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 señorita (salem)

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Message Sujet: señorita (salem)   señorita (salem) Empty Mer 26 Juin - 23:13

señorita / salem & lola
cinq jours après son renvoi ✺ les mains dans les poches - le regard distrait - lola vagabonde dans les rues du queens traditionnel. elle qui à l'accoutumé se presse toujours, déterminée, file ce soir d'un pas lent. rien d'hasardeux là-dedans, bien au contraire ; celle aux innombrables et perpétuels projets n'a aujourd'hui rien qui l'attend. et cette exception menace de devenir règle : depuis qu'elle a été dans l'obligation de quitter la faculté, elle patauge lola. toutes ses certitudes se sont envolées, laissant une trop grande place au doute et à l'indécision. les réponses qui lui venait si aisément volatilisées, elle se retrouve à improviser. et parce que son esprit aiguisé s'embrouille à chaque instant un peu plus, elle n'arrive plus à avancer. alors que les douze coups de minuit ne vont pas tarder à sonner, savoir où passer la nuit devient même une énigme. et sa situation étant tenue secrète, la tâche ne lui est que plus complexe. elle doit prétexter des visites surprises, des desseins purement chimériques... chaque nuit, telle une nomade, elle invente un nouveau mensonge assez convaincant pour justifier sa venue et le lendemain, elle part assez tôt pour éviter toute question. elle ne sait pas combien de temps elle pourra tenir cette mascarade mais elle ne pense pas avoir d'autres choix parce qu'elle n'est pas prête à admettre la vérité. un problème récurent chez elle diraient certains mais passons. un coup d'oeil à sa montre la décide à faire demi-tour, jusqu'à l'appartement familial. il est tard - en pleine semaine - tout le monde devrait dormir d'un profond sommeil. c'est du moins ce qu'elle espère ; ce serait parfait : les clés en sa possession, elle pourrait discrètement se glisser dans ses draps sans que personne ne le remarque. le matin venu, il lui suffirait de faire sonner l'alarme assez tôt pour quitter une maisonnet toujours endormie. ainsi, une musique latine lascive guide ses pas dansants jusqu’au pallier. elle grimace lorsque la porte grince un peu trop fort. restée immobile quelques secondes, elle se décide à entrer. le salon est plongé dans le noir, comme elle l'espérait. un soupir de soulagement lui échappe et à tâtons, elle trouve le chemin de la cuisine. difficilement, elle parvient à allumer la lampe de chevet trônant - on ne sait pourquoi - depuis des années sur le comptoir. la faible lumière qui s'en dégage l'aide à se servir un verre d'eau salvateur et elle sourit, satisfaite. tout se passe bien, elle peut se détendre. enfin, c'est ce que la situation lui laisse présumer mais en un instant, tout change. elle se détourne de l'évier et un hoquet de surprise la traverse. ses épaules se raidissent instantanément alors qu'en un geste adroit inhabituel, elle parvient à retenir le verre qui lui a - quelque secondes auparavant - échappé des mains. ses traits déformés par la stupeur sont en parfaite harmonie avec le souffle court qui l'éprend. et elle regarde celui qui a perturbé ses plans, interdite. salem. s'il y a bien quelqu'un sur qui elle n'aurait jamais pensé tomber ce soir, c'est lui. il était chez elle après tout, sur son territoire. cela-dit, ça a du sens qui on y pense : il passe le plus clair de son temps avec son frère. il fallait bien que ça arrive, il était insensé de croire qu'elle pouvait continuer à l'éviter de cette manière. avoir réussi à tenir ce petit jeu pendant plus d'un an constitue déjà un miracle, il ne fallait pas trop en demander. bien sûr, elle le croisait ci et là mais elle arrivait toujours à limiter leurs échanges au maximum ; elle n'avait jamais encore dû réellement lui faire face : seul à seul (encore moins sans y avoir été préparé). et franchement, elle n'aurait pas pensé que ça lui ferait si mal. alors qu'elle l'observe sans un mot, son palpitant fait de dangereux bonds dans sa poitrine, son pouls s'accède et ne serait-ce que rester là - devant lui - lui devient difficile. glissant quelques mèches de cheveux derrière son oreille, elle finit par détourner le regard - l’estomac retourné. elle ne peut supporter ses yeux azurs dans les siens. trop étincelants. trop magnétiques. ça la ramène à ce qu'ils ont vécu par le passé : à toutes ces fois où il l'a prise dans ses bras, où il l'a embrassé comme si elle était la seule femme qui comptait. "qu'est-ce que tu fais là ?" il n'y a pas de bonjour, pas de comment ça va. non, il n'y a que son ton rauque, sa voix chancelante et sa question stupide. parce qu'elle est déstabilisée lola, parce qu'elle ne sait pas quoi dire d'autre.
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Message Sujet: Re: señorita (salem)   señorita (salem) Empty Dim 28 Juil - 0:09


SEÑORITA

New-York est connue dans le monde entier pour être la ville qui ne dort jamais, pourtant, c’est dans un appartement rempli de personnes endormies que Salem erre depuis quelques minutes. Contrairement à son comparse, il ne parvient pas à trouver le sommeil et traîner sur son téléphone ne lui suffit plus. Il est venu en début de soirée avec un seul but en tête : s’amuser, se changer les idées. Un pack de bières dans une main et une pizza dans l’autre, il n’a demandé que deux choses à son ami : que les manettes de sa playstation soient chargées et qu’il se tienne prêt à être – encore – battu sur NBA 2K. Et comme il l’avait prévu, Moxley a mené plusieurs de ses équipes jusqu’à la victoire, avant d’apercevoir les premiers signes de fatigue chez le jeune homme. Sa colère qui se voulait plus vive à chaque nouveau panier, ses bâillements de plus en plus récurrents et ses yeux qui avaient du mal à rester ouverts. Le portoricain a juste eu le temps de lui balancer un coussin et une couette sur un matelas déjà positionné au sol, avant de  se laisser étreindre par les doux bras de Morphée. Salem l’a bien évidemment traité de faible et a fait le tour de toutes ses notifications, jusqu’à maintenant : il ne sait pas comment s’occuper et la fatigue n’a pas l’air de vouloir l’assaillir.

C’est un bruit au niveau de la porte d’entrée qui attire finalement son attention : quelqu’un vient de rentrer. Le grincement qu’elle vient de faire, il le connaît par cœur, lui-même l’a provoqué à de nombreuses reprises en rentrant avec Jaime à des heures plus que tardives, complètement déchirés. On ne peut entendre celui-ci que lorsque la porte est poussée lentement, quand on cherche à minimiser le bruit que l’on peut faire. À tort, on s’imagine toujours qu’en ralentissant tous nos gestes, on se fera moins remarquer : c’est presque toujours l’inverse qui se produit. Le brun rentre dans la chambre et attrape son paquet de cigarettes, prêt à aller affronter l’inconnu qui vient de s’introduire dans la maison. Il ne s’attend clairement pas à faire face à un cambrioleur, il imagine plutôt un autre ami du frère de Lola, qui n’aurait pas su où passer la nuit. Il ne s’attendait vraiment pas à entrer dans la cuisine et à tomber nez à nez avec… Lola, justement. Il l’imaginait à l’université, loin de lui et de toutes les « complications » qu’il peut lui apporter.

Le silence règne en maître dans la pièce, jusqu’à ce qu’elle se décide à lui demander ce qu’il fait ici. Pour simple réponse, le brun glisse une clope entre ses lèvres et l’allume à l’aide de son briquet. Il hausse ses épaules et tire dessus, avant de glisser quelques mots entre ses lèvres, en profitant au passage pour recracher la fumée. Le b’soin de m’en griller une, t’en veux ? Il avance dans la cuisine et s’adosse au plan de travail, les sourcils froncés, ne la quittant pas une seule seconde des yeux. Même au milieu de la nuit, il pourrait l’assimiler au soleil et dire qu’elle rayonne. Si elle n’est pas ravie de le revoir, la réciprocité n’est pas complète. Certes, ça ne lui fait pas un bien fou de se remémorer tous les moments qu’ils ont vécu ensembles et qu’ils ne retrouveront pas, mais il pourrait rester des heures à simplement contempler son visage. Alors cette rencontre inattendue, il ne compte clairement pas cracher dessus. Mais sa curiosité l’emporte sur tout le reste et la question qui lui brûlait les lèvres sort sans qu’il ait pris le temps d’y réfléchir. Et toi, qu’est-ce que tu fais là ? Tu devrais pas être en train de pioncer et d’rêver du prof sexy d’ton prochain cours, un truc comme ça ? Il ne sait pas si les professeurs canons des université sont un mythe ou une vérité, peut-être est-ce seulement le fantasme des étudiants qui n’ont jamais mis les pieds dans un lieu tel que celui-ci.
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Message Sujet: Re: señorita (salem)   señorita (salem) Empty Mar 6 Aoû - 16:59

señorita / salem & lola
salem, c'était sa bouffée d'oxygène, sa dose d'adrénaline. peu importe ce qu'ils partageaient, il lui donnait la sensation de se sentir plus vivante que jamais. chaque moment passé en sa présence était d'une intensité démentielle, elle se laissait emporter toute entière par le torrent de sensation qu'il provoquait chez elle. et il lui fallait sa dose, absolument. lui tourner le dos était impossible ; malgré les disputes, malgré la noirceur, elle ne pouvait s'y résoudre. à la manière d'un dépendant trop longuement privé de ses pilules magiques, elle retrouvait toujours ses bras. elle en avait besoin. et ça a duré, longtemps. jusqu'à ce que ça aille trop loin. jusqu'à ce qu'ils atteignent le point de non retour. alors, elle s'est finalement détachée de lui, pour de bon. elle a refait sa vie ; elle est avec quelqu'un de bien maintenant, quelqu'un qui ne lui ferait jamais de mal. mais elle reste désespérément hantée lola : hantée par les profonds frissons que lui provoquaient ses caresses, par les délicieux gémissements que lui arrachaient ses baisers. elle ne peut s'en défaire alors elle se contente de prétendre. il faut feindre jusqu'au succès, c'est bien ce qu'on dit non ? "le b’soin de m’en griller une, t’en veux ?" elle lui a posé la question, elle a eu sa réponse. à vrai dire, elle en a même l'illustration. les yeux rivés sur la clope qu'il maintient de ses lèvres, lola retient un soupir. aussi malsain que ça puisse paraitre, la beauté latine a toujours trouvé salem particulièrement captivant lorsqu'il fumait. hypnotisant même. il y mettait cette attitude impertinente qui respire la lascivité. et rien n'a changé aujourd'hui - pire encore - ça lui rappelle l'époque où ils en jouaient, où ils se passaient la sèche le regard brûlant. son bas ventre s'en retrouve tout retourné et comme pour chasser ces émotions qui l'assaillent, elle revient vers l'évier. d'un geste pressé, elle accession le robinet et l'eau se met à couler doucement. "dans la cuisine de mes parents ? non merci, ça va aller." pourtant, ils y ont fait bien pire mais là n'est pas la question. le ton qui se veut détaché, elle se contente de reprendre le contrôle de la situation comme elle le peut et c'est bien plus facile maintenant qu'elle n'a plus les yeux rivés sur lui. concentrée sur le verre d'eau déjà propre qu'elle lave pourtant avec frénésie, sa respiration décélère, son coeur se détend. "et toi, qu’est-ce que tu fais là ? tu devrais pas être en train de pioncer et d’rêver du prof sexy d’ton prochain cours, un truc comme ça ?" de nouveau, le palpitant manque un battement. pourquoi doit-il toujours en rajouter ? ne peut-il pas simplement l'ignorer ? c'est de toi que j'rêve. ses pensées la trahissent alors elle ajoute inutilement du liquide vaisselle à l'éponge qu'elle maintient fermement et frotte avec la plus grande des concentrations le verre désormais immaculé. ce dérivatif de fortune l'aide mais il ne l'empêche pas de sentir son regard incandescent sur elle. il fait bouillir le sang dans ses veines, battre ses tempes dans un rythme d'enfer. "j'préfère de loin rêver de mi novio que de quarantenaires dégarnis." elle rit d'un air faussement léger lola. elle lui offre l'allusion dans un éclat cristallin et elle n'est pas anodine, non. si elle mentionne nate, ça n'a rien d'un hasard. quelque part, elle veut le piquer, le faire souffrir comme il l'a fait souffrir elle. mais, surtout, elle se dit que ça le découragera peut-être, qu'il partira comme il est venu - sans un bruit. "j'étais chez lui." les épaules haussés, elle ne lâche des yeux le verre qu'elle nettoie en s'en abimer les doigts. et elle ment, bien sûr qu'elle ment. elle n'était pas dans son appartement et c'est même la première fois qu'elle songe à lui ce soir - ce qui, même si elle ne se l'admettra pas, en dit long sur leur relation. elle continue pourtant son petit manège, on ne peut plus convaincante comme toujours. et puis, d'une certaine manière, c'est tout à fait pratique : ça éclaircit le voile qui pesait sur les raisons de sa venue. en partie du moins. rien en effet n'explique pourquoi elle n'est pas restée chez lui mais ça, elle n'y pense pas. l'esprit privé de sa vivacité habituelle - perturbée par la présence écrasante de celui qui la hante - elle se trouve à improviser sans vraiment pouvoir y réfléchir lola. et ça ne lui réussit pas. "c'est pas loin." alors qu'elle focalise son attention sur une tache imaginaire qu'elle brique avec ardeur, une vérité passe enfin ses lèvres. et le nez plissé - signe indéniable de son application grandissante - elle rayonne de cette lueur à la fois charmante et fougueuse qui la caractérise tant.
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Message Sujet: Re: señorita (salem)   señorita (salem) Empty Mar 13 Aoû - 16:57


SEÑORITA

Quand elle refuse celle qu’il lui a proposé, Salem range le paquet de cigarettes dans la poche arrière de son pantalon. Elle n’est plus rien d’autre qu’un livre ouvert, pour lui, et il ne se prive pas pour lire en elle. Elle s’applique, elle joue à l’indifférente, lui reproche – entre un milliard d’autres choses toutes plus insignifiantes les unes que les autres – de fumer dans la cuisine de ses parents. S’il pleuvait dehors ce soir, elle lui aurait peut-être reproché d’avoir trop chanté sous la douche. Il se dit que c’est sûrement mieux comme ça, il vaut mieux pour elle qu’elle se cherche des excuses qui la pousse à le confronter, plutôt qu’elle en trouve pour – encore – le pardonner de son mauvais comportement. S’ils en sont là aujourd’hui, c’est parce qu’elle l’a bien trop fait par le passé. À l’époque, il pensait pouvoir tuer quelqu’un sous ses yeux et ensuite lui demander de prendre une pelle et de l’accompagner pour aller enterrer le cadavre. Il a appris plus tard qu’il s’était trompé et que l’amour ne rend pas si aveugle que ça, qu’il ne pardonne pas tout. C’est comme ça qu’il l’a perdue, et ça en devient ridicule aujourd’hui de comparer ses problèmes de drogue et de violence à une simple cigarette, mais c’est bel et bien ce qu’elle lui reproche. Pour toute réponse, il hausse ses épaules et soupire longuement en recrachant la fumée blanchâtre, il ne se privera pas de la terminer malgré son désaccord. Les yeux rivés sur le verre propre qu’elle tente de nettoyer encore plus, il écoute la réponse qu’elle lui donne à sa question. Elle lui avoue qu’elle était chez son nouveau copain et qu’elle préfère largement rêver de lui que de ses professeurs. Il ne peut s’empêcher de penser que dans ses bras, c’est de lui qu’elle rêve. D’eux, de cette cuisine, de son dos plaqué contre le mur et de son corps collé au sien. Il y a bien pire et mieux à faire dans cette cuisine que de simplement fumer, après tout. Il sort de ses pensées quand elle lui dit qu’il n’habite pas loin, cette information est totalement inutile, il n’a pas encore prévu d’aller chez lui pour lui refaire une petite beauté. Un jour, peut-être, mais pas ce soir. Moi aussi. Ces deux mots sortent de sa bouche sans avoir été réfléchis à l’avance, ils suivent les pensées dans lesquelles il était perdu il y a quelques secondes. Moi aussi j’habite pas très loin. Il sait qu’elle le sait déjà, mais il est peut-être utile de le lui rappeler. Mais c’est pas une raison qui va te pousser à venir chez moi, pas vrai ? Lui-même ne sait pas où il veut en venir dans ce qu’il raconte actuellement, il y a plus de raisons à vaquer de chez son petit-ami à chez ses parents que de faire une visite surprise à son ex. Mais la logique, c’est loin d’être le fort de Salem. J’me demande quand même quelque chose. Il dirige son regard vers l’horloge murale et fronce les sourcils, faisant mine de se concentrer sur celle-ci durant quelques secondes avant de regarder par la fenêtre. Ouais, elle est pas cassée, on est bien au milieu d’la nuit.. du coup.. qu’est-ce qui te pousse à l’abandonner en pleine nuit pour venir chez papa et maman ? Il ne pouvait tout simplement pas passer à côté de cette question, de cette opportunité de lui montrer qu’elle n’est pas tant attaché à lui qu’elle le prétend. J’imagine qu’il dort, j’pense pas qu’il va être très content demain quand tu lui diras que tu l’as laissé pour aller discuter avec moi dans la cuisine de tes parents. Il sait qu’elle n’avait pas du tout prévu de tomber sur lui, mais c’est bel et bien ce qu’elle est en train de faire et elle ne cherche pas à l’éviter : à aucun moment elle lui a demandé de partir ou de la laisser tranquille, ça prouve sûrement des choses. Sa cigarette terminée, il écrase celle-ci dans un cendrier qui traîne sur le comptoir. D’un pas, il se rapproche d’elle, ses yeux de nouveau sur le verre qu’elle tente d’assassiner sauvagement à coups d’éponge. Lâche ça et regarde-moi. Sa main agrippe son poignet pour qu’elle cesse ses mouvements, ses yeux se posant de nouveau sur le visage de la portoricaine. Qu’est-ce que tu fais ici ? Il lui repose la question, s’attend à un peu plus d’honnêteté.
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