SAVE THE QUEENS
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Message Sujet: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 17:22

save the queens ---- / MARS VEGA

25 ans ---- / ace of hearts ---- / maverick mcconnell

identité complète -  james nelson est d’une banalité pittoresque. d’un manque certain de toute consistance, d’une sonorité trop morne et pas assez exubérante pour imprimer les langues qui osent l’articuler. l'appellation est désuète, même. un monsieur tout le monde qu’on mélange éhontément avec les autres patronymes distribués de mains frauduleuses. qui peut bien se foutre d’un nom, alors qu’on peut lui offrir la signification que l’on désire? c’est d’un désir purement gamin qu’il s’est attribué des lettres qui ne lui sied finalement pas au teint. l’homme aux milles visage en a élit un pour trôner au sommet de sa hiérarchie identitaire douteuse, mars vega. l’un pour une divinité synonyme de cataclysme et de stratégie brillante. l’autre pour vincent, et les quelques couches de pseudo culture dont il se glorifie prétentieusement pour combler ses lacunes ahurissantes.  lieu de naissance et origines - là encore, le gosse au mensonge flanque à même les papilles rétorquera des exotismes décousus pour faire miroiter monts et merveilles aux crédules. la vérité, elle, est d’un manque total d’intérêt. un énième natif d’ici, vivant ici, crevant aussi ici. il n’a que l’espoir muet de se découvrir des millième de sang plus épicé, ou d’inventer à son père fantôme un palmarès de généalogie imbibée de lointains impalpables. études ou métier - le triomphe du néant, s’il y a un bien un domaine où il est maître suprême c’est dans l’absence totale d’accomplissement. mars n’a rien accompli de tangible, pas d’études honorifiques qui font frémir les boyaux des ambitieux et académiques. pas d’études, et une liste interminable de petits jobs cafardeux qui n’ont en commun que leur aboutissement : un renvoi à coup de semelle.  orientation sexuelle - “très certainement pas pd monsieur, plutôt crever même.” statut civil - à la recherche compulsive de conformité. pi, scénario ou prélien - inventé.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / puérilité à fleur de peau, suffit de gratter la couche superficielle du derme pour en voir la couleur - gosse belliqueux à la langue ankylosée aux cendres et autres exhalaisons d'apocalypse - individualiste qui s'autolâtre sans pudeur aucune, son je est tout puissant face à un vous qu'il abhorre avec un dandysme certain - thésaurise des merveilles d'impétuosité, là où certains s'épanchent en prospections cérébrales, mars lui fait triompher l'impulsivité incandescente des nerfs - il est avide d'un tout, tout le temps, tout de suite. si la patience est une vertue, celle de l'enfant roi se résume à un froissement de secondes avant d'être corrodée par l'irritation - sa catalepsie psychique, plus communément paralysie émotionnelle possède son propre langage. là où il rencontrera des incommodités pour communiquer et apprivoiser le spectre de sa sensibilité, mars modulera un rien en goliath. ainsi, la mue de colère deviendra furie, celle d'allégresse extase hystérique, la tristesse satinée sera torpeur asphyxiante. pas de demie mesure dans son excès pathologique. - il est scarifié de toutes les stigmates de l'ignorance, la faute à une catégorie sociale fangeuse, une éducation diluée grossièrement dans les veines ou tout simplement une connerie chronique. immaturité, misogynie, xénophobie, homophobie, les vices s'ammoncèlent éclairés par le même astre : tout ce qu'il n'est pas le pétrifie odieusement - chaque mal a supposément son contrepoison, le placebo de tous les siens est la pensée magique. poussière ésotérique qui dissout toute trace de culpabilité, sur sa conscience ne perdure aucune gangrène. - la souveraine de son quotidien est celle qui asphyxie un lendemain qu'il n'effleurera jamais : la procrastination. sa bouche s'arrondit trop souvent autour d'un "plus tard" qui n'atteint que trop rarement son terme, jusqu'à ce que la contrainte soit trop babylonienne pour la déplacer - la solitude est sa succube la plus suprême, sous des couches de self-government prémâché qu'il scande à qui veut bien l'entendre, mars est d'une dépendance à l'humain dantesque. sous le règne de relations sociales cousues d'une maille trop fébrile pour être sincères, c'est la frontière entre eden et enfer qui se gausse. mars ne distingue plus le bon du mauvais, le bien du mal, autistement aveuglé par son appétence pour la reconnaissance et l'appartenance. - toute trace d'autorité est appréhendée par son système comme un puissant allergène, produit fraîchement manufacturé de daddy et mommy issues hybridés.
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 17:22

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
songs of witches, fairies, wizards and ghosts) l’enfant est d’un délirium névralgique, une folie sirupeuse aux relents de gourmandise délictueuse. comme un bout de dragée juste à peine mastiquée, dissimulé sous la langue avec toute la badinerie mièvre qu’un gavroche aurait à camoufler son délit. il articule un jargon chimérique, mais exalté par un fanatisme concis et sincère. les illusions tissées par ses neurones paraissent presque vraisemblables à travers la lunette de son monde utopiste. oui, il ment. il affabule, aveugle de ses doigts de thaumaturge à la poussière de ses onirismes transcendés, mais il le fait bien. avec une dévotion presque religieuse, pieuse même. s’écorche la pulpe des doigts à édifier des murailles homériques, bâtir des merveilles, modeler d’autres bouts de rien pour en faire des tout, à tordre une réalité jugée trop chagrinante, terne et morne. où est le mal à vomir quelques flaques de couleur sur une toile vierge et anémiante.

fearless child, broken boy. tell me what it’s like to burn)
mais l’enfant n’est pas un enfant, et c’est là toute l’essence de sa névrose. peut-être des manifestes d’un clivage psychologique, d’une scission de l’entité spirituelle ou autres. l’enfant n’en est pas un, mais cette réalité lui est indigeste. elle lui noue les entrailles en tissages complexes et arabesques fumeuses. syndrôme de peter pan, quatre mots pour une pathologie qui déchire les frontière de son réel. poignée restreinte de caractère imprimés en cursif sur une feuille rageusement déchirée. c’est le placenta éternel qui l’enlace de son ouate analeptique. certains se rêvent des trésors d’indépendance, des milliards d’hypothèse fantasmagorique et empilent des hyperboles de désirs sous leur semelles. mars, lui, ne convoite rien de tangible. se nourrit d’un inconsistant féerique qui lui stipule que s’il veut rester enclavé dans une rêverie infantile où les frontières du réel se dissipent au simple fer de sa volonté, il en sera ainsi. dans son utopie, les obligations fondent, les responsabilités sont ces chimères qui restent sous les lits et n’agrippent jamais la cheville. le berceau de toutes ses affabulations candide est uniquement délimité aux parois de sa boîte crânienne, là où les délires sont lucides et les étoiles bien plus vives quand l’astre solaire embrase le firmament. certains disent que chacun garde un lui enfant, mars n’en a simplement jamais aboli le règne.


man in the mirror) l’épiderme en charpie comme un tableau de son bellicisme clandestin, obstrué dans les veines comme un secret à moitié digéré. ce sont les lambeaux sanguinolents de sa fatuité éventrée qui restent entassés sous ses serres. mars travestit son discrédit personnel en poupée de présomption cuprifère étincelante. une cérémonie d’artifices aveuglants pour maquiller les immondices. la langue est saupoudrée de phallocentrisme fastidieux, la poitrine gonflée à la prétention terreuse jusqu’à éclater et le corps malaxé de frénésie qu’il imbibe avec luxuriance de langage corporel brute, membres sculpté à la rustrerie et la salive saturée au machisme cynique. là où sa misogynie scandalise les fanatiques de l’ouverture d’esprit, c’est les frêles colombes qu’il veut enjôler. les âmes herculéennes au phrasé assumé sont des gangrène à son subterfuge qu’il fuit, tout comme les succubes qui portent leur érotisme en parure aux yeux de tous. la femme indépendante, la femme bohème, la femme tout simplement est l’un de ses démons les plus fustigé qui ne fait qu’écumer son irascibilité nocive. mars convoite une fille, malléable au gré de ses doigts, réceptive à ses enchantements ésotériques, prête à se damner pour un soupçon de considération de sa part.

surrounded by midnight) comme tout gamin manufacturé par le siècle, mars est assujetti à un règne suprême du digital, de l’impalpable. il s’abrutit consciencieusement au joug des écrans, quitte à s’y dilapider la rétine et atomiser ses neurones, pour quelques soupçons d’adrénaline glissés en intraveineuse par la manette de sa console. le sommeil n’est qu’un agrément secondaire qu’il empile laborieusement, au sacrifice de sa masse grise et d’une vitalité dont il se fout grassement. l’avènement des ténèbres et du silence lui est bien plus confortable que le bourdonnement fétide de la vie, la bande sonore de son existence pourrait bien s’apparenter à une tempête de cliquetis électronique et au grésillement carillonnant de sa télévision.

he wore a thousand faces all to hide his own)
l’éphéméride de ses impostures s’entasse dans un recoin de sa chambre chaotique, temple aux mille feuilles où sont couchées sur papier toutes les atrocités de son être. chaque fêlure miasmatique, chaque entaille apposée au flanc de la véracité, chaque nom qui n’est pas le sien et qui pourtant, a arrondi les commissures de ses lèvres pour s’en approprier la sapidité. le gamin élucubre et concevoit des autres, des alias plus pittoresques et moins blêmes. il y a allen, et son souffle mordoré rincé à l’éthanol. l’opulence factice qui suinte des babines et les trois-pièce satinés qu’il placarde avec toute l’éloquence du monde entre les moulures des soirées mondaines. une fortune sibylline diluée à un héritage dantesque, quelques oscillations de cils et le simulacre se distord en maxime rapidement ingérée. sous les réverbères fuligineux des ruelles torves, c’est ty qui devient marionnettiste. lui et ses pupilles aussi sphériques que l’astre lunaire, couleur d’asphalte dégoulinantes des obsidiennes. lui et ses docks râpées le long de l’asphalte grivois, lui et ses fringues entamées jusqu’à la trame, lui et ses veines fallacieusement injectées aux stupéfiants. un débris qui fleurit avec les premiers pleurs de crépuscule qui balafrent la voûte céleste et fane avec les rosaces sirupeuses de l’aube. au creux des pupilles rêveuses, c’est diego qui ondule ses traits. poches lourdes d’horizons sempiternels et la bouche assaisonnée aux voyages aux milles couleurs. avec son sac à dos capitonné de carnets saturés à l’encre des souvenirs fictifs, croquis de visage du monde tracés d’une main senestre et fantasmes d’autres mondes mirifiques. il y a aussi faust le théologien et ses litanies patientes, lui qui échafaude des trésors de grâce et de paroles creuses saupoudrées de spiritualisme auquel il appose la marque d’une dévotion divine qui n’existe pas. lui qui aime, chérit les coeurs et non les corps, abhorre le péché qui viendrait souiller le réceptacle de sa ferveur. aux premières lueurs de sensibilité, c’est maverick qui se substitue à son être. juste une poignée d’instants candides où il imaginera ses phalanges mouchetées de peinture et la pulpe de ses doigts écornée par des pinceaux. un créateur amoureux du beau, de l’harmonie, de chaque parcelle d’univers coincée sous sa rétine alerte. et puis il y a mars, le morceau de réalité atrophiée par le trouble. polycopie volubile de l’iridescence de son essence même.

some kids are born with tragedy in their blood)
chaque monstruosité détient sa naissance, un germe putréfié qui entrave l'efflorescence splendide et pure. la sienne est ponctuée du cliché qui voudrait que chaque petit garçon privé d’un père sera importuné de ses stigmates. le sien n’est qu’un nom gommé à l’élastomère qu’est la rancoeur de sa mère, un faciès coléreusement rayé des portraits de famille, devenu trou noir boulimique de toutes les aspérités de leur vie. pourtant le gamin ne le déteste pas, mais plutôt l’adule avec un fanatisme truculent. chaque parcelle de lui grapillée à la bouche distendue de sa mère est religieusement conservée dans l’écrin délicat de l’archétype de son être en friche. tout ce qu’il aimerait devenir, parvenir à pasticher jusqu’à un plissement de sourcils broussailleux. tel un héro de guerre, c’est tout un sanctuaire à l’épitaphe marbré qu’il a solennellement bâti dans son crâne. une ode à l’homme qu’il n’a jamais connu qui vibre continuellement sous ses lèvres.

momma, just killed a man)   comme récompense empoisonnée de l’abandon originel ne restent que les miettes funambulesques d’un tandem endeuillé. lui, et elle. lui et la carcasse euthanasiée par des tribulations infâmes, qu’il continue de remuer du bout de sa propre colère. qu’on lui demande s’il l’aime, et la réponse sera crachée sur le bout des chaussures de l’importun avec une condescendance cache-misère. la haine n’est qu’un bien faible maux, face à la relique parfaite de tout ce qu’il déteste. un concentré de déficiences et carences entassés dans une mue humanoïde et c’est le résultat qu’il obtient : une mère qu’il s’use à assassiner mutiquement depuis ses premiers souffles. et même s’il lui est bien trop scabreux de reconnaître l’évidence, c’est de là où toutes ses phobies et autres éléments déclencheurs d’âpreté trouvent leur source : cueillis à même dans son flanc à elle. chaque soupçon de similitude chez l’une avec l’autre réveillera la frénésie mijaurée, chaque manque de l’une corrélé avec une carence chez l’autre déchaînera les tourments. petit à petit, il l’a construite et érigée sur un piédestal de souillure pour mieux la haïr à chaque nouveau souffle qui lui perfore l’oesophage. parce que tout est de sa faute, à elle, à elles.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK

n. ---- / 21 ans ---- / rpgiste

ville - en haut à gauche. études ou métier - galère galère. avis général sur le forum - toujours le meilleur. le détail qui t'a fait craquer - vous?  (VENOM) 1252774950 fréquence de connexion - 4/7 crédits des icons - chrysalis. le mot de la fin - beaucoup d'amour.

Code:
[b]maverick mcconnell[/b] / [i]mars vega[/i]

coucou vous (VENOM) 2480631781
je sais pas si le pseudo rapellera quelque chose à certains d'entre vous mais je vous avais déjà rejoint fut un temps, malheureusement j'ai scandaleusement déserté à cause de petits soucis de temps, remise en question rpgique et tout le bordel. mille excuses vraiment j'aurai pas du procéder de la façon et j'espère que malgré tout vous m'en voudrez pas et que vous m'accepterez quand même parmi vous (VENOM) 3176379322
j'avais un goût d'inachevé avec ce personnage que j'affectionne énormément, de pas avoir pu le jouer, exploiter mes liens, puis me faire une petite place parmi vos jolies têtes, donc je retente l'aventure (VENOM) 2941531464
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 17:42

ouh j'aime bien ce personnage qui s'annonce (VENOM) 1948873765

bon retour à la maison (VENOM) 3227196488 (VENOM) 3227196488
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 17:51

(re) bienvenueee sur le forum (VENOM) 2037884118
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 17:59

oh, comme c'est cool de retrouver un visage connu dans le coin (VENOM) 3227196488
j'étais bianca comuzzi quand tu étais encore sur le forum (VENOM) 2480631781 je suis certaine que l'accueil sera à la hauteur de tes souvenirs, au plaisir de se retrouver un lien (VENOM) 1948873765
alors (re)bienvenue à la maison (VENOM) 2470315465
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 18:36

Mais pourquoi vous avez tous autant de classe, send help. (VENOM) 725557629
Bienvenue beau chat. (VENOM) 3946969752 (VENOM) 2288768012 (VENOM) 3794924939
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 19:15

c'est absolument magnifique ce que t'écris (VENOM) 697000959
il faut arrêter les belles plumes là, j'sais plus qui stalk après (et j'sais pas me stopper pour demander des liens non plus (VENOM) 2746359131)
non mais ce pseudo, cette plume, cet avatar, tout va (VENOM) 3176379322
et on s'est pas connues mais c'est très cool que tu sois revenue parmi nous (VENOM) 3227196488
rebienvenue chez toi ! (VENOM) 1948873765
(et hâte de lire la suite surtout !)
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 19:26

toujours aussi canon le peuple par ici, ça fait plaisir à voir  (VENOM) 1747131343
merci vous êtes des anges  (VENOM) 2941531464

@maureen stonem oh mais oui je me souviens de toi, ça fait plaisir  (VENOM) 3176379322 puis je vois que le level de beauté est toujours aussi élevé dis-donc  (VENOM) 480239795 et avec plaisir aussi pour un lien si t'es toujours partante  (VENOM) 697000959

@sasha frances ce pseudo, je suis fan  (VENOM) 2746119247
puis la classe c'est pour essayer de t'égaler voyons  (VENOM) 2323690026

@sarai barger mais je chiale?
t'es un amour, d'une puissance je sais pas où me mettre quoi (VENOM) 2746119247 surtout que t'es pas en reste je te renvoies clairement tous tes compliments, dajana ma reine, ton pseudo est beau, l'aes du perso, tout quoi  (VENOM) 1774268211 donc si jamais y'a possibilité d'exploiter ta faiblesse pour un lien...  (VENOM) 2371390455 (j'avais jeté un oeil à tes pré-liens d'ailleurs, de la pure bombe  (VENOM) 3227196488 )
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 19:31

mais t'es trop adorable (VENOM) 3227196488 (VENOM) 3176379322 je serais venue te voir en mp quoi qu'il en soit je pense (VENOM) 2480631781 je veux. un. lien. c'est certain !
(tu me fais trop plaisiiir, j'suis contente s'ils t'ont plu (VENOM) 3227196488 si jamais quelque chose peut coller à mars, j'suis grave pour ! (VENOM) 4113627247 mais j'viens vite en mp pour discuter quoi qu'il en soit !)
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Message Sujet: Re: (VENOM)   (VENOM) Empty Mar 30 Avr - 19:41

rebienvenue à toi (VENOM) 3227196488
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