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 run to you (kéziah)

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Message Sujet: run to you (kéziah)   run to you (kéziah) Empty Dim 24 Fév - 19:45

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Tu t’étais levée avec deux pieds gauches et tu ne sais même pas pourquoi tu avais pris la peine d’en sortir de ton fichu lit de merde. T’aurais dû y rester pour végéter toute la journée mais, la vérité est que tu détesté glander. Ne rien faire c’était comme signé ton arrêt e mort direct. Tu avais ce besoin constant de bougé ou plutôt de trouver un nouvel  angle intéressant à attaquer. Une proie pour faire simple. Ta blonde avait trouvé la sienne et il ne te restait plus qu’à te décider sur ton prochain à coup à toi. Tu avais dans l’idée que le hasard finirait par bien faire les choses comme toujours. Après tout, jusqu’ici la chance a toujours été plus ou moins de ton côté. Bien évidemment que tu retirais de l’équation toute les galères que tu avais enchaîné avant l’instant T ou tu t’es décidé à prendre ta vie en main. Le contrôle sur ton destin. Puis tout avais été un mal pour un bien après tout. Un enchaînement des choses ou un effet boule de neige qui n’avait fait qu’aller dans ton sens. Tu n’étais pas à l’abri du bon vieux retour du karma mais, tu le savais de ton côté. Ouais, très certainement un peu trop sûr de toi ou alors que tu ne laissais pas ta vie être régie par ce qui battais dans ta poitrine. Cela ne t’avait jamais servie. Ton cœur était qu’un fichu danger public alors, tu préférais penser avec ta tête. Ton cœur n’était pas ce qui aller subvenir à tes besoins puis, il fallait dire que pour faire ce que tu faisais valait mieux  avoir de la jugeote plutôt que du cœur. Il fallait dire que ta mère ne t’avait pas non plus appris à vivre aux grès de tes états d’âme et de tes sentiments. Non, tout au contraire. C’était simple avec elle ces sentiments grandissais à hauteur du porte monnaie. T’avais fini par claquer le chemin de ta mère à peu de choses près que tu ne couchais pas toujours avec tes victimes. Tu n’avais pas besoin de ça toi. Tu étais bien plus maligne. Puis, il fallait dire qu’avec Rhéa vous aviez su au fil des années monté une machine bien huilé. Pas très égale tout cela mais, après tout, pas vue, pas prie. Puis valait mieux pour tous ces homme que les affaires ne s’ébruites pas car, c’était ça le truc. Ils avaient tous plus à perdre que toi. L’avantage à ne pas vivre avec son cœur. Une garce, ouais. On t’avait pas appris autrement puis personne n’était venue le chercher ton palpitant. Personne c’était présenté à ta porte pour en prendre soin et même si cela avait été un jour le cas surement que tu l’aurais envoyé valser en beauté en lui riant au nez. Il n’y avait surement personne fait pour toi en ce bas monde. C’était ainsi. Point final. Tu avances avec le seul but de t’en sortir et tu le feras à commencer par courir sans savoir ce qui peut t’attendre au coin de la rue. Qui sais la chance pourras peut-être te sourire ou tout simplement que cela auras été une bonne occasion de te concentrer sur toi ou cette musique qui se déverses dans tes oreilles. Peut-être même trop concentrer que tu n’en voie pas venir le gars qui te fonce dessus. Celui qui t’insulte au passage avant de poursuivre ta route. Connard. Que tu gardes pour toi dans ta tête par ouai, t’es une lady. Une lady en détresse le cul par terre et la cheville en compte. Définitivement que tu aurais dû rester dans ton putain de lit.

@kéziah maynard run to you (kéziah) 3227196488
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Message Sujet: Re: run to you (kéziah)   run to you (kéziah) Empty Dim 10 Mar - 17:59

Le besoin de faire le vide, de courir jusqu’à perdre haleine, besoin de t’évanouir loin de tes songes, d’oublier les mots que tu as pu lire, d’oublier tout cela. T’as encore eu une crise, tout ça te fait complétement flanché, t’as pas mangé, t’as pas su te laisser aller à prendre la moindre chose, t’as pris un verre d’eau. ça t’a pas nourri, pas donné de force. Peu importe, t’étais déjà parti pour aller courir. Allez courir après une solution, après ce besoin enivrant de te détruire un peu plus. T’as la sensation d’être si seule, t’as pas parlé avec Kory ,car elle est trop maternelle, trop incapable de te remettre en question. T’as pas grand monde en vrai, t’es perdu dans un monde qui n’est plus le tien. La mort de ton père t’a fait perdre la tête, tout comme la victoire, comme ce besoin acharné de te foutre la pression, pour gagner, pour devenir le meilleur. Il n’est plus là, mais tu le remplaces très bien depuis des années, mais rien n’à y faire. Cette fois tu t’étais complétement déglingué, t’avais eu un moment de bonheur en la retrouvant elle, douce et merveilleuse India, ce sourire gravé dans tes songes, te torturant, alors que l’absence était ce qui restait pour le moment. Le temps qui manque. Le souffle qui commence à saccader, tu forces encore et toujours. la tête qui tourne, mais tu prends l’habitude de bien maitriser cela, tu n’as pas envie de flancher, pas envie de tout arrêter. Alors, tu cours, tu bois tout en marchant avant de reprendre le rythme soutenue de ta course. Tu ne le diras pas assez mais sans doute que Kilian te manque, un peu trop. Un frère qui était parti, car il avait des problèmes, il avait préféré s’enfuir plutôt que demander de l’aide. Il avait le nez qui avait bien trop traîné pour rester. Mais ça t’avait plutôt gonflé de te retrouver à présent seul, tu étais complétement en perdition depuis son départ. T’as tout qui se mélange, tout qui débord, qui vole dans tous les sens te laissant clairement pas une chance d’en sortir correctement. T’as le regard qui se trouble, tu stoppes tout cherchant à contrôler cette respiration de plus en plus saccadé, mais t’arrives à rien. T’as une rage qui ne cesse d’évoluer en toi, cette rage qui vient s’abattre directement sur le tronc d’un arbre. T’es à terre, va falloir grimper les montagnes, pour retourner à ta place, la meilleure qui soit. Tu n’es plus toi-même, la douleur de ta main est des moindres, tu vires les écouteurs de tes oreilles, besoin de communiquer avec la nature, d’être apaisé. T’es là à observer, laissant tes opales virevolter sur le monde qui t’entoure, la nature, les gens puis tes prunelles qui se posent sur une personne venant de tomber au sol, aidé bien sûr d’une autre qui avait déjà filé. T’hésites car t’es pas en état d’aider, mais tu le fais. T’avance vers la jeune femme, le sourire fixé à ton visage, ce sourire qui prend les gens pour leur donner de l’amour. « Vous allez bien ? » Tu tends ta main pour l’aider à se redresser, mais au vu de comment elle tient sa cheville, ce n’est clairement pas positif.
@Louison Duprée run to you (kéziah) 2067007726
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Message Sujet: Re: run to you (kéziah)   run to you (kéziah) Empty Sam 23 Mar - 22:52

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Le souffle qui s’envole dans l’air qui t’entoure. L’oxygène qui vas et qui viens sous le rythme battant de ton cœur qui prend l’énergie de ton âme. Libération divine que de s’oublier un instant. Que de penser à rien. Courier tout simplement. L’esprit ailleurs et qui pourtant continue inlassablement de manigancer. Pourrais-tu un jour d’arrêter après tout ?! Probablement pas. C’était devenu une drogue. Un peu comme un shoot d’adrénaline. Toi, tu te droguer au pouvoir. A celui que tu essayer de reprendre. La vengeance qui habite ton âme ou pour tous ces hommes qui t’en avait fait voir. Qui t’avais pris pour te jeter. Tu ne faisais que les cuisiner à leur propre jeu. Plus de notion de bien et de mal que ce besoin presque viscérale de  prendre. Tout prendre. Tu méritais tellement plus. Vous méritiez tellement plus avec Rhéa. Personne ne semblait vouloir te le donner. Vouloir vous offrir la hauteur de ce que vous méritiez. Alors, vous vous serviez. La vie était ainsi. Votre routine était devenue ainsi. Tu ne connaissais pas d’autre moyen de vivre car, on ne t’en avait pas montré d’autre. Tu en avais tant voulue à ta mère pour finir par suivre son exemple. Presque lamentable et pourtant tu t’entêter à penser que tu n’étais rien comme cette mégère qui t’avais mis au monde. Toi, tu voulais juste t’en sortir. Les paillettes n’étaient qu’un détail mais, tu ne cracher pas dessus si tu pouvais les avoir avec l’argent. Un argent qui te permettrait de sortir de la galère. D’accomplir des rêves que toi-même tu ne connaissais pas. T’en avais surement aucun de concret. Peut-être bien que dans tous ces mensonges que tu servais à tout vont, tu t’étais perdue en chemin. Qui sait, tu retrouverais peut-être la route. La bonne voie au grès du fichu destin encore faudrait t-il que tu y crois. Il n’y a pas de telle chose que les coïncidences à tes yeux et pourtant… Effet boule de neige, événement qui s’enchaine et te voilà au sol. Percutée et secourue par qui sais peut-être ton ticket de sortie que tu ne le sais pas encore. Une surprise. La chance de ton côté, qui te sourit. Le karma qui joue en ta faveur dans l’ombre. Charmant l’homme qui se penche vers toi. Sourire prévenant et regard si doux que tu y croirais presque. Les hommes tu n’y crois plus même si l’envie n’y manque pas. Tu t’es juré de ne plus souffrir. Plus souffrir pour eux et pourtant, te voilà au sol après t’être fait percuté par un beau connard sauvé par un autre que tu te dis. Tu juges pour protégé ce qui reste enfermer dans ta poitrine. Tu juges et tu ne sais pas. Pourtant, pour une fois tu pourrais te laisser surprendre. –surprend moi je t’en prie-« Comme quelqu’un qui viens d’être percuté par un abruti ! » et le mot est faible mais, tu les gardes pour toi tes pensée. Sourire délicats sur tes lèvres et le regard qui se laissent emporter par la surprenante bienveillance qui émane de l’homme venue à ton secours. Le regard qui court un instant. Toujours. Survolant à la recherche d’un signe. L’esprit jamais en repos. A croire qu’il t’était devenue impossible d’aborder les rapports humain autre que dans la calculassions. Pourtant, il te donnait envie de simplicité l’inconnu. Le chevalier servant. Sa main que tu attrapes pour retomber sur tes deux pieds. En vain. Le visage qui grimaces au moindre appuies. Piquante douleur qui électrice ton être et la cheville qui brûle jusqu’aux os. « Je crois bien que je suis bonne pour la case médecin… » Que tu souffles désespérer. Voilà bien un truc qui n’était pas dans tes plans.
@kéziah maynard run to you (kéziah) 3227196488
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Message Sujet: Re: run to you (kéziah)   run to you (kéziah) Empty Jeu 11 Avr - 17:23

La merde. La nourriture qui te fait valser, qui te laisse à terre, le besoin de contrôler, sauf que c’est elle qui le fait. Voilà, tout. Tout est contre toi, même toi. Sans t’en rendre compte t’es pas de ton côté. Tu ne t’aides pas. Encore à ne pas vouloir céder à un petit bout de nourriture avant de craquer, de laisser une quantité de folie entrer dans ton être. Laissant les bienfaits faire effet quelques secondes, quelques minutes le temps que tout entre en contact avec ta bouche, ton estomac, puis ne finisse par rebrousser le chemin inverse. Le besoin de contrôler ton poids, de contrôler maladivement cette nourriture qui entrera dans ton être. Tu étais passé au-dessus de tout cela, passer au-dessus de ces merdes mais tout te reviens à la gueule encore et encore. Comme un boomerang que tu es incapable de gérer, incapable de saisir. Les entrailles qui tuent, la douleur qui est insupportable, alors que tu repenses à leur mots, des mots qui ne font pas que passer, des mots qui s’ancre, s’accrochant à ton âme, finissant par déchirer cette dernière à chaque fois que t’essayes de les envoyer au vent. Elles volent, mais s’accrochent, te consumant avec dédain. Tu cours pour oublier ou pour échapper, tu ne sais pas trop. Peut-être que tout ça te court après, essayant de te chopper, de te faire la fête. Mais tu résistes, tu perds haleine en courant, car tu ne peux pas faire autrement, le besoin de te vider, de sentir l’air manquer à tes poumons, que ces derniers deviennent en manque, manque d’air jusqu’à ce que tu t’écroules. T’arrive pas, pas cette fois à oublier toutes ces merdes. Tu regrettes bonhomme ? Non. Mais tu devrais sans doute le faire, car ça te bouffe de tous les côtés. Ça te fait mal. Ça tue à petit feu, les mots des uns et des autres, ça ronge, ça te laisse le cul à terre, avec cette maudite incapacité à te relever. La main broyé, car la chair et l’os contre le tronc d’arbre c’est jamais malin. La main douloureuse, mais ce n’est rien contre l’effet des maux moraux que tu portes en toi. Tu dois supporter, tu dois affronter, mais c’est plus simple à dire qu’à faire, bien sûr. Les opales qui se glissent sur une scène dingue, un homme qui bouscule une femme et s’en va. Tu devrais faire comme l’homme en question, mais t’es pas un connard. Ça devrait pourtant être dans tes gênes, dans ton sang au vu du connard de père que tu as eu. Femmelette, ça résonne encore dans ta conscience, dans ton âme. Et tu ne te barres pas. Tu vas l’aider, oublier ta propre douleur qui dans le fond te fait un bien fou, assez maso que tu es. T’es qu’amour, t’aimerais être plus brute, être plus horrible, pour ne plus souffrir, mais toi tu ne sais pas faire ça. Ce n’est pas ta came, pas ton jeu. T’es un mioche qui se fera bouffer de tous les côtés un jour, si ce n’est pas déjà le cas. Le regard qui se confronte avec douceur à la jeune femme, sourire aux lèvres, esquisse de l’amour que tu as à donner aux autres. Tu souris à ses mots. « Il se prendra un bus pour répondre de son karma ! » Que tu dis en souriant avec toujours autant de douceur alors que tu proposes ta main à la jeune femme pour se relever. Une fois sur pied, tu la vois grimacer. Tu la regardes avec profondeur, alors que tu t’en fais pour cette inconnue, elle aurait pu être quiconque, que ça serait la même. Car c’est ainsi que tu es et pas autrement. « Alors, on fait quoi, je vous porte jusqu’à l’hôpital du coin ou bien j’appelle une cohorte d’homme prêt à vous secourir ? » Tu parlais bien évidemment des pompiers. Tu l’aides à se tenir pour le moment, le temps que sa décision vienne efflorer tes oreilles. « Moi seul ou la bande ? » Que tu demandes alors que ta main picote elle aussi, tu ne vois même pas qu’elle tâche le haut de la jeune femme que tu aides à reste droite. Un peu de sang, pas une grosse affaire non plus.
@Louison Duprée  run to you (kéziah) 2067007726
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Message Sujet: Re: run to you (kéziah)   run to you (kéziah) Empty Lun 15 Avr - 23:33

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T’avais courue pour toi et pour une fois sans aucun plan machiavélique derrière la tête. Peut-être bien que l’espace d’un instant tu avais était touché par les cieux pour effacer l’affreux démon qui sommeille en toi. A rêver tu t’étais surement aussi fait rattraper par ce foutu karma. Sensation d’avoir été écrasé par un bus alors que c’était juste un abruti qui t’avais arraché à ton moment de paix avec toi-même. D’une course tout en contrôle tu t’étais retrouver ton jolie fessier sur le goudron et les nerfs en pelote contre le conard. –ne mérites-t-on pas ce que l’on sème Louison ?! Ou alors est-ce l’un de tes plan tordue pour appâté le mal, rien de mieux qu’une jeune fille en détresse non ?!- Que tu aurais voulu créer la situation que tu ne l’aurais pu. Tu aurais évité surement de t’éclater la cheville que tu sentais bien en vrac. Tu voyais déjà la réaction de Rhéà à des kilomètre après de petite moquerie, elle jouerait les infirmières et probablement trouverais une idée de génie pour se servir de ton mal. Faudrait t-il déjà que tu puisses rentrer chez toi… Parole entendue où finalement que tu es peut-être bien une bonne étoile qui brille au-dessus de ta tête. T’es peut-être bien plus un ange que tu le penses. –tu rêves louison, t’es qu’un foutu démon et le pire c’est que tu adore ça, hein ?- Il est beau le chevalier servant, probablement un peu trop. Toujours assez pour cacher quelques choses. Ils sont tous pareil et toi, tu te la prends dans tous les cas sa main tendu. Méfiance de côté le temps d’un instant alors que tes émotions parles au-delà de ta raison. La douleur au-delà du reste, oui. Il y va de ces mots aussi. De ceux qui te font sourire. De ceux qui détende. Il est doué et t’aurais presqu’envie de croire pour une fois que ne viens là que de la sincérité. Tu l’as reviendrais presque cette gamine plein d’espoir qui croit à la putain de prince charmant. Juste un instant. Une microseconde. Ta vie n’est pas un conte de fée, faut pas que tu te perdes trop loin dans ces putains de songe. « Un bus carrément ?! Vous êtes encore plus violent que moi… » Un sourire qui s’échappes de tes lèvres et ce léger rire qui fend l’air à t’en faire presque oublier cette douleurs qui électrise ta cheville meurtrie. Tu l’avais mauvaise pas que tu t’apprêtais à courir un marathon mais, tu pouvais dire adieu au talons aiguilles pour un moment. Puis, vas trouver un coup foireux qui rapporte beaucoup sur une jambe. T’étais bonne pour un arrêt de travail t’aurais du rattraper le con et le menacer de poursuite judiciaire. Tu pouvais-toujours le retrouver ?! Non. L’extorquer un peu en menaçant de l’emmener devant la justice. Les américains étaient bien les pros des procès pour un rien après tout. Malheureusement, pour le moment tu ne pouvais pas faire grand-chose. Tu n’arrivais même pas à te relever seule. La main du bel inconnu venu te secourir pour te soutenir et son doux regard pour presque étrangement apaisé les maux de ton corps. Chaleur inhabituelle par laquelle tu te laisserais presque atteindre. –te laisses pas avoir par la douleur Louison, c’est un homme, ils sont tous pareil – Ton regard qui s’accroches au siens et ton sourires qui atteint jusque ton regard tu es devenue douée à ce genre de comédie mais, la joues-tu vraiment cette fois-ci ?! Tu te laisserais presque avoir par sa bienveillance à l’inconnu qui t’aide à tenir sur tes deux jambes. L’homme à qui tu t’accroches sans arrière-pensée. -Une putain de première pour toi, louison, hein ?!... t’en a peut-être une de petite idée, hein, qui sais ?!-«  Vous… » Murmure soufflez d’entre tes douces lèvres, dans tes yeux perdue dans les siens peut-être bien une seconde de trop. –tu joue louison, toujours, tu joues sans même savoir pourquoi- « Enfin… je préfère autant éviter la bande pour une simple foulure… puis il semblerait bien que vous en avez bien besoin aussi, non ?! » sourire délicat et le regard qui dérives vers cette mains qui s’épanche du précieux liquide pourpre sur ton haut immaculée.  Peut-être une occasion de te faire offrir un nouveau haut ou bien le pressing. Il n’y avait pas de petites économies dans ta situation…
@kéziah maynard run to you (kéziah) 3227196488
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Message Sujet: Re: run to you (kéziah)   run to you (kéziah) Empty Jeu 18 Avr - 19:10

Parfois c’est les mots du père qui ronge ton frein, te demandant d’être plus dur, plus fort te font souffrir dans le silence le plus complet. Puis tout ça ressort inévitablement sur ce mal qui t’érode, cette maladie de femmelette comme il disait le décédé. Le père parti, aucune explication, aucun pouvoir sur le fait d’avoir des réponses, de cracher un venin qui aurait sans doute viré en autre chose de moins bien méchant. Trop doux pour ce monde d’affreux. C’est ainsi. T’as pas besoin d’être un connard pour exister, t’as pas envie de faire souffrir les autres. Alors, tu te demandes, si tu dois t’en vouloir d’avoir ouvert ta bouche, puis t’as les mots de Nana qui font le boulot dans ton esprit, comme si elle te léguer un peu plus de force avec le fait de te voir comme un gars courageux. C’est pas la seule à l’avoir dit, mais tu crois forcément ceux qui diront que tu n’es qu’un couillon, qu’un mec méritant pas de vivre. Mais tu le sais bien que le monde du net n’est fourni que de personne vivant dans des cavernes incapables de s’accepter et qui se vengent en sautant à la gorge des autres. Les courageux. Tu as ce mot gravé en toi, mais le reste est là, bien pour ça que ta main s’est abattu sur ce pauvre arbre innocent, la main elle a perdu, t’as perdu. Pourtant la douleur est moins usante que la mentale. Cette voix qui te parle, te démoralise chaque fois que tu croises de tes opales de la nourriture ou ton corps se tenant face à un miroir. Tu ne veux pas être maigre, tu veux être plein de muscle, ce qui est le ca mais c’est dangereux, commençant à créer des difficultés dans les entrailles de ton propre corps. Un corps qui moisi de l’intérieur et toi qui jongle avec toutes les informations, puis tu continues à te détruire, comme si c’était le plus simple à faire. Le plus avantageux pour toi, car ça soulage tous les maux que tu te crées toi-même depuis des années. Une chance de ne pas faire le gentil, non tu sautes sur l’occasion de prouver que t’es juste trop bon. T’aides la jeune femme, tombée au sol à cause d’un con, beaucoup trop nombreux sur cette maudite terre. Le visage ouvert, le sourire qui redonne un peu de baume aux autres. « Pas violent, réaliste, le karma c’est une grosse merde ! » Ouai, toi t’as du faire de la merde comme pas possible pour en arriver à être aussi dépourvu de peu de chance. L’amour qui file entre tes doigts comme le temps le fait. Toujours la même, t’as vraiment le cœur trop pur, te faudrait quelqu’un pour t’emmener dans de nouvelles aventures, qui te laisse aller caresser du bout de tes doigts l’obscure de la vie. Il est temps, temps que tu ouvres les opales comme il le faut, que tu vives, que tu n’es pas de peine de penser à toi, de laisser tout de côté. Peut-être que t’as besoin de ça en fait. Alors, tu proposes ton aide, la porter, appeler d’autres hommes à la rescousse de la belle, tu ne sais pas trop. Son choix. Tu respectes toujours ce que les autres veulent. Alors, t’attends, puis le vous vient caresser ton âme. Tu pourras aider quelqu’un, elle aurait pu aussi te prendre pour un fou, puis fuir. Elle ajoute des mots qui te font sourire puis tes opales qui fixent ta main amoché. « C’est vrai j’en ai sans doute besoin … » Que tu lâches lasse de ta connerie de maltraiter un arbre, bien plus fort que toi. Puis tu vois autre chose. « Je suis désolée pour votre haut, je me ferais pardonner … » Ton sang qui se répand sur son haut, tu ne l’avais pas vu et maintenant tu te sentais encore un peu plus mal. Opales confronté à les siennes, tu t’y perds, tu glisses dans ses abîmes sans les comprendre et pourtant t’as comme l’envie folle de comprendre ce qui se passe dans ce regard joueur. D’un coup, tu la préviens. « On y va. » Alors, tes mains font en sorte de la soulevé de terre, poids plume dans les bras, tu laisses ses bras s’enrouler autour de ta nuque. Alors, que tu commences à marcher. « On va aller le plus vite possible, ça va pas trop douloureux ? » Que tu demandes, alors que tu peux déjà sentir les gouttes de pluies tomber sur vous, une pluie fine, mais qui laisse quand même les personnes mouillés. Tu vas vite jusqu’à arriver à l’hôpital, qui demande les papiers, tous les papiers, les siens, les tiens. Ça dépendra de votre assurance pour être soigné et toi, tout vas très bien de ce côté-là, mais elle. La santé est différemment traitée en Amérique qu’en France.

@Louison Duprée  run to you (kéziah) 2067007726
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