Lust of pleasure (harkan)

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
T’as pas dormi, tu es sortie, t’as profité qu’il n’y ait pas encore d’homme pour te protéger, heureusement pour toi, ton père n’a pas encore mis quelqu’un dans tes pattes. T’enfermer encore dans une cage dorée, tu n’en veux pas. Tu ne veux pas de tout ça, tu veux juste vivre ta petite vie, distribué de l’amour, profité de la vie comme tu en as envie. Tu as soif de la vie, l’envie de combattre à ses côtés, prête à la dévorer. Être à fond, profiter de tout ce qui pourra créer un sourire sur tes lèvres, mais encore plus sur le visage des autres. Tu aimes te sentir utile, mais encore plus le fait d’avoir de l’importance pour aider les autres. T’es douce  comme princesse, mais tu as du mordant, beaucoup trop de mordant parfois, au grand damne de ton cher père. Lui qui ne veut que tu mettre dans un cocon espérant que plus jamais l’horreur ne vienne te frapper. Maintenant tu dois affronter le gala que tu as organisé, un gala fait pour les enfants de l’orphelinat du Queens. Un endroit où tu as déjà mis les pieds, tu aimes bien voir ce que font les associations de l’argent, tu as déjà refusé quand tu avais l’impression que ce n’était que des fourberies. Ce matin, tu prends ton temps, la fatigue est dérisoire pour ton être, tu danse dans une petite tenue, un bel ensemble de lingerie qui ressort parfaitement sur ta peau légèrement halé. Une scène clairement innocente et pourtant ce n’est pas le cas, tu le sais t’as un nouveau gars qui va te suivre, te pourrir la vie, ils ne comprennent pas qu’ils ne sont au final que là pour intriguer les gens, leur donner envie d’en savoir plus, puis il creuse et c’est toi qui en payera le prix. Ton père, il ne veut rien savoir, pourtant tu vas bien finir par user bien trop de garde pour qu’il comprenne. Tu ne sais pas trop quand il arrivera, mais tu as demandé au gardien de te prévenir, même s’il a hésité, car ton père, veut vraiment tout faire pour que tu sois bien, mais un coup de chance le monsieur n’est pas là, en voyage en Russie voilà pourquoi ton garde arrive en cours de semaine et non lundi comme prévu. Dans ta tête c’est le moment parfait pour l’envoyer promener ailleurs celui-ci et être tranquille pour la journée, avant que ton père ne l’apprenne et te renvoie un chieur de plus dont tu finiras par te débarrasser. T’es joueuse, t’as trop envie de les rendre mal à l’aise, tu es tombé sur certain qui craquer à la seconde, finissant par laisser leur main sur tes courbes, d’autre qui tenaient, alors tu t’efforçais de les rendre fou, cherchant un peu plus, laissant parfois ta serviette glisser de ton épaule. Tout est bon pour gagner ta liberté, ce besoin d’être normal. Mais ça personne ne le comprend, car tu n’es pas née dans la bonne famille pour l’être. Sinon t’aurais pas subi d’enlèvement, pas du survivre à la perte de ta mère alors que tu n’avais même pas dix ans. Tu le sais poupée, ta liberté pourrait causer ta perte, mais dans le fond tu t’en fiches. Tu n’aspires qu’à vivre, à succomber à tous les coups que la vie pourrait te donner au lieu d’être enfermé dans un papier bulle auquel échapper est impossible. «    il arrive !  »  Tu souris raccrochant le téléphone que tu avais décroché après une sonnerie, presque aux aguets pour tendre ton piète. Prête à faire une bouchée de l’homme qui franchira cette porte. Tu entends sonner et tu cris de la chambre «    Vous pouvez entrer ! Je suis dans la chambre !  »  Tu n’as jamais eu froid aux yeux et c’est sans doute pour ça que tu attends  d’être libre de tout. La porte de la chambre qui souffre, tu danses sachant qu’il va rentrer, puis là tu es inerte, t’as complétement perdu le fil de ton plan … c’est pire qu’avoir une fille en garde du corps. «    hakan ?  »  Que tu lances surpris, il te faut te reprendre.

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
C’est cette promesse que tu t’es fait à toi-même il y a des années de cela. Celle que tu ne laisserais plus rien ni personne se mettre en travers de ton chemin. Entre toi et ton rêve de grandeur. De succès. Tu t’en es donné les moyen et même s’il n’était pas tous des plus légal le chemin tu le referais de la même sorte. Tu ne te laisserais plus à voir par la chienne de vie que l’on t’avait offerte au départ. Chaque fois que tu allais voir ta mère coincé sur un lit tel un légume dans le foutu hospice dans lequel tu y laisser une partie de ton fric. Chaque fois que tu en sortais tu te faisais la même rétrospective entre ton passé et ton présent. Entre ton futur que tu voyais grand. Tu avais fait des choix et laisser sur le côté de nombreuse personne mais, tu n’y changerais rien. Ton succès depuis ta sortie de l’armée du te le devais à toi et toi seul. Tu n’étais peut-être pas fière de tout et tu en payerais le prix au moment voulu mais, personne ne te retirais ce que tu avais aujourd’hui. Tu profitais de ce que tu avais construit et pour la première fois depuis ta putain de venue au monde tu pouvais te dire que tu aimais ta vie. Que tu étais presque heureux de ce que tu avais. Presque car, en réalité, tu n’en aurais jamais assez. Peut-être un peu empreint de la folie des grandeurs ou que tu jugeais que rien n’étais trop beau pour toi. Rien ne t’était forcément dû mais, cela ne t’empêcher pas de te servir. Tu partais du principe qu’il n’y avait pas à réfléchir quand une opportunité se présentais il fallait la saisir. Il n’y avait aucun risque qui ne méritait pas d’être prit. Comme le choix fou qu’avait fait en te glissant dans le lit de la fille de l’ambassadeur Russe. Ça avait été un sacré jeu qu’elle t’avait offert la jeune femme et des semaines à parler durant des heures et à flirté à coup de sourire charmeur tu avais fini par te laisser tenter par le plus simple et le plus puissant des plaisirs avec elle. Celui de la chaire et Dieu que tu ne l’avais pas regretté. Même en connaissance de cause car, cela rajouter du piquant au jeu. T’étais un putain de joueur. La vie était un jeu et que la donne soit bonne ou mauvaise tu finissais toujours par t’en sortir du bon côté de la ligne d’arrivée. T’en avais appris des belles histoires sur la Russe ou la terreur de ces gardes du corps que son père ne savait plus quoi faire. Aucun de tes gars n’avait survécu et tu les comprenais presque pourtant, ces rumeurs ne ressemblait pas à la Harlow que tu avais eu le plaisir de côtoyé ces dernières semaines. T’avais presque rie quand son père avait demandé que tu te charges personnellement de sa fille alors que tu n’allais que rarement sur le terrain. Surement qu’il ne te ferait pas autant confiance s’il savait que la dernière fois que tu avais vu sa fille c’était dans les toilettes d’un bar du Queens. T’étais qu’un putain de connard dans le fond mais, on ne refusait pas un contrat de la sorte pas quand le gouvernement compte bien tirer profit de la situation. Puis se serait mentir que de dire que tu n’y trouverais pas ton compte dans cette situation. Tu t’avancer surement un peu trop alors que tu savais mieux que personnes que de ce genre de petit manège rien de bon n’en découler en général. T’étais cependant prêt à prendre le pari. Smoking tiré à quatre épingles et arme à la ceinture tu étais prêt à te jeter dans le bain. Tu n’étais pas con pour savoir qu’elle attendrait son garde du corps comme tous les autres avant. Tu avais entendu assez d’histoire pour comprendre qu’il n’y avait pas que de l’exagération. La différence c’était qu’elle ne t’attendait pas toi et tu en souriais d’avance. Là, à frapper à sa porte en attendant d’entendre sa voix qui t’invite. Bien sûr que tu aurais pu rentrer alors qu’elle était censée être prêtes depuis quinze bonnes minute mais, tu voulais savourer la surprise sur son joli minois. Sa voix qui ne se doute de rien et tu réponds à l’invitation en ouvrant la porte pour te délecté d’un spectacle d’accueil digne de ce nom. Ces courbes vêtu de dentelles qui se déhanches te faisant esquissé un sourire en coin en souvenir de tes mains sur ce même corps. Ses prunelles qui croises enfin les tiennes et sa surprise te fait montrer des dents. Inertes de son corps ces lèvres bouge pour y souffler ton prénom. « Mademoiselle Dostoïvski ne deviez-vous pas être prêtes il y a quinze minutes de cela ?! Pas que la vue soit désagréable mais, pas certains que votre père veuillent vous voir en sous vêtement dans tous les journaux ! » Tu t’adosse au mur pour observer la jeune femme sans aucune gêne et content de ta connerie. Tu allais bien t’amuser c’était certain.  

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
T’étais prête à ajouter un nouveau nom à la fameuse liste des hommes pensant relever le défi que tu es devenue depuis quelques années. Personne n’y est arrivé, le grand drame de ton père. Lui qui voudrait t’enfermer telle la méchante sorcière dans raiponce, te vouloir pour lui seul, te savoir en bonne santé et en vie, peu importe que tu sois malheureuse, que tu es arrêtée de rêver d’aller aider les autres dans d’autres pays, aller donner de ta personne. Il y a plusieurs Harlow, celle capable de tout pour gagner et celle qui donnerait sa chemise à celui qui en a besoin. Tu es ainsi, dur à suivre, impulsive et avec une soif de liberté. Le jeu est monté en grade avec les années, l’envie de liberté, d’avoir le droit d’aller et venir comme bon te semblait, mais c’était trop demander. Alors, tu as filé en douce, semer en ville les gardes du corps, puis quand tes petits jeux étaient connus tu as commencé à voir d’autre moyen pour te libérer. Vendre ton corps pour ta liberté, pas vraiment. Tu jouais, tu séduisais, rendant fou ces hommes, qui pensait t’avoir, pensait te détenir comme la petite femme frêle que tu donnes l’impression d’être, pourtant tu es capable de mettre à terre des femmes bien plus lourde que toi quand tu participes au derby, un sport que ton père ne connait pas, forte heureusement. Petite tenue, petite dentelle sorti. Pas l’intention d’en finir dans un lit, mais juste de commencer à préparer le terrain, préparer l’homme, la prochaine victime qui pointerait son nez, pour le faire valser hors de ta vie comme toujours. Alors que tu dansais, tu attendais, tu attendais tout sauf lui. Hakan. Tu fus surprise, prise au dépourvu pour le coup. Tu as l’impression d’être la biche prise par les fards d’une voiture, ne sachant pas vers qu’elle côté allait pour t’en sortir. Lui, cet homme que tu côtoies rapidement depuis quelques temps, comme ça, sans dire ou autre si tu es attachée à cet homme dont les yeux rendant à perfection homme à la couleur du ciel. Lui parle, toi tu es silencieuse, bien trop. Comme si c’était toi le pion de ce jeu, ce n’était pas le maitre, mais lui. Tu t’étais voutée, finissant par te redresser, piquer par ses mots, hors de question que tu te laisses aller, tant pis que tu doives à lui aussi faire perdre son travail, tu n’avais qu’à pas t’attacher, c’est ainsi ta vie, tu dois laisser filer, laisser les choses se faire, façon ton père ne voudrait qu’un homme pour toi, Ismaël que tu voudrais sans doute tuer dans son sommeil si possible, un amour à la con entre vous, mais pas d’amour proprement dit. « Ok … donc vous êtes qui ? » Tu t’approches de lui, tu as les yeux rivés sur les siens, le cœur qui bat, car tu revois ses mains collé à ton corps, caressant chaque parcelle dans ces toilettes. Rien de rose ou pailleté dans cette histoire, juste un besoin du moment à assouvir, cette envie de donner plus à cet homme à qui tu avais échangé, donné un morceau de ton âme en parlant, tu le fais rarement, et te voilà dans de beau draps. T’avais pas demandé son job, pas ce qu’il faisait depuis l’armée … car l’argent ça t’importe peu, comparé à ce que peut penser les uns et les autres, les vrais eux le savent. T’as pas froid aux yeux, pourtant tu devrais sans doute, vu qui est là personne face à toi. Mais tu ne le peux pas, ça serait donner raison à ton père sur le fait d’avoir besoin de quelqu’un, de n’importe qui pour rester en vie. T’as pas envie de ça, pas envie d’être prisonnière de ta vie. « Vous avez l’intention de prendre des photos pour les journaux monsieur ? » Tu ne le connais pas son nom. « Alors, vous comptez me répondre où je dois déjà dire que vous ne faites pas l’affaire ! » Tes opales qui captent les siennes, t’as envie de le tester, comme tous les autres, il devrait connaître de quoi tu es capable, mais lui, c’est différent, clairement. Même si tu n’as envie de te donner à nouveau, pas maintenant qu’il était ici pour pourrir ta vie, pourtant tes mains s’attache à son ceinturons, ton corps collant le sien. « Alors, suis-je une surprise ou bien étais-je connu y a quelques semaines de ça ? » Tu vas vouloir des réponses, mais tu le sais, tu ne vas pas lâcher, même si tu dois le pulvériser pour ça.

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Tu ne te souviens pas la dernière fois ou tu t’étais laisser guidé par ton cœur pour vivre. Jamais depuis ta putain d’enfance brisé par une mère qui ne méritais pas de l’être. Ton cœur enserrer dans une  foutu cage de protection. T’en avais un il était juste dissimulé. Tu vivais pour toi, égoïstement laissant les autres de côté. Où, tu ne leurrer peut-être que toi-même à jouer les mecs qui s’en foutent de tout et de tout le monde. Il y avait eu pour qui tu donnerais ta vie et peut-être bien que la roue avait tourné avec le destin qui s’invité au rendez-vous ?!... Tu voyais le jeu partout comme un prétexte qui te donnait tous les droits. Sur le monde, sur les gens. Ton droit, tu l’avais pris avec elle. Harlow, une douceur épicées qui te secouer le cœur jusqu’à l’âme. Si bien que, tu avais envie d’écouter encore plus ta raison. Tu les étouffais ces prémisses de cette chose inconnu qu’étais l’amour. Tu te laissais porter par l’instinct primaire. Par ce désir. Le désir de son corps auquel tu avais déjà succombé. Succombé quitte à blesser juste pour un instant d’union, de connexion. Juste pour te délecter de sa réaction en découvrant ton visage passer cette porte. Te délectant du spectacle de son corps dénudé jusqu’à la surprise qui traverse ces iris. C’est enivrant à en éveillait ce désir qui brûlé. Ce désir d’elle. Ce désir de l’attraper dans tes filets et de l’attirer à toi. De la faire tienne le temps d’un instant.  Tu l’écoutes de ces mots qui n’atteignent pas ton calme des plus olympiens. Ton corps qui s’appuie contre le mur pour avoir une vue imprenable sur la belle russe. Pour te laisser happer par le moindre de ces gestes. Pour la dominer de ta nonchalance. Par tes réponses qui ne sont qu’évasive pour vous faire tourner inlassablement en rond. Pour vous emporter tous les deux dans un putain de jeu dangereux.  « Votre fantasme ou votre pire cauchemars à vous de choisir… » Le connard dans toute sa splendeur même avec elle car, t’es comme ça. Tu ne peux pas t’empêcher d’être comme ça. Beaucoup dirons que tu n’as aucun scrupule et ce n’est pas faux mais, à dire vraie tu jouais au con pour protégé ton petit de myocarde. Pour protégé ce que tu avais construit. Tu t’en étais sortir par toi-même et pas prêt à t’écoulé dans le fond du gouffre pour une fille. Même celle vaudrait tous les sacrifices. Même elle.  « Les photos c’est pour mon usage personnel… quant au reste, garder votre salive pour vous, il semblerait que votre père a plus à perdre à vous croire qu’à m’écouter. » tu as les mots qui perce l’air avec une assurance à en déconcerter plus d’un. Tu l’as jauge de ton regard perçant qui ne voie rien d‘autre que ces prunelles qui te cherches. Qui t’attise à chercher ton point faible. Pas un regard de plus pour son corps dont tu as déjà parcouru les plaisirs. Son corps ce fruit de l’insatiable désir qu’il attise en toi. Non, lui, tu l’ignores pour le moment tu auras tout ton temps plus tard pour redécouvrir ce genre de plaisir. Tu n’as d’yeux que pour les moindres expressions de ton visage qui vienne chacune te cueillir de surprise. Ingénieuse la Harlow et tu comprends comment elle ne faisait qu’une bouché de tes prédécesseurs. Elle était forte la belle et c’était surement là, ce qui avais su attiser le brasier qui fulminé en toi. Tu le perds pas se sang-froid et se sourire à demi moqueur quand ces délicates mains viennent attraper ton ceinturons. Quand elle vient de son corps écraser le tiens. Il n’y a que ton regard pour lire le siens. Pas un mot, juste tes prunelles et les siennes prise dans un jeu qui selon toi ne faisait que commencer. Une danse endiablé dans laquelle tu entré avec un plaisir non vain. Une joute don tu étais prêt à donner le tempo. Sourire en coin tu t’approches de son visage là, un peu plus prêt. Ce sourire en coin qui vient fendre tes lèvres et ton regard qui n’en démord pas « le savoir c’est le pouvoir… » Un murmure, un souffle aussi violent que délicat déposé sur son visage. Un petit clin d’œil qui en dit long sur toutes ces idées qui agitent ton esprit jusqu’au plus malsaine…

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Tu ne pensais pas à devoir affronter un homme de ton passé et sans doute encore de ton présent. Un nouveau venu pour te protéger, ta nouvelle proie qui devra baisser ses armes pour ne pas tout perdre. Mais d’avance tu sais déjà que tout sera compliqué avec lui. Toi repensant à ses mains parcourant ton corps, tu fus silencieuse, à demander qui il était. Tu savais pourtant tant de chose sur lui, mais le nom de famille non. Le regard qui se perd dans la pièce alors que tu t’approches de lui avec un sourire s’imposant sur ton visage. Il te pique et ça te fait sourire, te laissant entrer dans la danse de ce jeu dangereux. Le regard qui pétille, cette alchimie que tu ressens ne doit pas t’empêcher de voir que tu dois tout donner pour le mettre à terre, même si après ça rien ne pourra t’empêcher de le relever. Mais c’est ta liberté, ton droit à vivre qui est en jeu tu ne dois pas l’oublier princesse. « Aucun des deux ! » Tu souris alors laissant ta langue glisser sur tes lèvres avant d’ajouter. « Ma prochaine victime ! » Tu t’en doutes qu’il n’est pas bête, qu’il sait exactement de quoi tu es capable, te doutant dans le fond que les autres ont dû parler, laissant peut être des mensonges arriver à tous, mais peu importe. Tu sais ce que tu fais et ce que tu vaux. Les opales se posant dans les siennes, tu t’y perdrais presque, mais tu ne peux pas oublier pourquoi tu fais tout cela, pourquoi tu désires tant cette douce liberté. Tu ris un peu secouant la tête. « Oubliez ici c’est moi la patronne pas mon père ! » Il te faisait confiance aux moindres mots, il demandait à ce qu’on te protège, te couve, mais te perdre totalement serait la pire des choses pour lui, et dans le fond tu te disais que Hakan avait déjà perdu si toi tu le voulais. Glissant ta main dans tes cheveux, tu ne cesses de l’attiser du regard, laissant tes courbes devenir à lui par ce regard qu’il dépose sur toi. « En vrai, vous avez déjà perdu si je le décide ! » Tu repenses à votre corps l’un contre l’autre, l’action laissant la chaleur de ces deux-là se mélanger, pendant que vos âmes dansaient ensemble. « Les photos faut un échange ! » Tu arques un sourcil, souriant. Pas contre l’envie d’observer ce corps qui s’est déjà offert à toi, dont le jeune homme n’a clairement pas à rougir. Mais ce fût bien plus qu’un corps pour toi, des mots, des échanges, un bien être offert au détour de conversation qui t’avait transporté peut être bien plus que tu n’aurais pu l’imaginer. Tes mains finissent par s’agiter sur le ceinturon du jeune homme. Tu es lancée, prête à le faire tomber dans les règles de l’art, mais tu le sais, il sera sans doute celui qui te donnera le plus de mal à faire déguerpir, pourtant tu n’avais qu’à avouer à ton père que tu avais déjà couché avec lui, que tu le connaissais, et il serait fini, mais tu n’en avais pas envie et tu ne cherchais pas à te l’expliquer. Sans doute que le jeu avec lui était tout autant tentant de d’avoir la liberté ? Sa ceinture ouverte, tu n’as pas d’idée fixe de ce que tu fais ou va faire, tu laisses les émotions, les envies te guider, tu sens son souffle sur ton visage, tu laisses un sourire se dessiner avec douceur sur ton visage. « Un point … » Un point, tu décomptes, mais tu ne vas pas le laisser gagner, hors de question. Pinçant tes lèvres, tu vois cette situation t’échapper, quand tu laisses tes songes te ramener à ses lèvres glissant sur ton corps, te remémorant la chaleur de son corps se combiner à la tienne. Tes mains glissant sur ton torse, jusqu’à chopper sa cravate pour l’attirer un peu plus à toi, le dégager de ce mur qu’il le détient. Sa lèvre coincée entre tes dents, tu souris. « Prépare-toi à rendre les armes le premier ! » Sur tes mots tu le laisses là, prenant tes chaussures que tu glisses à tes pieds, te retrouvant en petite tenue sur ces dernières avant d’enfiler une robe rouge avec un décolleté sexy et classe à la fois. « Ferme ça ! » Que tu lances sans un regard à Hakan, la robe ne demandait qu’une chose être fermé, pourtant un feu brûle en toi, un feu que tu essayes de faire taire pour le moment.

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Il y a quelque chose chez elle qui t’attire inexplicablement. Différemment. Tu en as vue passer des nanas dans ton lit, dans tes bras. Non, ce n’est pas ça. Là est quelque chose de plus profond. Plus déroutant. Sensation étrange qui vient de cueillir au creux de ton âme pour t’en retourner. Désir ardemment tentant de plongé dans le danger qu’elle t’offre. Dans l’interdit presque. Une lueur qui brille dans son regard peut-être. L’insaisissable. La sauvage. Elle vient te chercher de ces gestes à ces mots. Te fait sourire malgré toi. Le sourire en coin qui répond aux siens. Le rire que tu retiens face à sa confiance déconcertante. Si elle savait… Mais, elle n’as pas froid aux yeux la belle et c’est surement là ce qui t’attise le plus. Un adversaire à ta hauteur. Quelqu’un qui pourrait te comprendre ou tout simplement au-delà de ce que tu peux montrer au monde. Au-delà des apparences. Tu te laisses accrocher de ces iris qui te scrutes si profondément que cela pourrait t’en secouer mais, tu restes les pieds sur terre. Là, avec elle... Pas prêt à partir. Pas encore. Tu l’écoutes la belle. Elle parle de choses qu’elle croit savoir. Elle te divertirait presque si tu ne l’as comprenais pas. Pourtant, tu as beau comprendre, les enjeux aller au-delà d’elle, au-delà de sa protection. « Je serais vous, je n’en serais pas si certaines… » La voix suaves et la posture statique. Tu ne l’as lâches pas. Tu ne l’as lâcheras pas. Qu’elle s’y prenne à son petit jeu. A sa routine que tu connaissais dans les moindres détails. Tu n’étais pas son père. Tu n’étais pas les autres passé avant toi non plus.  Te sous-estimer serait sa plus grosse erreur. « La pire erreur que l’on peut faire dans un jeu c’est croire que tout est plier d’avance… » Que tu lances attisant le feu autant qu’elle le faisait. Te laissant enivrer par ses délicieuses courbes qu’elle amener à toi. Par sa délicate odeur venant faire chavirer tes sens et pourtant, tu étais toujours là, impassible. Qu’elle croit ce qu’elle veut-tu ne serais pas si facile à avoir que les autres. « Et entre nous, Miss Dostoïvski, il semblerait bien que votre père et plus à perdre que moi dans cette histoire… »  Murmure au creux de son oreilles. Souffles contre son visage qu’elle approche dans un désir tentant d’y succomber. Succomber à ces mains qui s’agitent sur ta ceinture pour l’ouvrir. « Alors… faites dont, je suis curieux ! » Ajoutes-tu le regard qui se perd encore et toujours dans le siens. Brûlant reflet de vos envies mutuelle. Il y avait cette étrange alchimie qui brûlait entre vous. De celle qui allait au-delà des corps. C’était comme la puissance de deux esprits connecté sur la même station. Même longueur d’onde. Tu le sentais au plus profond de ton être à t’en effrayer d’une certaine manière. « Un échange auquel je vais songer alors… » Que tu lances le souffles qui se fait plus court à mesure de ces appels charnelle. Tu as de la résistance mais, tu n’es qu’un homme après tout. Tu l’as laisses avoir le dessus. Un instant. Juste assez pour lui reprendre sous le nez. Tu te laisses attiser de ces mains qui t’attire du bout de ta cravate contre son corps. De sa bouche si sensuelle qui te tiens. –Attrapes moi, je t’aurais toujours…-  tu l’as laisses parlé, murmurer, susurrer. Tu laisses ton esprit tourner dans un coin et l’autre prendre plaisir à la situation. Ça n’ira pas plus loin. Pas ce soir… Pas tant que tu l’aurais décidé. Elle n’a pas plus le contrôle sur la situation que tu l’as. L’instant d’avant à ce jauger de désir et celui d’après là, planter à l’observé le sourire en coin. Pas un mot qui ne sort de ta bouche alors que tu réajuste ton costume. Alors que tu ne perds pas une miette de son corps qui se couvre de cette robe qui épouse ces courbes. Ordre claquant dans l’air ou le moment parfait pour toi. La démarche veloutée et ton corps qui s’approchent dans son dos. Ton souffle qui vient s’attarder dans sa nuque. Tes mains qui se posent sur ces épaules pour y laisser glisser les bretelles le long de ces bras. La robe qui glisse sur sa peau et retour au point de départ. « C’est bien mieux ainsi… » Que tu souffles au creux de son oreilles attisant tes propres envies de la posséder au passage. « Vaudrez mieux vous dépêcher, vous êtes en retard… » Que tu ajoutes aussi provocateurs qu’elle l’instant d’avant. La partie ne faisait que commencé.
 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Compétition à la hauteur. Tu le sens déjà qu’il sera à la hauteur, que tes petits plans que tu pouvais avoir avec les autres ne seront pas utile, pas totalement. Ils seront plaisant pour toi et peut être bien pour lui, s’il veut se laisser aller. Tu le sais que tu pourrais te brûler cette fois, laisser ton âme s’entrouvrir pour lui, laissant vos êtes se donner à l’autre. L’erreur, c’est que tu vois déjà les choses comme ça. Le petit sourire aux lèvres il ne s’efface bien, il est si bien sur son piédestal, se montrant sous son plus beau jour. T’as pas besoin de pousser avec lui, t’aurais presque envie de le garder prés de toi, mais tu le sais, ta vie est en jeu. Toujours. Cette liberté que tu ne cesses de caresser du bout des doigts, tes opales ne cessant de chercher les siennes. Il a raison, mais tu y avais déjà pensé avant même qu’il n’y songe. Tu le sais, il est plus coriace, il te connait, sait exactement ce que tu es capable de faire. Les hommes parlent, trop, bien plus que les femmes qui savent être taciturne quand il le faut. Pas toutes on l’accordera. « L’erreur même que vous faites alors ! » Il pense que le jeu est pliée, tu le sais, mais il restera méfiant. Le jeu ne sera pas le même, il sera plus redoutable et étonnement tu as qu’une hâte y jouer et tu ne veux pas être expéditive, pas cette fois, t’as vraiment envie de te jouer de lui, qu’il se joue de toi. Que les coups pleuvent d’un côté comme d’un autre, jusqu’à ce que tu te lasses, que tu cesses de vouloir jouer. Tu perdras peut être ? Mais ne t’y songeras pas, pas maintenant. Tes yeux qui se ferment sous son souffle qui taquine ta peau, t’as envie de laisser aller, mais te faut te contenir. Tu souris, laissant tes paupières te sortir de la pénombre que tu avais trouvée pour te retenir de succomber. Forte, loin de t’envoler au ciel. Une femme sur terre, loin d’être sur Venus. « Il n’a que moi à perdre, pas grand-chose, une vie humaine comme les autres … » Que tu lances. C’est la pure vérité, ta vie ne mérite pas mieux que celle des autres, tu ne fais rien d’exceptionnel. Mais tu comprends, tu ne peux pas jeter de pierre à ton père, tu ne voudrais pas qu’il ne lui arrive quoi que ce soit, mais apparemment d’après lui, tu ne peux pas comprendre. Pourtant tu as la sensation de très bien comprendre. Tes prunelles plongés encore dans les siennes, ce petit sourire qui s’envole pour s’offrir à lui, ton cœur qui chavire et toi qui pense à ne pas perdre la face, car c’est impossible, voilà tout. « Qui a dit que je n’avais pas le droit de m’amuser avant ! » Rendre les armes, le laisser perde ou gagner, pas de suite. Le jeu te donnera sans doute des ailes cette fois, tu ne sais pas encore dans quoi tu t’embarques, mais tu vibres déjà bien plus qu’avant. Tu le regardes, ne cessant pas de laisser ton corps collé au sien, tes mains glissant sur son corps, le sourire implacable et doux sur tes lèvres. « Il ne faut pas faire que songer, mais agir monsieur … » Tu souffles contre ses lèvres. « Monsieur ? » Tu ne sais toujours par le patronyme qu’il détient, mais tu voudrais bien jouer à part égal pour ne pas l’appeler par son prénom, à voir si monsieur était du style réglo dans ce jeu dans lequel vous étiez tout deux d’ors et déjà en train de vous perdre. Tu joues, tu ne cesses de l’attiser, tu le découvres un peu plus, tu découvres cette force de résistance qu’il veut se donner, car tu le sais ça restera un homme, tout comme toi tu resteras une femme avec des envies. L’humain en lui-même, alors vous allez vous débattre l’un contre l’autre et avec vous-même. Jeu électrisant à souhait. Tes opales qui se perdent dans le miroir, observant le jeu du jeune homme. Tu ne pensais pas qu’il ferait ça, tu es déstabiliser quelques secondes restant ébahit, puis ton sourire se peint à nouveau sur ton visage. Il est derrière toi, après lancé un peu plus les hostilités, il aurait pu te laisser conne, ce fût presque le cas, mais non. Tu recoiffes tes cheveux, laissant tes longues jambes quitter la robe, alors que d’un coup de pied, tu rattrapes sensuellement cette robe, tu te tournes vers lui. Le cœur presque dénudé, seul des bouts de tissu couleur nude protégeant le plus important. Le regard se perdant dans le sien, tu laisses tes mains glisser sur ses épaules, pénétrant dans la chemise, glissant sa veste. « Un emprunt, il manque quelques chose à ma tenue ! » Tu souris, le regard pétillant. Sa chemise devient tienne. Tu l’enfiles, il est bien plus grand que toi, alors ça fait comme une robe. « On sera assorti, vous êtes censé être invisible ! » Un clin d’œil. Tu passes devant lui, direction la voiture. « Alors, vous attendez quoi ? » Que tu demandes glissant ta robe rouge dans ton petit sac.

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Tu t’amuses un peu trop peut-être dans ce jeu qui semble s’annonçait sans fin. Dangereux à t’en brûler les ailes. Tu en reviendrais à tout perdre pour une nana. Tu te le refuses et pourtant, tu l’as voie venir la belle. Elle et sa douceur épicées. Elle venait te cherchais malgré toi au plus profond de ton âme. Elle t’appeler et toi, idiot, impossible de résister. Tu répondais. Tu répondais au jeu. Pour gagner. La gagner elle. Tu voulais te perdre en elle. Avec elle. De toute manière vous avez déjà perdue tous les deux. Il n’y avait qu’à vous voir là, dans la chambre de la belle à se chercher. A user de votre temps pour faire plier l’autre. Vous cherchiez presque désespérément mais, il semblerait que vous étiez déjà trouver sans le savoir. Sans le vouloir non plus. L’inexplicable. Pourtant, vous vus enfermiez dans ce cercle de défis. Défis de l’autre. Il était glissant le chemin et pourtant vous vous y jetiez corps et âme. Vous vous jaugiez les regards perdus l’un dans l’autre. Les corps l’un contre l’autre. La connexion allait pourtant tellement au-delà de vos corps qui s’attirent. Vos désir qui s’appel. « C’est ça le truc, c’est qu’on a perdu tous les deux d’avance… » Que tu murmures. Là, au creux de son oreille. Le souffle qui se perd sur son visage. Tu ne croyais en rien. Tu ne l’as sous estimais pas. Pas plus que tu ne te surestimais. Tu avais juste toute les carte en main pour ne pas t’effondrais à la première épreuve. Au premier obstacle qu’elle glisserait finement sur ta route. Ta mission allée tellement au-delà d’elle. Tu n’avais rien à perdre ici. Tu parviendrais à tes fins par tous les moyens. Oh, oui, elle était douée mais, c’était surement ce qui en valait la peine. L’appel d’un adversaire de taille. L’appel d’une guerre qui n’était pas déjà gagné d’avance. Tu vivais pour ce genre de moment. Tu vivais pour te sentir en vie, pour être attrapé. Secouer. Dieu qu’elle te secouer elle. Malgré toutes les cartes en main que tu avais ta porte d’entrée dans l’ambassade de Russie sonnerait surement ta perte. Le Hakan qui ne se laissait pas atteindre au cœur si facilement semblait s’être déjà trahi lui-même. « Elle est mignonne votre naïveté… » Que tu lances tes opales toujours accrocher aux siennes. Oui, tu la scrutes à ne pas en perdre une miette d’elle. Tu t’en noierais presque dans les tréfonds de son âme qu’elle t’ouvre dans ces simples prunelles. Tu y perdrais presque pieds. Le cours de tes pensées un instant. Juste cette infime un instant avant de te reprendre. Reprendre à ces mots. Elle te le tire se sourire alors que tu la reconnais bien là. Tu ne l’as connais pas depuis longtemps, oui mais, tu voies en elle. Le reflet de ton âme dans la sienne. Elle te ressemble. Là, à préférer s’étendre sur les actions plutôt que sur les mots. Parlé c’était se dévoiler. S’il y avait bien une chose que tu détestais c’était te sentir vulnérable. Mis à nue et dévoilé ce que tu avais sur ton putain de cœur tu te le refusais. Souffrir pour quelqu’un aussi. Pourtant tu avais cette fichue sensation que tu te jetais dans la gueule du loup avec elle. Tu t’y jette tête la première et peut-être bien que c’est parce qu’elle le faisait elle. « On est de ceux qui préfère l’action au mots alors ?!... » Que tu laisses en suspens dans l’air le regard figé dans le siens. L’électricité qui passe entre vous t’en couperait presque le souffle si tu n’étais pas de ceux qui avaient autant les pieds sur terre. Tu n’oubliais pas dans un coin de ton esprit que tu étais là pour le boulot. Elle était douce la distraction. Elle était tentante mais, elle ne t’aurait pas si facilement. Tu ne te laisserais pas avoir si facilement. Sourire en coin et toujours ce regard armé de défis. Sa persistance te fait du bien. Une bouffée de fraîcheur et cela change des nanas qui dises oui sans résistance. Cela te plairait presque ce sentiment qu’elle ne sait pas tout de toi. Pouvoir grisant. Pourtant l’idée qu’elle sache et tout aussi enivrante. « Вы так любопытны, мадемуазель Достоевский ... » Le brasier dans le regard toute cette situation t’amuses plus qu’elle ne le devrait. Ton russe que tu lui sors comme un amuse-bouche. Tu la narguerais presque avec comme elle te nargue de ces foutues charmes qu’elle agite devant toi. « Это заслуживает такого рода информации, нет ?!» Clin d’œil charmeur elle s’éloigne et c’est à vous renvoyez la balle. Murmure au creux de sa nuque et la robe que tu fais glisser sur son corps. Tu l’as tiens puis à son tour de te tenir. Ses mains sur ton torse qui te dépossédé de ta veste cette sensation qui éveil en toi ton désir. Ton envie de l’attraper là, ne pas la laisser partir. Elle le sait la sorcière, elle le sens. Tu la regardes enfiler ta veste et la vue ne te déplaît pas tout au contraire. T’en resterais même poser un instant ton regard qui se perd sur ces courbes. La voir porter l’un de tes vêtements te fais un effet que tu aurais presque du mal à cacher. « J’admire la vue… » Que tu lances en la regardant sortir de la chambre. Tu l’as suis en direction de la voiture tu attrapes au passage l’un de tes gars « Ta veste tu veux bien !! » que tu lances avec autorité « Oui Mr. Ivanenko ! » un signe de tête tu attrapes la veste et reprend ton sérieux laissant les tensions dans la chambre alors que vous ne tardez pas à atteindre la voiture.   

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
20. Tes opales sur lui à l’instant t où il était rentré dans ta chambre, tu savais que l’histoire ne serait pas la même. Que tu auras un parfait concurrent cette fois-ci, tu serais prête à gouter à la défaite, pour lui, pour l’avoir à tes côtés. Mais t’es pas là pour écouter ton désir, écouter ton être entier qui ne quémande que peu de chose sauf lui. Lui l’homme qui t’as percé, perçant de ton cœur à ton âme. Ce n’est pourtant qu’un échange de mot, des mots qui ont toutes leur importance, qui sont divins. Tes paupières qui te font plonger dans cette douce pénombre, sentant son souffle se mourir sur ton visage, des maux de ventre qui te prenne, des maux que tu ne connais pas trop bien, mais qu’un jour tu parviendras à décrypter. Peut-être. « Soyons brillant dans la défaite … » voix suaves, les mains qui le cajolent encore, toi qui te fait violence, car tu dois être plus forte qu’à l’accoutumé. Ce n’est pas une question de victoire pour toi, mais la preuve que tu n’es pas une princesse méritant d’être protégée. Double jeu. Votre jeu, puis ton cœur, ta raison qui bataille, toi devant t’éloigner de lui, le battre comme les autres sans vouloir te laisser aller. C’est si complexe. Beaucoup trop, mais tu te perds d’ors et déjà dans les méandres de son âme. Les opales captivées par les siennes, tu restes collée à lui, comme ci ta vie en dépendait. Naïveté, toi naïve c’était comme dire à un fou qu’il était le plus normal des humains. T’es tellement loin d’être naïve, tu ne vises pas le beau, tu vises tout bonnement la vie, ta vie, cette liberté qu’on t’a volé quand tu avais huit ans. Depuis tu es clairement consigné dans une prison qui n’est pas celle que tu aimerais. Le monde devrait être ta prison, ton terrain de jeu, tu ne demandes rien, juste ce droit d’obtenir ce que tu désires. Et c’est lui qui t’n prive, lui qui te la vole à la demande du paternel. Loin d’être sans défense, pas plus qu’une autre femme, qu’un autre homme. « Les mots ne sont qu’une façon de mener une guerre, les vrais agissent … » Les vrais laisses les mots en suspens, laissant les courageux déplacer des montagnes. Les paroles tu les as usé, tu les as apporté à ton père et il n’avait pas cédé, laissant des mots lui aussi, puis tu as compris qu’il fallait la prendre ta liberté. T’enfuir, t’envoler petit oiseau pour vivre de cette liberté qui te fait tant rêver. « Любопытство - превосходная ошибка, когда оно используется чудесно! » Il a cet avantage sur toi, connaître des choses de toi, comme ton enlèvement sans doute, t’en as jamais parlé à Hakan, t’as parlé de tes rêves, tes ressentis, le manque de cette femme qui était ta mère. La curiosité est bonne, elle est utile, cela dépend de comment on l’utilisera. « Я вижу мошенника в тебе ... » tu souris, il a quelques avantages sur toi, mais tu ne le laisseras pas mener la barque. Il pense, il croit gagner, mais tu auras toujours des tours à sortir. Le regard emplit d’amusement, tu enfiles sa veste, te regardant dans le miroir. Puis tu décides qu’il est l’heure, plus le temps de faire de chichi, mais ce n’est tellement pas toi d’en faire en plus. Un legging noir et sa chemise te donne un air encore plus sexy. « Admirez c’est moins bien que d’en profiter ! » Que tu lui répliques en regardant son collègue qui se tient juste à côté de vous quand vous sortez de ta chambre. Autant dire que tu malmènes déjà ton esprit pour avoir de nouvelles idées pour le faire plier, mais tu le sais tu serais capable de le redresser, juste pour le plaisir de jouer ensemble, de s’attacher, de s’abimer et bien plus.
21. Dans la voiture, tu l’as laissé monter à l’avant avec le chauffeur, pendant que tu préparais ton discourt pour remercier les personnes présentent. T’as toujours trouvé ça horriblement faux de venir se montrer à un gala pour donner quand tu étais plus jeune. Tu trouvais ça horrible de se pavaner en espérant être le plus généreux, non pas pour la cause, mais bel et bien pour prouver qu’ils ou elles avaient le plus gros portefeuille. Pourtant te voilà à tout régir pour apporter du bonheur aux autres, à ta manière. Mais tu fais bien plus en donnant des coups de main, car tu ne veux pas n’être qu’un portefeuille sans cœur, cela t’es impossible. Une fois arrivée devant la villa qui allait vous accueillir ce soir, tu sors de la voiture, un regard à Hakan. Avant d’aller te fondre dans la masse suivit de ce dernier. Les regards échangés de peuvent tromper personne, alors que tu aiguises encore ta lame pour le transpercer, le vider et avoir la victoire, victoire qui te donne tant d’envie de perdre, car pour une fois perdre pourrait être bien plus jouissif, mais c’est que tu en oublierais presque la liberté et ça c’est hors de question, sauf si ses bras te l’offre.

traduction :

 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Elle est belle la créature qui danse devant toi. Danse de ces caresses, de ces mots qui chantes comme dans un souffle jusqu’à tes oreilles. Elle te réchauffe de sa présence et t’électrise de tout le reste. La tentatrice qui chercher à t’agripper dans ces filet. Peut-être bien que tu y es déjà piégé ?! Peut-être bien que c’est là ce que tu recherches. Tu l’as prise avec toi comme elle t’as prise. Prisonnier l’un de l’autre ou du jeu malsain qui était en train de s’installer au-delà de tout contrôle. Douce ironie alors que vous tarissiez chacun d’avoir le dessus. C’était peut-être là, toute la beauté de ce fichue jeu. Il n’y aurait pas de gagnant. Pas de perdant. Juste vous incapable d’arrêter. Elle était venue te chercher là, où aucune autre n’y était parvenue jusqu’à maintenant. T’étais de ceux qui se servait et qui partais ensuite. Le connard qui n’utilisait pas son cœur pour ne pas souffrir. Le connard qui avait peut-être bien trop à perdre dans l’histoire. Celui qui ne voulait pas redescendre. Tu avais trop investie pour t’en sortir, pour revenir de là ou tu venais. Tu ne le permettrais pas. Pourtant, pour elle, t’étais prêt à tout risquer. A te laisser bercer par le danger. Tu te laisser noyer dans le flot d’adrénaline qu’elle t’offrait. Le cœur palpitant et l’épiderme excité. Tu la cherches, elle te trouve. Violent équilibre auquel tu t’accroches. Elle te fait sourire de ces mots que tu ne relèves que d’un regard perçant le siens. Tu veux tout y prendre d’elle. Tu veux tout posséder. « Les mots sont une armes plus puissante qu’il n’y paraît… » Que tu souffles. Les mots qui t’avais en partie mené ou tu en étais aujourd’hui. Tu avais pris la petite porte et t’en était fière. Paroles qui t’avais sortie de la medre même si l’argent sale avait aussi aidé. « Tout est une question d’équilibre… » C’était ça la réelle clés pour gagner un combat. L’équilibre parfait. Un peu de mots pour un peu d’action. Tout se compléter. En l’instant, c’était elle que tu voulais compléter. Tu te joues d’elle et sont russe qui viens te chercher comme le tiens est venue la chercher. « Qui as dit qu’il fallait être fairplay… » Que tu t’amuses de cette longueur d’avance que tua s sur elle. Tu sais que tu cherches le défi en elle. Tu sais qu’elle viendra le relever et qu’elle te malmènera. T’es un fou. Fou pour elle. Pour le jeu qu’elle t’offre. Pour l’instant qu’elle t’offre. Tu te délectes de chaque instant alors qu’au fond de toi tu le sais. Tu le sens que ce petit manège entre vous va bien au-delà d’un simple corps à corps. Les mots, toujours le pouvoir des mots. Surement ce qui te perdras. Elle t’aura comme tu l’auras vous le saviez l’un comme l’autre mais, il était bien trop tôt pour que vous ouvrez les yeux. Bien trop de fierté ou simplement de peur. « …et admirer est une forme de profit ! » tu l’as détail de haut en bas et tu tentes tout seul de ces mains que tu voudrais sentir de nouveau sur ta peau nue et de ton corps pressant le siens. « Le plaisir des yeux…. » Les prunelles qui brûlent pour les siennes. Dans les siennes. Le souffles qui c’est évader dans ces mots alors que vous sortiez de l’intimité de sa chambre. Alors que tu sommes l’un de tes employés posté devant la chambre de te filé sa veste en remplacement de la tienne qu’elle porte. Qu’elle porte à merveille. Que tu aimerais faire tomber pour parcourir chaque recoin de sa peau de tes lèvres. Ton esprit qui se laisse à l’image du désir que tu as pour elle un bref instant avant de te concentrer. Tu l’oublie l’homme que tu es. Tu l’oublie pour ton travail. Surement plus facile à dire qu’à faire face à la jeune femme. La porte de voiture que tu fermes derrière elle et ta nouvelle veste que tu ajustes avant de monter sur le siège passager et d’inviter le chauffeur à partir. Tu pars dans la gueule du loup tu le sais et étrangement cela t’attises. Excitation de l’avoir à son propre jeu. Des regards lancés dans les rétroviseurs pour l’apercevoir et détailler son doux visage. Sa beauté dont tu ne te lasses pas. Il passe vite le chemin  à chercher le danger là où u n’en a pas vue. Tu descends pour lui ouvrir la portière et te voilà la suivant dans le beau monde. A bonne distance ton regard ne perd pas une miette de ses sourires qu’elle sert à qui veux. A analyser au-delà de ce que tu devrais à chercher là où elle veut en venir car, tu le sais, elle va te planter la vipère. Tu n’attends que cela...