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 ((El Perdón))

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Message Sujet: Re: ((El Perdón))    ((El Perdón))  - Page 2 Empty Ven 7 Juin - 14:53

El Perdón
La vie en suspend pour la mort au aboies. Tu voudrais avoir le courage de cracher au monde ta haine Nene. Trainer dans la poussière tes démons qui déchires de cries silencieux ton âme tout entières. Ceux qui brûle ton âme et te détruis un peu plus à chaque respiration que tu tentes de prendre. De feu et de sang ton monde qui s’effrite. Qui s’étiole sous le poids d’une douleur qui t’écrase de toute part. La force endormie sous une culpabilité que tu ne devrais pas porter mais, que tu traînes depuis bien trop de temps Nene. Tu te meurs sous les souvenirs d’un jour que tu voudrais oublier. Impossible amnésie des chimères qui te hante. Songe d’un espoir que tu n’arrives à apercevoir. Tu l’as perdue la vue Nene. La vision de la beauté ou celle du soleil qui éclairer ton âme jadis. Tu vogue en eau trouble. Dans le désert néfaste des limbes. Tu t’accroches pourtant Nene. Tu t’accroches à ce dernier espoir de vie ou à tout sentiment qui t’éclaire fébrilement.
Le chemin est long Nene,
La route est semé d’embûche Nene,
Mais regarde,
Regarde la vie au bout,
Regarde la lumière qui se confond en espoir !

Les mots qui se déverses et perle salées striant tes joues malgré toi. Délicat le déchirement de ton cœur qui s’ouvre. Clés du myocarde blessées. Tes la biche prise entre deux feu. Piégée par le loup de ces crocs mordant ta chaire. Il t’a eu Nene. Les maux qui se laissent aller dans l’air à une symphonie de désespoir. Paroles agglutiné que tu as laissé enfermer des années et la libération inévitable. La vérité qui se livre et le masque qui se fissure. –tu voies comme j’ai mal lobo ? tu voies comme la vie m’as brisée ?!...- Paralyser sur un sol jonché de vos regrets. Des cadavres invisibles de vos sentiments laissés à la trappe au nom d’un héritage qui saignait tout. Vous aviez les pieds dans vos propres tombes. Vous seriez votre propre perte à l’image de toi-même Nene. Toi ces souvenirs enfouis. Mit sous clés mais, jamais oublier. Pourtant, tout implose Nene. Tout t’implose d’une énième bêtise ou de ce besoin de connecté. L’incompréhension des années écoulés qui veut panser la plaie béante de ton myocarde qui se meurt dans ta poitrine. Tout implose à ces mains qui se poses sur toi et à la chaleur d’un baisé déposé sur le délicat de ta peau.
Libération silencieuse.
Chaleur d’un amour que rarement démontré mais, que le restes d’un regard à toujours suffit à dépeindre. L’humanité oubliée au détriment du reste. Du néant de votre monde. De votre putain de nom. L’argent qui soigne, l’argent qui tue. Tu l’agripper de ton esprit la douce caresses de ces bras autour du fragile de ton être. Oxygène regagnant sa place et c’était comme respirer à nouveau. La force de l’un pour la fragilité de l’autre. –toi et moi contre la terre entière, lobo ?! Toujours…- Le réconfort que tu n’avais plus espérer ou celui que tu t’étais refuser. Comme si le cries décider enfin de sortir. T’avais mal Nene. T’avais mal et là, dans les bras de Lobo, tu l’acceptais enfin. Pour la première fois depuis ce putain de jour d’accepter la souffrance. T’accepté la fichue réalité qui t’entourais. Pour lui. Si ce n’était pas pour toi que tu t’en sortirais, tu le ferais pour lui. « Il est mort en chair mais… c’est la mémoire de son corps que je sens peser sur le miens… s’est son souffle que je sens sur ma peau et c’est son visage que je voie quand mes yeux se ferment le soir…. » le cœur au bord des lèvres et le dégoût qui plane au-dessus de toi. T’avais envie de vomir Nene, envie de te sortir de ton propre corps. « J’aurais voulu être la Lobo, j’aurais voulu lui cracher dessus… le déposséder de lui-même comme il m’a salie Lobo… » Larmes qui se mue en colère. Douce rage qui crépite au fond de toi. Tes prunelles qui se perdent dans les siennes et qui se laisses aller à ces mains encadrant ton visage. –je serais forte pour toi lobo, je te le promets…- Le visage qui se moue légèrement et ta réponse silencieuse. Tu ferais n’importe quoi pour lui comme il ferait n’importe quoi pour toi. Tes mains qui se posent sur ces poignets avec douceur et force. « …contre la terre entière ! » les yeux dans les yeux et vos cœur ternies qui se répondaient pour la première fois depuis longtemps. « J’irais mieux Lobo, pour toi, j’irais mieux… »

@lobo mcgrath  ((El Perdón))  - Page 2 1252774950
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Message Sujet: Re: ((El Perdón))    ((El Perdón))  - Page 2 Empty Lun 10 Juin - 0:48

El Perdón
Jeune roi gâté perché sur sa vingtaine d’années. Au bout des doigts, les caresses volages sur la sœur bafouée, la tête lovée contre son torse, le démon est distrait, perdu dans ses réflexions obscènes. Rares moments de calme, mirage d’une tranquillité fugace.
Parce qu'il a la rage au ventre,
la rage dans ses muscles,
la rage dans sa tête comme un jus de cerveau contrefait.
C’est tellement fort cette fois qu’il ne pense plus, a oublié les mots jusqu’à son propre nom. Il s’appelle Lobo, mais qui s’en soucie ? Ce n’est plus qu’un amas d’envies ultra violentes, d’instincts de mort, une chose pleine de crocs et de griffes mue par le Diable en personne. Satan chuchote de douces choses à ses oreilles bourdonnantes, empoigne son corps comme un amant, tord ses doigts, agite ses neurones, et ordonne. Des violons stridents résonnent, les archers sont des scalpels. Le bruit du sang qui pulse le rend sourd, ses yeux sont rouges à l’intérieur. Plus rien n’a de sens. « Il est mort en chair mais… c’est la mémoire de son corps que je sens peser sur le miens… c’est son souffle que je sens sur ma peau et c’est son visage que je voie quand mes yeux se ferment le soir … »
elle est toujours dans ses bras, alors que les yeux fauves se perdent aux travers de la baie vitrée. Une pluie. Un déluge, là, dehors.
L'eau qui tombe en cascade et perle sur la vitre. Céleste spectacle qui lui donnerait presque espoir, sans parvenir à le laver de ses péchés pour autant. Ils demeurent là, figés dans le temps. Immuables. Ancrés à chaque pore, sous le tracé précis des aiguilles. Une encre noire et conquérante. De ses doigts à ses chevilles. Trophées, menaces, regrets. Chaque courbe pliée sous le poids d'une histoire sordide. Ça ne s'effacera jamais. Pas plus que le sang qui borde ses phalanges de carmin. L'ADN de tous ces pourris qu'il a pu fracasser, au nom du clan et d'une violence terrible. Le père dit, le fils exécute. Il dessine les plans et il se met à l’œuvre. Roi sans pitié, roi démoniaque. Papa et ses yeux bleus qui ne pleurent jamais. Prénom qui lui aussi a trouvé sa place dans la chair de son fils cadet – preuve d'amour qui ressemble pourtant parfois à une marque d'appartenance. 
L'encre ne coulera pas sur son derme. Il espère seulement se laver du reste.
D'elle, et des syllabes indécentes qui se sont apposées sur la ligne de son pectoral.
De l'empreinte de ses souvenirs brûlant dans ses iris, et des sillons de feu, tracés par les balles.
Brûlures au troisième degré qui nécrosent plus que la surface. À son contact, il se sent un peu plus pourri à l'intérieur encore, le loup. Elle est sa piqûre de rappel, avec ses mots trop innocents et ses prunelles pour refléter le monstre qu'il est. Ses yeux se ferment et il la voit encore, calquée sur ses rétines, un sourire suffisant pour joindre ses lèvres. « J’aurais voulu être la Lobo, j’aurais voulu lui cracher dessus… le déposséder de lui-même comme il m’a salie Lobo… contre la terre entière ! » Lames de glace qui tombent sur sa carcasse. La stature ne ploie pas. C'est à peine s'il frissonne. Oh si tu savais, Nene. J'aimerais le ramener à la vie, l'arracher aux enfers pour qu'on puisse ensemble, l'y jeter de nouveau. Il la voit cette colère brillait dans son regard, cette colère qui ravage et qui fera d'elle plus tard, un monstre, qui astiquera le sang des autres sur le blase familiale. « Ça, c'est être une McGrath. » Des mots qui marquent ses lèvres d'un léger sourire, alors qu'il comprend les desseins de sa sœur. Il y aurait peut-être pensé lui aussi, si son esprit n'était pas autant orienté sur les affaires qui lui torture l'esprit depuis des jours. Il visse son regard dans le sien, noyé de cette insolence commune. Il s'étouffe sur son silence et la regarde. C'est beau, c'est tendre. « J’irais mieux Lobo, pour toi, j’irais mieux… » Main qui se perd dans sa chevelure de sirène. C'est toi et moi, ne l'oublie pas. « Je sais. » Parce j'crois que t'es plus forte que tu ne le penses. « Je ne te demande pas d'oublier. Sers-toi de ce qui te fait vriller. »

@nevaeh mcgrath   ((El Perdón))  - Page 2 3227196488
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Message Sujet: Re: ((El Perdón))    ((El Perdón))  - Page 2 Empty Lun 17 Juin - 19:48

El Perdón
T’es réveillée Nevaeh,
Oui,
La douleur qui te tiraille et les yeux ouvert Nevaeh,
Tu ne dors plus Nevaeh,
Céssité envolé d’un mensonge servi durant des années.
Oui,
Nevaeh,
Pour la première fois depuis ta mort,
T’es éveillée.

Tu ne l’as caches plus ta douleurs derrière ce masque de folie. Faux semblant et sourire de circonstance qui s’est vu étouffer par des larmes aiguisée comme des couperets. Le sanglot qui râpe la gorge. Celui qui fait plus de bien que de mal mais, qui te ramène à la réalité. Tu as les pieds sur terre Nene. De ces mots qu’il te crache aux maux de ton cœur qui t’assassines. Le réveil à sonner. T’es là, Nene. T’es là avec lui. Putain que ta mal Nene mais, t’es là. Tu l’embrasse cette douleur. La vérité de l’être en morceau que tu es. De ton âme noircie par le sinistre. Cascade de paroles qui déferlent dans l’air. T’es prisonnière de la vérité que tu laisses s’écouler à tes pieds.
Le boulet que tu traînes dans ton sillage qui se fissure.
Tu t’en libère. T’en veux plus Nene. Tu veux voler de nouveau. Tu veux vivre de nouveau.
Les conneries accumulées ou la détresse silencieuse. Le crie retenue qui sort enfin dans une cacophonie assourdissante. T’as mal de cette putain de symphonie qui enserre ton esprit d’une culpabilité qui n’est pas tienne. De regrets que tu ne devrais pas avoir. Il a gagné que tu t’es laissé avoir tout ce temps. Temps écoulé. Temps perdu à suffoquer. Lente agonie qui a fini par t’avoir. L’égoïsme en allier et des œillères en instrument. Tu ne l’as a pas vue ces mains tendue. Tout n’était que ténèbres. Tu le veux le soleil Nene. Tu pourrais tuer pour y retrouver sa chaleur. Sa douceur. Bercées par les étincelles d’u feu qui jaillissais de toi autrefois. –rallume-moi lobo, aides moi, allume la lumière…- Tu t’es éteintes et c’est comme cherché à tâtons l’interrupteur sans jamais y parvenir. Tu vacille Nene. Tu chancelle. T’es une funambule qui se raccroche au mince fil de la vie. Ta vie.
Attrape la corde Nevaeh,
Laisses toi tirer vers le haut,
Laisses toi tomber dans le vide Nevaeh,
Laisses toi tomber, ils te rattraperont…

T’as plus la solitude comme meilleure amie Nene. Ta ces bras qui enroule ton être. Ceux qui cajoles tes cheveux et berces ton âmes. Tu respires Nene. Tu souffle de nouveau. Pt’être juste pour une seconde ?! Pt’être juste pour un instant… mais, tu t’en fou Nene. Tu t’accroche à l’espoir. Tu t’accroche à lui. Traversé interminable du désert et tu voies un oasis apparaître. Petit miracle dans ta vie parsemé de démons. –on est pt’être pas que mauvais lobo, on est pt’être plus… on les emmerdes les anges, on les emmerdes les démons aussi, on a nous….- Tu l’as réveil la rage qui sommeille en toi. Tu l’attrapes de tes bras. Tu t’y agrippes comme si c’était là la clé à ta peine. Comme si c’était ce qui te fallait pour avancer. Un jour après l’autre. C’était ça. La révélation qui résonne en toi au même titre que ton nom de famille encré dans ta chaire. Au plus profond de ton être. T’es une Mcgrath Nene, agis comme tels. Libère le fauve en sommeil. Acceptes toi avec tes blessures de toute façon elles, elle ne te laissera pas. Elles sont là, en toi, elles font partie de toi. « Tu sais que j’voulais pas les faires toutes ces conneries… j’suis stupide… c’est juste le seul moyen que j’ai trouvé pour me faire entendre…. » Le poids des mots et le poids du reste. Ton corps blottie contre le siens, tu ne penses plus à rien. Perdue dans les battements de vos deux cœurs abîmés qui se réponde. Tu te laisses porter.
Elle est pt ’être là, ta vraie liberté Nene ?!
T’es prisonnière de toi-même Nene, pas du monde…
Y a que toi qu’à la clé,
Y a que toi pour ouvrir la porte…


@lobo mcgrath  ((El Perdón))  - Page 2 1252774950
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Message Sujet: Re: ((El Perdón))    ((El Perdón))  - Page 2 Empty Mer 26 Juin - 13:30

El Perdón
Nevaeh, de son pas brûlé, foule le macadam fantôme. Foule son rêve éveillé qui s’effrite sous son touché. Toujours les mêmes aiguilles qui s’emmêlent, la même boucle qui s’entête. La boucle est écho, pour elle, de ses crève-cœurs. La McGrath n’a pas réussi à être elle depuis qu’elle a mis le pied en enfer. Ses artères écument ses douleurs sur sa fenêtre. Pas su la voir avec ses océans salpêtres. Car elle la sent, cette ville, la juger, la décortiquer. Lui susurrer des injures dans le sifflement des bombes. Lui battre des cils. L’attirer pour mieux la bouffer. Pour mieux l’aimer, cette ville, faut se laisser astiquer.
Alors elle fuit dans les carnes des autres, dans les têtes des autres.
Et quand elle s’aventure dans les venelles,
tu voudrais qu’elle enfile son armure de guerre. Sa lance de fer. Sa peau éphémère, peau misère, peau contraire. Il faut dire, que tu sais, qu’il faut que tu saches, que ce minois qu’elle te vole, que ce visage qu’elle se colle, elle s’y cache, se cache en toi comme dans des draps de soie. « Tu sais que j’voulais pas les faires toutes ces conneries … j’suis stupide … c’est juste le seul moyen que j’ai trouvé pour me faire entendre ... » ses conneries prennent des allures shakespeariennes. Piano qui sonne faux sous les fesses gracieuses effondrées sur les dièses aigus. L’est sur le cul, Lobo. Pendant une seconde, le loup croit avoir retrouvé un fantôme. Des globes bouffeurs d’espoirs qui le détaillent. Elle a sa gueule d’ange encadrée de ses courtes mèches charbons. Putain, l’illusion fait mal. Il aborde jusqu’au sourcil qui frémit d’interrogation. Ils se mirent, ils se rôdent concours du plus perdu. Hymne à la confusion.
Hadès pénètre dans son enfer avec le myocarde blindé de pierres, de rocs entassés soigneusement contre le palpitant, et, si ce n’est suffisant, il l’asphyxie de son bâton de goudron.
(brûle.) (allume le feu à l’intérieur.)
il a été distrait par ce souvenir permanent dans lequel il marche, respire l’air bouffant, qu’efface les années immaculées, qui rappelle qu’il a jamais laissé son âme fureur comprendre la paix. Y’a sa sœur dans ses bras, petite reine. Qu’il peut pas s’empêcher de se sabrer à coup de remords. Et y’a sa famille en illusion.
« Je t’entends là. », la phrase oscille entre l’impétueux et la crueur de sa plaie. Il se les répète, ces syllabes, meurtries, les imagine rêves ultimes, perdues sur le fil de la réalité effritée, effilée, comme son cœur emballé, de tout, de rien, de brasier et futaie, cierges et goudron ; accélérer, flamboyer sans distinction dans le foutoir entre l’espoir et le regard hagard. Vague de choses, de sentiments aléatoires, qui ne trouvent de sens que dans la rage dissimulée, la frustration embobinée. « J'serai tes épaules. Alors n’en fais plus, ok ? » pas quand tout se détruit en miettes. Il nie plus la confusion qui tâche ses orbes de tempêtes. Il a besoin de calme. Les doigts nus, les doigts dérobeurs prennent leur prise sur les cheveux à la base de sa nuque pour lui offrir un dernier baiser sur le front.
« N'en fais plus. » il réitère, s’impatiente. les accents sont les siens et ça écorche la poitrine. il lui attrape le menton, impétueusement, peau contre peau, ça suspend l’air mais les carnes semblent vidées d‘extraordinaire, sereines dans le statut quo des jumeaux. Redressement de la carcasse à quelques centimètres de la sienne, miroir contre miroir.

@nevaeh mcgrath   ((El Perdón))  - Page 2 2781936883
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