4 Juil - 21:57



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Jabez - Annalisa

«Welcome to my life, tattoo. I'm a man now, thanks to you I expect I'll regret you but the skin graft man won't get you. You'll be there when I die, Tattoo» the who
La nuit commence à tomber à l'extérieur vous entraînant peu à peu avec elle dans sa pénombre. T'en peux plus de Jabez qui te tourmentes. Dans un souffle, il te demande de ne pas trop lui donner d'idées concernant tes tétons ornés de titane. Tes dents grincent encore une fois, t'aurais bien aimer le voir le cathéter entre les mains prêt à l'insérer dans ton petit mont de chaire réactif. Au lieu de ça, tu t'es déshabillée devant l'un de tes collègues et associés qui pratiqua l'acte d'une façon rapide et presque sans douleurs, toi qui pensait avoir la jambe violente en cas de réaction incontrôlable. Tu t'es tenue bien raide, comme ce soir en attendant que ça passe. Tes idées étaient bien plus claires que cette nuit, parce que ce soir c'est aux portes de la folie que le zombie à décidé de t'emmener. Parce que tu rêves d'une effusion de peaux nues et de soupirs. Tu rêves de proximité et de chaleur. Tu les vois, ces lèvres taquines où ton dermographe est déjà passé à défaut de ta bouche. "Contentes toi de m'encrer, voir si déjà ça tu le fais bien."

T'as le mot de trop, celui qui lui fait perdre pieds. D'un geste vif, il quitte sa bécane qu'il vient écraser contre le meuble amovible dans un claquement sonore. Le voilà qui se tient au dessus de toi, menaçant de toute sa hauteur sa main fidèlement cramponnée à ton sein. Il doit le sentir, ton coeur à toi qui bats à tout rompre dans ta cage thoracique. Sa poigne sur ta poitrine se resserre, et de nouveau tu te sens défaillir quelque peu. Vos lèvres se trouvent à une proximité dangereuse, vos souffles se mélangent et tu ne penses qu'à une chose en connaître enfin le goût de cette bouche tentatrice. Dominant, comme à son habitude sa langue claque te menaçant d'une façon exquise à quelques centimètres de toi. T'aimerais tout envoyer valser, le reste du tatouage, le peu de vêtements vous séparant d'une étreinte parfaite. Tu voudrais posséder sa peau une nouvelle fois, d'une façon différente. Jabez t'obsèdes, Jabez te tortures parfaitement conscient de l'emprise qu'il détient. Et pourtant, tu relèves ton visage un peu plus pour se rapprocher du sien. Si proche que tu peux presque percevoir la chaleur de son visage, tandis que tes yeux noirs brûlants d'envie s'ancrent dans les siens. "Alors que fais ta main me torturant de tout mon être, si tu n'as pas craqué le premier?"

Il s'éloigne, reprend son travail comme s'il n'avait pas failli céder à tes lèvres. Ta frustration en prends un coup tandis que tu lui envoie un baiser dans les airs, moqueuse. Ses ongles viennent à présent trouver l'auréole de ton sein pour s'y planter t'arrachant un léger gémissement. Tu l'observes se hâter quelque peu, lui aussi s'impatiente de passer à un autre sujet bien plus intéressant. Du bleu puis du orange viennent achever son art tandis que tu te délectes de cette main descendant dans le creux de ton ventre pour enfin venir chatouiller ton bassin. Mierda. Voilà qu'un essaim d'abeilles tueuses se réveillent alors que ses doigts agacent l’élastique sur la ceinture de ton legging. Tu tentes de détourner ton attention avec la bouteille de sambuca touchant déjà bientôt à sa fin. Tu frissonnes, avalant une nouvelle gorgée anisée. Tu serais prête à te damner un peu plus pour avoir cette main descendre un peu plus bas contre ta peau pour venir l'agacer elle aussi. Son souffle rauque témoigne aussi de son état, parce que t'es pas la seule à avoir cette envie qui te brûle les entrailles. Cette envie de se laisser aller à ses instincts les plus primaires, les plus sauvages. De sentir ses mains venir saisir ta peau, ta gorge ou bien même tes cheveux. De sentir sa langue te martyriser en te laissant pantelante aux bords d'un plaisir imminent pour mieux t'y emmener plus tard...

Ses mains te quittent finalement, le tatouage terminé. T'aurais aimé qu'il continue, que sa main continue de descendre également pendant que son encre trace ta peau. Mais faut pas déconner, il reste apprenti et non un tatoueur expérimenté. Tu te relèves de la table d'allonge, légèrement endolorie par la séance et t'avances vers le miroir à pieds non loin de vous. Tu observes tes côtes elles aussi légèrement douloureuses mais maintenant tatouées d'un magnifique coeur coloré. Tu t'approches légèrement, guettant les détails du zombie. Tu ne trouves que très très peu de défauts et cette pièce ne devrait pas avoir besoin de grosses retouches. "Va vraiment falloir que j'commence par t'apprendre l'anatomie du corps humain et la place des organes hein." parce que t'arrêtes jamais, c'est si bon de l'observer prêt à te sauter au cou. T'es l'inconsciente qui enrage le méchant loup, le chaperon qui se fera bouffer avec plaisir. sa voix rejoint la tienne lorsque cette dernière s'éteint. Tu te retournes vers lui en relâchant ta crinière de feu sur l'une de tes épaules nues. Tu t'en doutais, qu'il allait t'attendre au tournant, surtout après t'avoir torturée pendant qu'il te tatouait.

Le zombie est assit, de manière presque désinvolte sur le tabouret de cuir réservé à l'artiste tatoueur. Qui plus est, le tiens. Ôtant le whisky de ses lèvres la bouteille toujours en mains, tu t'avances féline en sa direction. Tes pas sont aussi silencieux que ceux d'un chat, aussi assurés que ceux d'une lionne chassant sa proie. L'ombre extérieure ayant maintenant gagné l'intégrité de ton atelier vous plongeant dans une ambiance tamisée, uniquement éclairés des néons que tu utilises pour avoir une vision plus claire de l'épiderme de tes clients. Les tatouages de Jabez prennent tout leurs sens une fois la nuit tombée, et tu te délectes de ton art encré sur la plus claire majorité de son corps. La pointe de ta langue repasse sur ta bouche fine une nouvelle fois l'humidifiant de nouveau pendant que ton regard continues de maintenir celui de Jab. Tu finis d'exploser le peu de barrières se tenant encore entre vous en t'installant à califourchon sur ton apprenti, nouant tes bras autour de son cou. Jamais, vos corps ne se sont autant touchés. Tu te laisses enivrer de sa chaleur qui se mêle à la tienne, laissant de nouveau tes dents saisir ta lèvre inférieure.

Le tabouret roule légèrement sous vos deux poids et tu finis par donner de tes pieds l'impulsion nécessaire pour venir rapprocher le dos de Jabez près du mur le plus proche. Un léger choc vous secoue, amorti par l'un de tes avants bras plaqué contre le mur à l'impact. "Tu disais quoi déjà? Que c'était à moi de jouer?" Tes yeux retrouvent de cette lueur sadique qui les a animées un peu plus tôt. Ton bassin se colle un peu plus au sien, tes bras se resserrent autour de sa nuque. S'il s'est permit de te torturer tout ce temps, tu ne vois pas pourquoi tu ne pourrais pas en faire de même. Ton visage commence à chercher sa gorge où tu commences par faire parcourir ton souffle. Son parfum t'enivre, te donnes un peu plus envie de te régaler de sa peau d'une autre façon que par le dermographe. Le désir palpable vous fait danser de vos bassins tandis que tes griffes se plantent dans son cou vengeresses de ton sein. Tu viens couvrir de tes lèvres cette peau que tu as maltraitée par le passé, tes dents viennent également la titiller. Puis c'est à son oreille tatouée après lui avoir offert le même traitement qu'à sa jugulaire que tu chuchotes. "Moi j'penses qu'on ferait mieux de se laisser aller, plutôt que de jouer."

Ta bouche trouve à présent ses tempes et tes mains commencent à se mettre en mouvement. Elle continue son ascension dangereusement jusque ses joues puis sa mâchoire rêvant de venir enfin t'abandonner à ses lèvres. Tes mains quant à elles se fraient un chemin sous la chemise de jean que porte Jabez. Sa peau, aussi brûlante que la tienne se retrouve rapidement assaillie de tes ongles griffant, saisissant, s'appropriant chaque centimètre d'épiderme sur leurs passage. Parce que toi non plus, tu ne lui cédera pas la victoire. Seul vos deux abandons simultanés pourront vous faire trouver votre salut. Tes lèvres viennent trouver la commissure des siennes, et tu peux presque jurer que vos battements de cœurs effrénés se sont alignés sur la même onde. "Jab..." ta voix suppliante murmures puis s'éteint. Rejoins moi à mi chemin, c'est impossible qu'on en reste là.
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