SAVE THE QUEENS
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 juste la fin du monde (viktor)

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Message Sujet: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 1:32

save the queens ---- / VIKTOR HOENIKKER

22 ans ---- / ACE OF SPADES ---- / timur simakov

identité complète - Chute libre. Viktor tombé du nid. Rescapé des affres du temps, Viktor, mangeur de passion, de fruits mûrs. Viktor virtuose de la nostalgie amère. L'écorchure sous la langue, le blase qu'on murmure ou qu'on hurle, celui qu'on aime bien chanter sans louanges. Viktor, roi des faux espoirs, des rechutes. Viktor, l'unique, l'énième blasphème. Hoenikker parfait, dernier diamant d'un écrin de soie, taillé à la lame d'un couteau sévère. Septième serpent éclos, dernière vermine enfantée, belle promesse d'une existence semée de désastres. lieu de naissance et origines - l'ire des cieux, le cri perçant d'un gosse qu'on souffle à la mer de Budapest. L'entrée dans les flots d'une vie tumultueuse, la promesse de le couvrir d'or à défaut d'amour maternelle, lyrisme d'un accent hongrois persistant sous l'océan des mots rarement soupirés. études ou métier - Je ferais chanter les cordes pour une éternité de magie. J'aspire à transporter les âmes grâce à la plus belle des mélodies. Le violoncelle pour unique compagnie, drogué des notes, sniffant l'encre qui noircissait des partitions qu'on recrée et qu'on reprend à l'infini, l'ombre des plus grands pour l'inspiration inépuisable. Il a tant aimé, Viktor, les nuits passées à saigner ses doigts sur les cordes, à agacer ses frères à répéter et répéter encore la même ritournelle. Les mains ont finis par saignées, colère qu'on ne ravale pas, erreur fatale. L'instrument n'est qu'un fantasme désormais, une envie, une pulsion qu'on assouvie pas. Viktor qui s'obstine à ne rien faire, à dilapider les billets dans des passions sans fonds, sans amour. Les doigts ne tordent plus rien d'autres que les filaments des cœurs. Ignoble vendetta pour un dernier artiste raté.  orientation sexuelle - Desiderata des Vénus contre lesquelles il éponge ses saignements intempestifs, murmures contre les peaux diaphanes, les lèvres dépeintes en vermeilles sous les siennes trop affamées. Peintre des corps où se dessine des arabesques dont on oublie vite le schéma. Collectionneurs d'orgasmes cartonnés qu'il finit par brûler dans d'autres nuits teintées du rouge de la colère, du gris de la mauvaise foi, du bleu de la solitude, de l'or des rires pleins d'ivresse. statut civil - Il y a eu elle puis l'absence. Dénigrement d'un temps qui parait parfois aussi long qu'une éternité, parfois aussi fugace qu'un court et infime soupir vite oublié. C'est le temps d'un baiser pour laisser un souvenir, le temps d'un regard accroché que l'esprit n'oublie pas, le temps d'un rire qui finit en sanglots hystériques, le temps d'un sourire qui s'casse la gueule. Le temps d'un rien avant qu'elle ne devienne que souvenir. Maladresse amoureuse, il n'est habile et roi que dans l'éphémère. pi, scénario ou prélien - pré-lien de @flip hoenikker juste la fin du monde (viktor) 3227196488.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère /
Poète du sarcasme facile.
Athlète des grandes colères.
Môme à la langue trop franche.

Saveur d'une pluie froide, il est l'hiver qui ne s'échauffe jamais même sous les plus beaux rayons. Astre lunaire aux facettes changeantes, il n'est qu'un paradoxe, une chanson dont les paroles alternent sans arrêt. Tantôt oui et parfois non, souvent peut-être. Énigme sans solutions, labyrinthe sans sorties, on y entre pour finir par y crever de folie. On espère un sourire quand on ne décroche que le mépris, l'arrogance plein les veines, fierté du nom porté, l'égo rempli à s'y noyer dedans. A en boire le poison jusqu'à la lie. Hermès parfait, messagers des dieux pour dilapider leur folie sur Terre, il fait croire, il fait espérer, il déçoit souvent. Le gosse devenu hargneux sous les espoirs décapités, avec l'empathie qui, quelques fois, se fait la malle. Brutale asphyxie quand elle lui revient en pleine gueule pour lui rappeler qu'il n'est qu'humain fait de chairs et d'émotions, se nourrissant sans arrêt à la présence de l'autre. La fierté se fêle souvent, le cœur aride s'humidifie sous les larmes jamais lâchées. Viktor, un orage grondant en silence, l'éclat d'une éclaircie quand la confiance règne en souveraine, le sourire facile, l'humour stupide, la connerie innée. Gamin cherchant à combler le vide, à manger sans réserve ce que la vie lui offre quand elle a déjà trop pris. L'amour qui coule avec difficulté, fébrile sous les envies de sincérité qui arrivent à l'étouffer. Fuyard face aux mains qui quémandent l'engagement, il ploie facilement, il s'effrite, il chute sans jamais toucher le fond. A croire qu'il n'est fait que pour voler et tenter de retrouver son souffle. Pas si fort Viktor. Tu seras pas l'invincible de la famille, pas celui à la résistance parfaite et sans pli. Tu cherches à creuser ta place dans la terre noire, aventurier sans cesse en quête de la connerie idéale, de la dernière balade avant le grand saut.
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 1:33

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

le gris maussade.

Elle est belle la Hongrie, la terre sainte d'un fief conquis par le roi et la reine. Royaume dans lequel Viktor a soufflé ses premiers mots, langue natale qu'il a mis du temps à cracher. Bégaiements indistincts, c'est ce gamin qui n'a su que rester muet face au reste pendant de trop longues années. Moqueries pour seule musique dans les couloirs d'une école aux cols bien pliés, c'était lui, le canard, celui trop noir, moins blanc que les autres, celui qu'on aime secouer pour tenter d'en faire sortir des mots, des phrases complètes sans qu'il puisse y arriver. La Hongrie, elle était belle, elle avait du charme, elle avait tout à donner, beaucoup à promettre mais rien à lui offrir. Il l'a dans le sang, il la sent bien courir, il l'envie parfois, il l'espère dans les nuits noires où new-york ne suffit pas. Il aimerait y revenir, nostalgie d'une enfance où ça couler de sources d'être à sa place de dernier gamin propulsé dans la vie éphémère. L'enfance est trouble pourtant, clairsemée de batailles inachevées, de famille parfaite, de premiers baisers si chastes, d'amitiés envolées, la leucémie pour tout rafler, de premières paroles enfin murmurées, l'aide des frères pour le façonner à l'image de la sérénissime famille hongroise. Viktor, il n'a été que le fruit d'un couple pleins d'avarices et de frères gourmands d'ambitions sans jamais prendre le chemin de la légalité. Un Hoenikker ça mord, ça dérange, ça blase, ça agace, ça fait tomber amoureux à s'en déchirer les tripes, ça enivre d'un sourire, ça fait espérer pour mieux briser les promesses, ça boit trop pour des gueules de bois saignantes quand vient le matin, ça t'arnaque et ça n'appelle qu'à la vengeance. Mais ça aime aussi, avec une force qu'on détruit pas d'une simple rumeur. ça s'aime mal mais pas à moitié. ça s'aime dans les tremblements de colère, dans les disputes qui ne viennent de nul part, dans les liens qu'on essaie de recoller, dans les secrets qu'on garde mais qui nous pourrissent de l'intérieur. Viktor, le dernier de la grande chaîne à 7 boucles, le septième maudit sur qui son père comptait pour prendre un chemin plus illustre. Et les déceptions, encore. Et l'oppression du nom, toujours. Et cette asphyxie dont il s'est libérée, enfin. Pas fait pour être parfait, pas fait pour jouer au prince sans rides, à l'héritier exemplaire. Il est rien de plus que la copie de la malice et de l'égoïsme.

le rouge coupable.

J'ai encore tes yeux bleus pour hanter mes rêves, ta blondeur un peu féline pour caresser mes doigts. Chimère ou réel, j'ai jamais su, j'ai jamais voulu l'espérer, j'ai jamais tenté de chercher. L'éclat de ton regard à travers la grille, nos deux souffles empêtrés par la course dans laquelle on s'est lancée. Moi, juste gamin, bon qu'à balbutier des mots coupés au couteau, à sentir ma langue claquer pour ne sortir que des conneries qui ont finit par achever mon envie de parler. J'ai tenté de faire signe mais j'suis resté figé, comme le plus grand des cons, le plus idiot des môme, faux timide juste ensorcelé par la beauté d'une enfant inconnue, là, le corps tombé à terre, les doigts salies, les cheveux en pagaille. J'aurais pu dire un truc, n'importe quoi. Ce ne sont que les regrets qui bordaient mes nuits et puis le temps qui t'a englouti dans l'oubli. Plus de nom à deviner, à peine si la couleur de ta robe pourpre me revient en tête, à peine si je me souviens du lieu où j'ai pu te trouver. Je sais pas. J'espère plus. Sûrement que tu n'as toujours été que ces princesses que les gamins s'imaginent en attendant celle qu'ils couronneront. Pourtant, je continue de t'espérer, jamais sorti de l'enfance.

l'orange furieux.

Les poings saignant pour protéger la vertu. Les poings fracassés par la rage. Contre lui. Contre elle. Contre eux. Pourquoi t'es venue chercher l'oubli ici Viktor ? Viktor et ses envies de perdition. Il voulait une remontée rapide, connaître le goût de ce truc qui rend plus léger, qui absorbe tous les soucis et fait oublier les maux les plus saignants. Que des souvenirs de cris et d'os brisés, de rage létale, de phalanges couleurs vermeilles. Souffles coupés sous le poids d'une douleur et le bruit sourd d'un corps tombé au sol. Pas de mort mais trois vies coulées par les flots d'une bêtise devenue trop énorme pour ses doigts abîmés. Garde à vue, fers aux poignets et que le silence d'une pièce en attendant la corde qu'on lui mettra autour du cou. Que le canon du cœur pour faire entendre son gong assourdissant. Plus rien qu'un mec prostré sur sa chaise grinçante jusqu'à ce que Gaspar émerge à travers la brume du choc, qu'il lui promette la liberté, que ses yeux pour s'y perdre et s'y accrocher, pour ne pas flancher, pour ne pas tomber, les lèvres prête à trembler pour mieux demander pardon. Angoisse terrible de décevoir le seul lien solide qui tient encore, la main à laquelle il s'est toujours raccrochée et qu'il refuse de lâcher. Il aimerait dire pardon, Viktor, il aimerait clamer son innocence mais il évite les mensonges face au grand-frère, referme sa gueule pour la clouter jusqu'à que les rôles s'échangent. Basculer de suspect à victime, pour mieux voir son frère s'enfoncer dans la geôle qui lui était promise. L'impression d'un deuxième coup porté à l'estomac, respiration volée, la rafle du calme, terrible inversement qui hante encore l'esprit. Promesse de ne jamais plus y plonger, de ne plus tirer la queue du diable pour toucher les flammes dévastatrices du bout des doigts. Promis Gaspar, j'ferais rien qui pourrait te perdre à nouveau. Promis Gaspar, j'te forcerais plus à devenir condamné à ma place. Promis Gaspar, j'essaierais d'être meilleur et de toujours gommés mes plus odieux méfaits. Promis, j'deviendrais digne de ton regard.


le bleu solitaire.

Apesanteur. L'envol est céleste, celle d'un oiseau quittant l'nid dans une nuit noire, obscurité totale, vite percée par les aiguilles de rayons jaunâtres, lampadaires crachant leurs rayons lunaires, les phares de bagnoles agressant la rétine. Viktor n'est qu'un paumé de plus, la gueule détrempée par l'acide qui lui coule dans les veines. On pique, on s'perd, on s'envole, on chute, on s'écrase et on chiale. Puis on recommence. Morphine givrante coulissant dans le nectar des veines, il n'est qu'oublie, drainant les pensées les plus sombres, désespérance au fond du crâne. Le noir complet pigmente les pupilles qui sillonnent les rues d'un Queens habillé en Paradis. Ils sont beaux ces gens crachés par les halls d'entrée aux lustres clinquants, les talons aiguilles des danseuses aux nez poudrés de coke qui déblatèrent sans s'entendre, qui rient à s'en tuer les cordes vocales aux bras de types qui se fichent bien de ce qu'elles racontent, l'esprit déjà entre leurs cuisses. Hagard le gamin, pâle son visage de pantin désarticulé, les mains plongées dans les poches d'un manteau enfilé à la va-vite, il n'y a que le vide qui ensorcèle son cœur, le noie doucement dans son néant rassurant. Belle l'extase sous l'étreinte d'une drogue prise trop de fois depuis le vœu d'arrêter, quémandée à la lune pour calmer les douleurs fantômes, pour oublier le clair-obscur d'une mélancolie qui ne le quitte jamais. Les cordes d'un violoncelle qu'on ne pince plus pour unique obsession. L'interdit qu'il lorgne dans l'ombre d'une chambre silencieuse, l'écho des notes qui ne sonnent plus que dans sa tête, des partitions de rage qui saignent l'esprit. Il aspire à noircir des pages d'hymne aux rêves brisés, de musiques qui lui viennent à défauts de noircir de mots d'autres papiers qui n'atteindront plus rien. Partie Jaime. Partie l'ilot qui recevait ses bouteilles jetées à la mer. Ce soir, il a tenté de combler le vide, d'avaler l'océan qui l'engloutissait dans des déglutitions angoissées, fermant son portable pour oublier la connerie de trop, gueule de bois d'une veille au soir où on sabre des bouteilles et où on embrasse des lèvres dégueulassées d'un gloss hors de prix. Il a oublié la moitié de sa soirée sans oublier le pourquoi de l'ivresse.

Les rues l'avalent, une ombre qui détale, qui tangue, qui l'espère, qui en espère plusieurs finalement. Les morts, les vivants, les morts-vivants, les oubliés. Il attend un signe de ses mains auxquelles il s'est lié. Ce soir Viktor s'effondre pour mieux remonter. Ce soir, c'est la chanson du blues qui lui colle aux rétines et aux lèvres, c'est l'éclat d'un désespoir inaliénable qui le pousse à quitter le navire de son appartement vide de bruits. Le prince déchu refusant d'appeler à l'aide, gamin aux dents serrées qui échoue là, au bord d'un pont, à l'endroit précis où la mer gronde, étale ses vagues que le soleil, parfois, quand il est clément, éclaire de ses rayons crépusculaires. Là où les innocents s'éveillent pour quelques moments de bonheur, pour une vue en plein dans le paradis. Là-bas Vik, c'est là où dorment les anges. La voix de Rory résonne, violon doucereux racontant la plus belle des histoires. Il s'y dépose, le corps lourd, le souffle court d'avoir trop marché, sur le muret qui donne tout l'espoir d'une vie meilleure. L'océan rien que pour lui dans la nuit mauvaise, le bruit des vagues pour alimenter ses obscures pensées. Pardon pardon pardon, qu'il aimerait répéter, impossible de préserver le masque. Pas besoin Viktor. Tu peux tout laisser tomber. T'as plus besoin de faire semblant d'être épanoui. T'as pas à sourire à ta mère qui détourne souvent le regard, comme par peur d'y voir la vérité au fond de tes cavités opalines, pas besoin de déblatérer de la merde pour que ton père te foute la paix. T'as rien à dire. Rien à faire. Juste à laisser venir les sanglots que tu caches bien, à accepter la tristesse qui ne s'efface pas d'un revers de manche. Mal. Mal de cet avenir flingué. Mal. Mal de ses mains qui tremblent pour pas grand chose. Mal. Mal des lettres qui demeurent sans réponses. Mal. Mal des frères disloqués, de ses liens qui se fissurent sous le poing de leurs conneries mutuelles. Mal. Mal mais pas assez pour l'achever. Pas assez pour le faire basculer de l'autre côté. La morphine alourdie le paupières, fait tourner la Terre, donne un air plus céleste à cette vision d'un monde infini. Regarde toujours la mer Viktor, pas le ciel. jamais le ciel. C'est à cause de ça qu'on prend peur. Au moins, la mer t'offre l'illusion d'une limite, d'une chute, d'une fin. Regarde la quand ça ne va pas. Observe la longtemps, jusqu'à ce que ton coeur batte au rythme du passage des vagues venant couvrir les traces de pas dans le sable. Regarde la jusqu'à ce qu'il n'y ait que l'apaisement en toi.

Pardon. Pardon, j'ai pas tenu ma promesse. J'ai fini par briser ça aussi. Par casser ça sans scrupules, sans remords. Moment de faiblesse. Moment d'allégresse. Moment d'amnésie Pour l'honneur d'un nom n'accouchant que de princes fielleux et déchireurs d'espoirs.

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

AGΛPÉ. ---- / 22 ans ---- / rpgiste

ville - quelque part dans l'sud-est. études ou métier - bac +6 dans le domaine de la flemmardise. avis général sur le forum - j'y suis toujours comme à la maison. le détail qui t'a fait craquer - les plumes, toujours, les persos, la communauté juste la fin du monde (viktor) 3176379322. fréquence de connexion - j'suis là tous les jours, faut me faire décrocher. crédits des icons - prima luce. le mot de la fin - j'vais arrêter d'croire que ce sera le dernier hein ... Arrow

Code:
[b]timur simakov[/b] / [i]viktor hoenikker[/i]
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 1:40

lnmjhfuyikljbhvguyiojkjbh
LE PETIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIT
juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939
par toi, en plus, ça ne peut QUE être parfait, olalalala juste la fin du monde (viktor) 3176379322 juste la fin du monde (viktor) 3176379322 juste la fin du monde (viktor) 3556163343
le début est tellement tellement tellement beau, j'ai si hâte de lire la suite, et de définir notre lien, et de rper, ok. juste la fin du monde (viktor) 2941531464 juste la fin du monde (viktor) 2746119247 juste la fin du monde (viktor) 2470315465

rebienvenue chez toi petit chat, bon courage pour la suite de ta fiche et jkbhjvgfuyihjk MERCI ENCORE de tenter viktor juste la fin du monde (viktor) 1712875017 juste la fin du monde (viktor) 1712875017 juste la fin du monde (viktor) 3227196488
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 1:47

juste la fin du monde (viktor) 2470315465 juste la fin du monde (viktor) 2470315465 juste la fin du monde (viktor) 2470315465
jtm juste trop toi
je pense que tu es ma muse
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Betsi Braxton;

-- blow a kiss, fire a gun --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Betsi Braxton



peltz.
balaclava - av | self - sign.
brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
11788
905
28
le coeur baroudeur et l'amour fugitif. t'aimes pas qu'on te retienne, t'aime pas qu'on revienne. c'est une danse perpétuelle entre toi, les émois éphémères et les désirs vagabonds.
vendeuse dans un sex shop. en proie aux vicelards qui s'la ramènent face à la blondinette au visage d'ange, les regards lubriques au détour des rayons de DVDs pornographiques et les coups d'oeil incisifs des bonhommes graveleux. un terrain de jeu. pernicieux. fétide. immoral.
( m o o d b o a r d )

l y e s ( 2 ) / l a l i / h a l l # 0 2 / t r i p p / c o b a n
s o f i a / a m o s / s o c o / y o u ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 1:57

NAAAAAAAAAAOOOOON
DEPUIS MINUIT J'ATTENDS
espèce de mytho juste la fin du monde (viktor) 4113627247
ET TU POSTES EN SCRED QUAND J'ARRETE DE SURVEILLER ????
ET J'AI MEME PAS LA FIRST PLACE POUR TE DIRE BIENVENUE
juste la fin du monde (viktor) 2746359131 juste la fin du monde (viktor) 2746359131 juste la fin du monde (viktor) 2746359131
(on appelle ça une meuf qui s'emballe juste la fin du monde (viktor) 4113627247)

sérieusement
j'aime timur d'amour (ça rime)
et j'suis sûre que tu vas en faire un personnage dingue juste la fin du monde (viktor) 2746119247
((euh par contre
va falloir se calmer sur les bombes du coup chez les hoenikker parce que ça va plus du tout là !! juste la fin du monde (viktor) 2625458459 juste la fin du monde (viktor) 2625458459 juste la fin du monde (viktor) 2625458459))
comme toujours, le début est un délice à lire juste la fin du monde (viktor) 3176379322
bon courage pour la suite, j'ai hâte de lire juste la fin du monde (viktor) 3794924939

et oups
j'allais oublier
rebienvenue à la maison p'tit chat juste la fin du monde (viktor) 1948873765

_________________
-- well-behaved women rarely make history.
don't be scared to be a b i t c h.
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 7:23

Reeeeeee chez toi joli coeur juste la fin du monde (viktor) 3227196488
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 9:00

Rebienvenue avec ce nouveau perso juste la fin du monde (viktor) 1252774950 amuses-toi bien ! juste la fin du monde (viktor) 2306000062
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 9:06

le pseudo, l'avatar, l'histoire, trop de perfection par ici juste la fin du monde (viktor) 697000959 re-bienvenue chez toi juste la fin du monde (viktor) 3227196488
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 9:25

ce personnage juste la fin du monde (viktor) 697000959
cette plume juste la fin du monde (viktor) 2470315465
(tu sais déjà que je suis une de tes plus grandes groupies)
et il suffit toute cette perfection là juste la fin du monde (viktor) 2746359131
on ne te dit plus bienvenue mon chat, t'es à la maison juste la fin du monde (viktor) 3794924939 juste la fin du monde (viktor) 3794924939
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Message Sujet: Re: juste la fin du monde (viktor)   juste la fin du monde (viktor) Empty Mer 12 Juin - 9:50

juste la fin du monde (viktor) Giphy
le bb bro est enfin là  juste la fin du monde (viktor) 3176379322  juste la fin du monde (viktor) 697000959

je savais qu'il serait beau sous ta plume, mais tu pètes tous les compteurs (comme d'habitude, tu me diras)  juste la fin du monde (viktor) 697000959
vivement la suite de cette fiche et hâte qu'on puisse jouer ce qu'on a prévu  juste la fin du monde (viktor) 3794924939  juste la fin du monde (viktor) 3794924939  juste la fin du monde (viktor) 3794924939
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