/ LES PERLES DES RPS.

@Amira Mokrane (je suis tellement contente aussi d'écrire avec toi) @Juliette Sartier (et nous c'est quand qu'on s'y met ? hein ?   )

Oh mais vous êtes vraiment adorables les filles, merci pour ces mots qui sont très touchants. Je suis contente que ça vous plaise    (et d'être votre dictionnaire attitré)

De toute façon, dans tout ce que vous citez sur ce fil, il y a vraiment de quoi attiser l'envie de tout lire, c'est vraiment trop cool d'être sur un fo' comme celui-ci

Merci encore

J'en profite pour ajouter mes petits coups de coeur du jour

Citation :

Cheveux blonds, cheveux noirs, cheveux d’or et d’argent. Sang sur les doigts, liberté compromise. Rêves d’autres temps. Les pensées se fragmentent et s’essoufflent, meurent au gré des turpitudes d’un désir qui se prend, s’étire, pourfend. Le vide s’ouvre à l’unisson du paroxysme d’un plaisir malade. Ce spasme entier du corps qui accepte la reddition et la savoure, quelques secondes seulement.

@Sybil Farquharson Tu sais déjà tout ce que je pense de toi, de tes mots, de ces mondes que tu ouvres et qui donnent tant envie de basculer dedans. Une autre aventure avec toi qui commence... Les ailes me poussent.

Citation :

elle joue de toi Amos, elle veut te rendre fou. tu le sais bien. tu le vois bien. pourtant ça te contrarie, gosse pourri gâté qui ne supporte pas qu’on lui dise non, qu’on lui refuse quoi que ce soit. elle ne se souvient pas de ton prénom. soit. qu’il en soit ainsi. tu le tatoueras toi-même sur son cœur, sur son âme, et plus jamais elle ne l’oubliera.

++

Citation :

douceur aride, douleur acide qui enlaidit son âme d’enfant pourri, d’enfant raté mais pas d’enfant gâté. les fissures de son masque qui menacent de s’écorcher comme leia qui s’écorchera inévitablement avec amos, elle s’accrochera, quand même.

@Amos Lazaridis @Leia Dole  Vous êtes déjà en vedette, mais j'en rajoute une couche : il y a une telle intensité là-dedans, c'est vraiment passionnant de vous lire. Je vous stalke désormais, c'est officiel.

mais c'est tellement doux de ta part, ton petit mot, ça me touche vraiment beaucoup venant de toi. ce rp me brise tellement le coeur, j'étais en pls juste de l'écrire, ils s'aiment tellement ça me tue tellement des star-crossed lovers, pff. j'ai tlm hâte à la suite, et en même temps pas du tout, je veux pas briser le coeur de bb flip, nope nope
(et je sais, asfiajsf que ça m'tue)
(OUI )

t'es tellement un amour océ, merci
je pense que personne est prêt pour la suite mdr mais bon elle va arriver vite pareil (ET JE VEUX L'OPÉRATION LOUVE TOUT DE SUITE MERCI BONSOIR RIEN NE VA PLUS LÀ )
(oh et si quelqu'un pouvait buter le père hoenikker aussi au passage flip en serait très reconnaissant )

@mimi wilkes, si tu veux vraiment pas briser le coeur de flip t'as pas à le faire heiiiiin j'dis ça j'dis rien personne t'y oblige à part notre amour pour le drama mdr

je passe enfin citer les choses magnifiques que j'ai la chance de lire  merci à vous d'écrire toutes ces belles choses

Will Rosen a écrit:

appuyée sur la rambarde du balcon, ton regard se jette dans le vide, ton éternel sourire moqueur sur les lèvres. cinq étages et puis le sol, juste de quoi planer quelques instants. juste quelques quelques secondes pour faire comme ta sœur. mais t'es pas comme ça will, t'es pas aussi faible qu'elle. tu te crois au-dessus du monde will, tu oublies presque que le feu peut souvent brûler. ce soir, t'as besoin de ta dose d'adrénaline, t'as besoin de te sentir vivante malgré tes yeux éclatés par tout ce que tu as pu avaler ce soir.

Lola Cordoba a écrit:

il n'y a pas une once de violence en elle - pas même un brin - alors pourquoi ? impuissante, son inconscient rejoue la scène encore et encore comme si elle essayait désespérément de saisir, de décrypter un code qui lui est inconnu. c’était un jour comme les autres : elle sortait de fisher hall, riait à gorge déployée. sauf qu’on l’a interpellé, de la plus mauvaise des manières. on lui a hurlé que les gens de son espèce ne devraient pas être ici, qu’ils mériteraient tous de finir au fond d'un caniveau et que ça arriverait bien, un jour ou l’autre.

Lais Eberle a écrit:

C’était une épave, Meg lors de son arrivée aux urgences. Une carcasse de chair et de sentiments ravagés, dont les larmes ne coulaient plus tant sa tristesse était grande. Il lui a fallu du temps pour s’ouvrir. Réapprendre à communiquer, à vivre, à partager. Vivre la colère, passer par la tristesse puis le déni, avant de recommencer à sourire. De cette petite mais solide confiance qui s'est instaurée entre elles. D'abord doucement puis plus intensément. Infimes de par la méfiance de Meg. De toutes ces fois où elle a tenté de la repousser. Une amitié fragile, encore en éveil. Un exil des peines.

Lali Morales a écrit:

celle qui sûrement sans le vouloir se démarquait du commun des mortels ce soir et des visages trop similaires ici et là. t'as pourtant essuyé la foule de ton regard acéré, dans l'espoir de le poser sur des êtres qui sauraient te faire vibrer. et t'as vite déchanté quand t'as compris que t'étais sûrement la seule véritable attraction de la soirée. un bon point pour eux, pas pour toi. et la candeur de ce visage était venue la cueillir, l'hypnotiser sans demie-mesure. l'aura qui se dégageait partout autour de sa frêle silhouette avait parlé pour elle.

Cassey Warren a écrit:

Cela lui fait un tel bien de renouer avec sa fille. Pas suffisamment, pas assez pour étancher tout l’amour qu’elle ressent pour elle, ni pour combler son cœur bien trop vide depuis qu’elles ne vivent plus ensemble. Ce n’est pas assez, non, cela ne le sera pas tant qu’elles ne se retrouveront pas comme avant. Mais, peu à peu, elle a l’impression qu’Arya se laisse à nouveau approcher, de plus en plus. Elles retrouvent leurs sourires, leurs rires, leur complicité. C’est encore léger mais, elle y croit, elles vont finir par retrouver leur relation. Ce soir, pourtant, Cassey redoute de perdre tout ce qu’elle a mis tant de semaines à reconstruire avec elle.

Quinn Ziegler a écrit:

Cette femme, cette sirène qu’elle désirait, qu’elle voulait plus que tout au monde. Elle était comme son monde, elle était son trésor, et elle comptait le garder, bien au chaud avec elle, jusqu’à la fin. Pensée malsaine, pensée effrayante, elle ne l’était pourtant pas, dans l’esprit de la quadragénaire, qui ne se voyait que comme cet instrument du destin, qui souffrait, souffrait tout le temps.

Sloan Benson a écrit:

sa voix se fait moins sèche qu'elle ne s'en serait pensé capable : sa question semble même sincère, pure presque. et ça la trouble parce ce type de douceur lui est normalement étrangé. pourquoi je continue de te parler arya ? pourquoi je cherche à te comprendre ? sloan, c'est la première à mettre tout le monde dans le même panier, à dire qu'ils sont tous pourris jusqu'à la moelle. sans exceptions. c'est de cette manière qu'elle pense depuis des années et pourtant ce soir, elle semble déroger à son propre principe. parce qu'elle lui accorde un peu plus de crédit, parce qu'elle se dit que ça doit cacher quelque chose. et c'est déjà beaucoup pour elle, c'est même énorme.

Amen Hadad a écrit:

Le coeur de Macaria, sur un plateau d'or, pour que t'y plantes le dents, puéril. Parce qu'elle est déjà morte, hein ? Faut qu'elle le soit, pour te hanter comme ça. Faut que tu passes à autre chose. Et ce sont les cuisses de Silvia qui te viennent en tête. La belle princesse tombée qui s'oblige à ouvrir ses cuisses à n'importe qui. Que tu t'amuses parfois à monopolisée. Tu termines ton verre et tout semble plus clair. Elle. C'est elle que tu vas t'offrir cette année, un peu trop en avance. C'est quand ton anniversaire déjà ?

Dom Lazaridis a écrit:

Tu sais que je serais venu, Silvia. Tu sais que j’t’aurais tenu la main, et qu’on aurait trouvé une solution ensemble. Mais c’est trop tard pour tout ça, maintenant reste plus qu’à affronter les conséquences de son choix, et à Dom de comprendre qu’il aurait du réagir face à son silence. Parce qu’il aurait pu choisir de la retrouver avant, de se battre pour comprendre au lieu de laisser le temps filer et le sol s’écrouler. T’as échoué, Dom. Et regarde où ça vous a mené. Est-ce que vous saurez vous relever ?

Oswin Delacroix a écrit:

Curieux. Tranquille. L'anxiété de la voir redescendant doucement, à mesure qu'il se rappelait la facilité de parler à Peyton. Facilité de retrouver ses marques, à ses côtés. Comme s'il ne s'était rien passé. Comme si on n'avait jamais été séparés.

@Meg Arganza

Bon sans surprise, j'approuve tout ce que t'as cité mon petit cœur. J'ai pas découvert grand-chose vu que je lis presque tous tes rp. Mais c'est toujours aussi magnifique.

merci pour la citation @meg arganza ça fait trop plaisir et que de belles plumes que tu nous mets là, tant de beauté