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 it's painful, you're my remedy. | Solie.

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Message Sujet: it's painful, you're my remedy. | Solie.    it's painful, you're my remedy. | Solie.  Empty Jeu 18 Oct - 16:00


Soléane & Mattie.
it's painful, you're my remedy.

Le sommeil en ruine. La vie emprise de maux, bien trop. Un enfant ? Tu dois bientôt prendre la décision. Et ne plus douter. Ta sœur, cet enfant ? Tu ne sais même pas qui est le père. Honteuse, bien trop. Tu ne sais pas trop quoi penser de tout ça, mais tu n’as pas trop le choix princesse, un choix doit être fait. Tu ne sais pas comment affronter les regards des autres, cette grossesse faisant déjà les pages peoples, tu es coincée. Personne ne connait ta famille, Soléane caché de ta vie, pas par envie, mais elle se devait de vivre sa propre vie. Elle devait profiter et ne pas être la grande sœur de Mattie Bowens. Non. Tu avais refusé cela pour elle, ta mère avait dit que c’était de la vanité, par peur que Sol’ prenne ta place, soit meilleure que toi, mais tu t’en fichais surtout que cela allait parfaitement à ta sœur. Elle seule comptait, même si les mots, les piques de celle t’ayant donné la vie font souvent du mal et s’imposent en laissant des dégâts. Bon nombre de dégât ne sont pas réparée en toi depuis des années. Le médicament, la chose, le petit pantin et encore maintenant c’est ainsi. Ta vie est régie de sorte à apporter tout à ta sœur. Tu pourrais laisser de la rancœur envers elle, mais non. Non, car tu l’aimes, tu es sûre que tu connais l’amour fraternel grâce à elle. Sol est la maman que tu n’as jamais eue, l’amour que tu as eu c’est elle qui l’apportait, tout le temps. Celle qui tenait ta main quand tes opales délaissaient des gouttelettes d’eau salées se déverser sur ton visage, à cause de la souffrance enduré durant les examens, durant tout le monde que ton être devait supportait pour la supporter elle. Sol’ est celle qui fût le rayon de ta vie, laissant parfois d’autre prendre place Wicky, Lilian , Gabriel et bien d’autre. Une famille que tu ne perçois pas encore. Pas suffisamment, car tu ne sais pas ce que c’est. Mais un jour ça viendra, peut être que cet enfant et aussi la chance pour toi de connaitre l’amour au sens propre, le vrai, avoir un lien si spécial, comme celui que tu aurais dû avoir avec tes parents, mais ce n’est pas ainsi, ce n’est pas comme ça avec eux. Car tu n’es qu’une pièce en sureté pour réparer la première. Pas d’attache, pas d’envie d’avoir un second gosse et c’était clair pour eux, comme pour toi, dès ton plus jeune âge tu l’as ressenti ce mal être, heureusement que les infirmières étaient là pour te soutenir, pour consoler tes larmes quand tu avais peur pour elle, quand elle, ta sœur n’était pas là pour combattre les démons tournant autour de toi.

Te retrouver dans cet ascenseur, direction un nouvel étage, pas le même, pas la pédiatrie, mais la cancérologie. Mal au cœur, tu es mal et tu essayes de vider ton esprit, l’espoir que tes parents ne seraient pas là. Normalement non. D’après l’une des infirmières que tu as croisées avec laquelle tu t’es complétement lié d’amitié la dernière fois que tu as aidé à soigner ta sœur, encore une fois. Plus vieille que toi, mais présente quand tu n’avais que seize années, des rêves de liberté, des rêves d’être aimé. L’amour tu ne le trouveras pas auprès de tes parents, tu l’as compris, heureusement, il était temps. Mais tu as cette sensation de devoir envers eux. Ils t’ont donné la vie, autant qu’ils l’ont pourrie. Tu es peut être bien trop bête. Peut-être bien. Enfin, peu importe. Tu arrives devant la chambre de Sol, le cœur en vrac, le cœur qui tamponne trop fort contre ta cage thoracique. Tu entends sa voix qui t’invite à entrer. Tu souris, tu le dois. T’es mal mais tu souris, on t’a toujours habitué à faire passer Sol avant, à être bien pour ne pas l’inquiéter, car elle était bien trop empathique à ton égard pour eux, les parents Bowens, ses parents. Pas les tien. Petit à petit ça fait son bout de chemin dans ta tête. Pinçant tes lèvres, tu sens ton estomac se nouer, la voir à allonger, à mal te fait mal, bien trop. Mais tu souris et tu t’efforces d’être bien, jouant la comédie, tu es douée, bien trop douée pour ça. « Tu veux bien me lire une histoire ?   »  Tu la regardes, tu sais que tu vas lui changer les idées et que sans lui dire tu as juste besoin de sentir la chaleur de son être, de la savoir là, car ton putain de choix pourrait ruiner, toute sa vie. Tu vas directement dans ton lit et tu retiens tes larmes, tu la prends dans tes bras. « Je suis là, surtout si tu le veux …   »  une façon aussi d’avoir son avis sur ce putain de dilemme qui bousille ton esprit, elle ou lui. L’enfant ou ta sœur ? Pas les deux, tu dois choisir poupée.

 


@Soléane Bowens it's painful, you're my remedy. | Solie.  1758845701
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Message Sujet: Re: it's painful, you're my remedy. | Solie.    it's painful, you're my remedy. | Solie.  Empty Ven 19 Oct - 21:32


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{ it's painful, you're my remedy }
crédit/ tumblr ✰ w/@mattie bowens
Il était là, le bonheur. Le bonheur qu’on effleure des doigts par peur qu’ils s’envolent. Le bonheur éphémère ou une sal leçon de la vie qui vous claque à coup de poing dans l’estomac en vous semant que rien ne vient sans un prix. Comme si tu n’avais déjà pas assez payé en donnant de ta personne. En donnant un peu plus à chaque fois. Un bout de ton cœur, un bout de ton âme. Tu aurais dû avoir l’habitude de cette mélodie qui se répété sans cesse au fil des années. L’infini bonheur qui se fait couper l’herbe sous le pied par le même foutu démon. Le même méchant de l’histoire qui ne changer pas de forme. Il n’y aurait donc jamais de répit à croire que tu avais dû semer le mal dans une vie antérieur pour récolter tout cela aujourd’hui. Oh, non, tu n’étais pas là, à t’apitoyer sur ton sort. Toi qui te disais qu’il y avait toujours pire. Que pouvait-il y avoir de pire qu’un foutu cancer après tout. Tu lui à manquer à cette putain de Leucémie qu’elle revient frapper à ta porte après plusieurs année. Vicieuse qui t’avais laissé espérer que tu en avais fini avec tout ça. Il était loin le rêve, loin l’espoir et les beaux discours du miracle d’avoir vaincu le cancer plusieurs fois. Ca n’avait été là qu’une belle connerie d’illusion car la vérité est qu’on ne joue pas indéfiniment à cache-cache avec la mort. Si elle vous veut, elle finira par vous prendre. Idiote que tu te sentais de le réalisé maintenant. Tu aurais pu économiser du temps et de l’énergie à toi. Aux autres. T’aurais voulue avoir toutes les cartes en mains pour être capable de protéger toutes ces personnes qui animent ton cœur.  Les protéger de la fatalité qui repose là, au-dessus de ta vie. Les protéger de la dureté de la vérité car il n’y avait que toi pour le faire. Pour sourire dans le malheur. Pour accepter ou pour te battre. Les rôles inversé de la malade qui porter, qui soutenais. Pourtant, pour la première fois de ta vie tout semblait avoir un goût différent. Pour la première fois depuis que cette fichue maladie avait élu domicile dans chaque cellules de ton corps tu n’avais plus envie.  L’écho des résultats résonnait encore dans ton esprit comme la fois de trop. Là, dans le froid de ton lit d’hôpital dont tu avais l’habitude, rien ne semblait pareil. Tu revivais le moment comme si c’était la minute d’avant que le verdict était tombé. Revoyant les pleures incontrôlé de ta mère et le silence de mort de ton père. Toujours ce silence suivie de réclamation de deux enfants qui n’avaient rien demandé. Puis Mattie. Toi, tu t’oubliais alors que tout le chemin de ta vie menait à elle. Dépendance qui te brisé un peu plus. Presque autant que cette attentes car c’était bien là, le pire. L’attente encore et toujours. Le temps, ce putain de vecteur qui brisé tout sur son passage. Tu n’en avais que faire des examens à outrances, de la routine des traitements ou des ribambelles de docteurs. Non le pire c’était de ne pas être fixé, de se morfondre avec soit même tout en donnant le change pour ne pas inquiéter. Tu en avais marre, épuisée par ce rythme de vie que tu n’avais pas choisie. Pas de vie, de la survie entrecoupée de pseudo répit. « Tu as tous les droit d’être triste, de pleurer… » Que t’avais dit ta psychologue cette après-midi mais cela raisonné comme une trahison pour ce qui attendait encore une fois que tu t’en sortes. Qui voulait désespérément que tu t’en sortes mais en avais tu seulement envie toi ?!... Tu n’en étais plus certaine, plus certaine de rien alors que pour la première fois depuis l’annonce tu pleurais. Une boule au milieu d’un brancard qui n’avait plus la force de se raccrocher à elle-même. Tu ne voulais plus de ces sacrifices que l’on imposait à ta petite sœur qui n’avait rien demandé. Tu ne voulais plus passer avant elle, avant son choix… avant ce bébé qui grandissait en elle. Non, tu leurs dirais à tes parents et à tous ces docteur. Qu’ils te laissent à la mort persuadé que tu ne manquerais à personne. Persuadé que tu avais assez vécue. Que tu t’étais assez battue. Tu payes l’égoïsme dont tu as fait preuve en vivant pour toi ces dernière année ou peut-être que c’était simplement écrit de la sorte. Tu partirais le cœur léger avec la seule envie de te battre quelques mois de plus pour voir le petit bout de lumière qui grandissais dans le ventre de ta moitié. De ta sœur. Sourire sur tes lèvres alors que donner ta vie pour une autre n’as jamais semblait aussi juste. Une évidence. Alors, tu fais disparaître ces larmes de ton visage. Tu les essuies du revers de tes mains avant de te redresser dans ton lit éclairé de la douce petite lumière d’au-dessus de ta tête. L’ange qui va partir pour une autre vie qu’elle image ironique qui se dépeint dans la chambre d’hôpital. Encore le sens de l’humour du temps quand c’est ce moment que choisie ta petite tête blonde favorite pour apparaître sur le seuil de la porte. « Restes pas là, j’ai l’impression d’être un poisson dans un aquarium !! » Que tu lances pour qu’elle rentre, pour qu’elle te rejoigne et que son sourire contagieux chasse les maux de ton cœur. Tu t’en voudrais presque un instant d’avoir pleuré la minute d’avant priant pour qu’elle ne le voie pas. Que tes yeux bouffie et tes joues rougies passe pour de la fatigue. C’était ça, juste de la fatigue. Mattie dont l’inquiétude dans le regard ne donne pas le change aux sourires de ces lèvres mais tu n’en dit rien. Tu souries simplement en l’invitant à te rejoindre dans le lit. Lui faisant une place alors que la prendre dans tes bras te feras autant de bien que de lui lire une histoire. Votre petit truc qui ne changerais avec les années qui passé, votre moment de pause dans le bordel de vos vie. Votre bulle momentané de bonheur et de pureté. L’espace d’un instant tout semble s’effacer, tous les maux, toute la douleur… Tout s’effaces et tout vas bien. Là, dans les bras de ta sœur ta décision te semble juste. Ta vie pour la sienne. « Je sais tichoux, ne t’inquiète pas, je vais bien… tout vas bien… » Sourire que tu lances en attrapant son regards en t’oubliant totalement une dernière fois. « Allez, il y a une histoire qui attend d’être lu, hein ?! On ne fait pas attendre les récits… » Léger rire cristallin qui viens emplir la pièce alors que tu tentes de maintenir ce chagrin au fond de ta gorges qui menaces. Il ne t’auras pas, pas ce soir…
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Message Sujet: Re: it's painful, you're my remedy. | Solie.    it's painful, you're my remedy. | Solie.  Empty Jeu 22 Nov - 18:16


Soléane & Mattie.
it's painful, you're my remedy.

Le cœur indécis, l’envie que la décision ne soit pas tienne, tu voudrais avoir à juste écouter, mais tu ne parviens pas à te résigner à le faire. Voilà tout. P’tit ange pense qu’il est incapable de faire en sorte d’’avoir son mot à dire, de réparer ses erreurs, d’avoir une voix. Mais tu y parviens en ayant pas encore foncé faire retirer cet être qui n’est qu’un grain de riz pour le moment. Te retrouver dans cet endroit, est douloureux, tu n’étais pas forcément heureuse la dernière fois que tu y as mis les pieds. Apprendre que tu es enceinte et que ta sœur est en danger de mort, car à nouveau malade, ne sont pas des choses qui te réjouissent. Non. Tout au contraire, même pour la grossesse, car tu n’étais pas préparé à cette idée, mais malgré ça, la seconde après la nouvelle tu avais imaginé une famille avec cet enfant, même sans père, car l’histoire du père est bien plus compliqué que le reste. Pas un, mais deux suspects. Tu t’en veux, tu ne sais pas ce qui t’as pris, à la base tu aurais voulu tout vivre avec Lilian, surtout la première fois, mais ce ne fût pas comme ça, tu avais fini par coucher avec ton meilleur ami, pour vivre la première fois, puis y a eu Gabriel et Chadwick. Un peu honteuse de la situation, mais surtout bien trop peiné d’avoir la vie de personne entre tes mains. Comparé à bien d’autre tu ne peux pas te résoudre à choisir, à dire l’enfant plutôt que ta sœur ou encore ta sœur plutôt l’enfant. Et c’est un bordel intense dans ta tête. Envie de voir ta sœur seule, d’être avec elle, d’avoir son soutien, de passer du temps avec elle. Et tu pleurs, tu les verses ces putains de larme quand tu songes que par ta faute ça pourrait être la dernière fois, mais t’es pas une meuf sans cœur, car quand tu te dis que tu la sauveras tu poses tes opales sur ton ventre toujours plat, toujours innocent dans l’histoire, comme le petit pois qui s’y tient. Le cœur qui se déchire, mais tu tentes d’être forte, t’as vécu plus dur ? La douleur, la souffrance que les traitements qu’on te fait subir pour sauver Soléane depuis que tes gosses devraient t’aider à te décider, mais tu pourrais accepter toutes les douleurs du monde pour elle. Ta sœur. Tu l’as pourtant jalousé dans ton enfance, mais, tu as aussi vite compris qu’elle était la seule à être un soutient dans la famille Bowens, qu’elle serait prête à accepter un non, qu’elle sera là pour tenir ta putain de main quand tu avais besoin de déverser toute la douleur que tu pouvais ressentir quand on empruntait ta moelle osseuse. Puis te voilà dans l’encadrement de sa chambre, heureuse de savoir que l’infirmière n’avait pas menti, en vrai les infirmières ont aussi du mal avec tes parents que toi. Faut dire qu’ils ont étés les témoins constant des demandes qu’ils ont pu te faire durant ta vie, certaine avait été là à ta naissance et était sans doute plus comme des mères que ta propre génitrice. Tu souris et entre dans sa chambre à sa demande.
« Le plus beau des poissons, mieux que Dory. » Tu retrouves ton innocence auprès de ta sœur, c’est magique, ça te fait du bien, mais l’endroit est juste un rappel constant de vos vies à toutes les deux. Tu as souffert, elle a souffert et ça tu ne peux pas l’oublier, tu ne peux pas faire l’impasse dessus, qui le pourrait ? La petite poupée que tu es aimerait oublier, être bien juste un instant, mais tu le sais, ce n’est pas possible, ce n’est clairement pas une chose faisable, malheureusement. Contre elle, dans son lit, tu fermes les yeux, t’imprégnant de cette odeur, la sienne, couvrant celle du lieu qui te donnerait plus la nausée qu’autre chose en te remémorant tout bonnement les choses horribles que tu as pu y vivre ou que vous avez pu y vivre. La tête contre la poitrine de ta sœur tu te mets en cuillère, contre elle, entendant son cœur battre tu as la sensation que ton organe central se met au même rythme que le sien. Paniqué et heureux à la fois voilà comment on pourrait ressentir la mélodie qui se joue dans vos deux poitrines. Tu imagines un troisième cœur, ce troisième cœur qui remet tout en question, tu es si loin d’imaginer qu’il y a deux maudits cœur qui se forme dans ton ventre. Tu pourrais les voir, les entendre si tu acceptais cette maudite échographie. Mais non, pour le moment ce n’est pas trop vrai, car tu ne l’as pas vu et tant mieux, heureusement même, car tu ne sais pas ce que tu devrais faire, tu irais clairement te terrer dans un trou pour ne plus en sortir, comme ça plus de choix, mais plus personne. Tout va bien, ces mots sonnent faux en toi, tu lèves tes opales vers ta sœur, le sourire qui disparait. « Non … » Les lèvres qui tremblent, t’es compliquée Mattie, tu es faible et dans l’impossibilité de donner des sentiments, d’expliquer ce que tu ressens. C’est trop compliqué. Tu as peur de la perdre et peur de perdre le futur que tu avais laissé bercer ton esprit très vite après la nouvelle, malgré l’angoisse d’être une mauvaise mère, comme la tienne, comme tes parents. À moins que tu prennes l’amour qu’ils aient donné à Soléane en exemple. « Comment tout pourrait aller bien ? » Que tu demandes. Tu ne sais pas comment dire les choses, comment lui dire que tu hésites entre sa putain de vie et celle que tu détiens en toi. Qui pourrait l’éclairer ? Qui pourrait lui faire un signe pour qu’elle prenne la décision, pas la bonne, car aucune d’elle est bonne car peu importe celle qui sera prise elle brisera des vies et ton pauvre cœur bébé. « Oublie et oui lisons cette histoire. » tu as peur d’affronter la réalité, mais tu le sais elle aussi. Vous êtes deux bowens en perdition mais l’une d’elle détient la vie d’lautre dans ses fragiles doigts. « Je ne sais pas quoi faire … » Tu te redresses, t’as besoin que ça sorte, besoin qu’elle te hurle dessus, qu’elle te dise de la choisir, car ta vie sans elle serait une horreur, elle serait terrible, elle est ton plus grand soutient, bien plus qu’on ne pourrait le penser. Même les douleurs que tu as dû endurer pour elle, pour ravir tes parents n’ont jamais terni l’amour qu’elle te portait et l’amour que tu lui portes. Les larmes coulent et t’as un sourire qui vient se poser sur tes lèvres et tu ris un peu. « Je suis ridicule, je ramène tout à moi … ils ont raisons je suis une ingrate … » Les mots blessant de tes parents sont toujours terré au plus profond de ton âme et ressorte piquer ton cœur au plus mauvais moment, toujours.


 


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Message Sujet: Re: it's painful, you're my remedy. | Solie.    it's painful, you're my remedy. | Solie.  Empty Dim 2 Déc - 16:07


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Tu t’étais posé des questions pendant des années pour savoir où tu allais aujourd’hui. Il n’y avait plus de peur qui t’habitait à l’idée de t’envoler vers de nouveau horizon pour ne pas dire la mort. Tu n’es pas de ceux qui croient à un avant et un après, non, pas après tout ce que tu as vécue depuis ta naissance. Pas de tel principe que Dieu vous observe et le diable attend l’erreur pour vous prendre, non. Tu t’es toujours dit que chaque chose arrive pour une raison et que c’est ainsi, il n’y a rien d’autre à faire si ce n’est accepté. On finit vite par se rendre compte quand on est malade qui l’est plus simple d’accepter que vos proches à croire que c’était eux les malades. C’est peut-être ça qui a fini de t’épuisé supporter tes parents et leurs discours qui ne prenait pas sens en toi. Peut-être que tu ne comprenais pas car tu n’avais pas d’enfant ? Peut-être que tu es tout simplement ingrate et que le cancer n’excuses pas tout ?... Pourtant, tu sembles la mieux placer pour comprendre que la vie vous donne des coups et qu’il arrive un temps où l’on comprend que déposer les armes à terre et la meilleure chose à faire. Pour une fois, tu ne t’attendais pas à ceux qu’ils comprennent ta décision mais, au fin fond de ton cœur tu espérais qu’ils acceptent. Pour toi, comme une dernière volonté avant de te laisser prendre par celle qui t’attend sagement depuis ta plus tendre enfance. La mort telle un ombre qui t’as suivie toute ta vie semblait être un refuge dans lequel tu étais prêt à te nicher. Tu ne pensais pas aux conséquences de tes pensées, de ta décision, non, tu ne pensais qu’à elle. A Mattie. A son avenir radieux qu’il l’attendait toi, tu n’étais jamais certaine de ce qui pouvais t’attendre demain tout était trop incertain. Tu voulais utiliser les dernières effluves d’énergie de ton être à te battre pour ta sœur, celle qui avait bien trop souvent donner sa vie pour la tienne. Voilà venue ton tour de faire de même. La fin laisser un goût amer sur le fond de ta gorge et la douleur prenait une autre dimension mais, tu ne voulais plus te laisser avoir par ton égoïsme alors qu’il n’était plus question de toi. Tu t’étais laisser aller aux larmes dans ton coin, elles qui se faisaient si rare, elles que tu refusais d’avoir. Tu étais humaine après tout et tu avais fini par prendre au mot la psychologue. Tu t’étais laisser aller par le silence pensant de la chambre d’hôpital et à la fatigue de ton cœur pour laisser aller se sanglot que tu avais retenue depuis l’annonce des résultats. Tu avais toujours eu cette sensation de ne jamais voir le droit de pleurer alors que les autres, eux, pouvaient le faire, toi, tu devais rester forte et te battre, toujours te battre. Tu n’en avais plus envie, pour toi… A chacun son tour que tu avais dit à ta psy aujourd’hui et elle n’avait pas relevé comme souvent elle ne disait pas grand-chose alors que, pour une fois, t’aurais voulu de quelqu’un pour te conforter dans ta décision. Pour te dire que tu avais raison. Tu ne t’étais jamais sentie aussi seule et c’est dans cette solitude là que le visage angélique de ton bébé, de ta petite sœur se matérialisé. Comme la connexion de vos esprits alors que vous sembliez comme toujours avoir besoin l’une de l’autre. Tes larmes que tu sèches rapidement pour ne pas lui ajouter le poids de tes maux sur les siens déjà bien trop lourd pour son jeune âge. « Bien mieux que Dory… » Que tu souries en l’invitant à entrer et à te rejoindre. Petite place pour deux dans ce brancard d’hôpital et toujours cette habitude de vous loger l’une contre l’autre comme pour vous convaincre sans un mot que tout irait bien. Cette fois, tu en étais plus certaine. Plus certaine de rien si ce n’est qu’elle et son bébé vivraient. Tu te veux rassurante alors que tu décides de t’oublier encore une fois, pour elle, pour cette tête blonde qui mérites tellement mieux qu’être ta bouée de sauvetage encore et toujours. Tes bras qui l’entoures et tes yeux qui essayes de pansé la douleur que tu lies dans son regard. Sa voix tremblante et sa détresse palpable qui te donne un coup au cœur. Ta gorge qui se sert alors que tu lutte pour ne pas craquer. Etre forte, une dernière fois, pour elle. Tu balayes ces interrogations et attrapes le livre sur ta table de nuit comme si cela aller permettre de tout effacer. De faire comme si de rien était mais, la vérité c’est que tout finit par vous rattraper. Les mots qui explose d’avoir été trop retenue et le livre que tu fermes car, tu le sens, les contes de fées ne sont pas pour aujourd’hui, pas pour ce soir. Lutte contre la fatigue de ton corps tu te redresse mimant ta sœur et tu attrapes du bout des doigts sont délicats menton pour plonger tes prunelles dans les siennes. « Arrête Mattie… arrêtes ça tout de suite tu veux c’est eux les ingrats de ne pas voir la perle qu’ils ont devant les yeux, c’est eux qu’ils sont ridicules !! » Tu la regardes avec cette force de conviction qui t’as toujours animé, qui t’as toujours permis d’avancer dans la vie, un peu plus chaque jour. « Je t’interdis de dire des choses comme ça, tu m’entends !! » ta main qui viens dégager derrière son oreille une mèche de cheveux et tu lui souris avec cet amour inconditionnelle que tu lui voue « Tu n’auras plus à subir les décisions de qui que ce soit tu m’entends !! Tu n’as même pas à y réfléchir j’ai choisie et personne ne me feras changer d’avis, pas cette fois… » Une main frêle que tu déposes avec délicatesse sur le ventre de ta sœur qui abrites la vie « J’ai roulé ma bosse comme on dit, je refuse que tu te sacrifie encore une fois pour moi… s’en est finit ma belle ! Jamais je ne prendrais la place de ce bébé, tu m’entends jamais, plutôt mourir et ça me vas !! » Que tu ajoutes avant de plonger ton regard au loin dans la pénombre retenant toujours ces larmes qui menaces et tu donnerais presque tout en cette instant pour disparaître à l’instant même. Etre libérée de tout cela une bonne fois pour toute.
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Message Sujet: Re: it's painful, you're my remedy. | Solie.    it's painful, you're my remedy. | Solie.  Empty Dim 30 Déc - 19:02


Soléane & Mattie.
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Tu avais essayé de garder toutes tes émotions enfermé, mais c’était trop compliqué à faire. Voir ta sœur sur un lit d’hôpital à nouveau, en sachant bien plus de chose maintenant, tu as du mal. Tu es sûre que si on te demandait si tu devais lui donner ta vie, tu le ferais. Elle a été la seule à te soutenir, te tendre une main quand la douleur était insoutenable, c’était ainsi. Elle était là pour elle puis toi tu étais là pour la sauver. C’était ton rôle, avant c’était un mécanisme, on te disait, tu faisais. C’était tout, puis avec le temps c’était la même chose on demandait et tu t’exécutais avec un tas de sentiment. Comprenant tous les enjeux dans ta vie, dans celle de Sol, alors tu y allais, sans même douter car elle était-elle, celle dont tu avais besoin. Sa voix est triste, tu essayes de ne rien montrer, mais tu as le cœur si lourd, que tu n’es pas sûre d’y parvenir. Bien trop de chose en tête, que tu essayes de te rattraper à l’espoir que tu as, très peu, mais déjà suffisant. Tu ne peux pas louper qu’elle essaye de faire bonne impression, de te protéger et c’est pour ça que tu auras toujours besoin d’elle. Es-tu capable de lui dire adieu ? Tu ne sais pas, mais tu ne sais plus trop quoi penser depuis que la nouvelle est tombée. Ta grossesse puis sa maladie. Comme si tout cela était fait pour te laisser dans l’embarras, dans tous les cas, tu savais que tu n’aurais pas plus de parent qu’à l’accoutumé. Si tu tuais leur fille, ils ne te parleront pas et si tu l’as sauvé tu seras sans doute utile si jamais elle tombe à nouveau malade. Tu ne sais plus trop quoi penser. Quoi faire, tu ne veux qu’une chose là de suite, te retrouver avec elle, mais tu n’es pas sûre de tenir la distance de pouvoir tout garder sous silence. C’est même impossible. T’as besoin qu’on te dise quoi faire, qu’on te donne la bonne solution, car toi princesse tu n’es pas capable de penser par toi-même. En vrai, tu l’es la preuve tu es enceinte. T’as pas demandé conseil pour coucher ? T’as juste fait, laisser l’effluve du moment te porter, deux fois, rien que ça. Mais tu n’es pas capable, c’est juste toi qui te bloque dans la position dans laquelle tes géniteurs t’ont mise. Enfouie dans les bras de ta sœur, tu cesses de penser, un court moment, mais ce petit moment fait déjà un bien fou. Tu souris contre elle, laissant son doux parfum t’aborder avec douceur, tu fermes les yeux, tentant de ne te centrer que ce moment précis, court, mais bon. Le besoin de la trouver, de savoir qu’elle ira bien, mais tu le sais, c’est comme demander la lune à ta mère pour toi, elle pourrait la décrocher pour Sol, mais pas pour toi. Tu ne te fais plus d’illusion depuis bien longtemps maintenant. Mais c’est trop pour toi petit cœur, tu craques, tout bonnement. Tu n’as qu’une envie c’est t’enterrer et ne plus jamais ressentir la moindre détresse ou peine, tu aimerais être juste heureuse. Durant trois secondes tu l’as été à l’idée d’être mère, puis t’as angoissé à l’idée d’être une mauvaise personne pour élever un gosse, puis t’as croisé tes parents, autant ne pas revenir sur ce moment si tendre à souhait. Ironie quand tu nous tiens. Tu voudrais un conte de fée toi, pouvoir que tout le monde soit heureux, toi, ta sœur, même tes parents, tu veux juste que tout aille pour le mieux, pour tout le monde. Mais tu le sais ces putains d’histoire n’ont jamais existé, y a pas de prince charmant qui va venir te sauver ou sauver quiconque, c’est chacun sa merde et sa peine. De la souffrance en longueur sans un moment de répit en fait, juste l’horreur. Le visage baissé, tu sans la main de ta sœur relever ton menton, tu laisses les larmes couler, tu avais juré de ne pas pleurer, de ne pas craquer, mais c’est bien trop demander, beaucoup trop. Tu pourrais être réconforté par ses mots, tu pourrais l’être, mais non. Les larmes elles coulent, elles glissent contre tes joues, tu te sens juste abandonné encore par une personne pour qui tu pensais compter. Tu vois rouge, tu es mal, car il est hors de question de la laisser partir, tu ne peux pas. tu gémis, tu laisses les larmes, la scène se déroulant sur ton visage si angélique n’est pas belle, tu perds le contrôle, tu n’as plus aucun moyen de rester calme. « MAIS NON ! » tu hurles et tu te redresses à ton tour. « Je ne veux pas te perdre, t’as pas droit ‘arrêter de te battre …. » elle ne pouvait pas te laisser toi, la petite poupée seule, te laisser subir toutes les peines du monde seule, alors que tu te sentais coupable, coupable de son choix. « Je ne serais pas enceinte que tu … » Les lames coulent tu peines à tenir tes tremblements, t’empêchant de parler, tu ne parviens plus à respirer, tu paniques secouant la tête. « Je ne veux pas, je ne veux pas que ce soit toi ou lui ! » Ta sœur ou le bébé, tu ne veux pas perdre quelqu’un. « Les parents vont me haïr, il ne me supportait déjà pas alors maintenant … c’est quoi, ils vont te pleurer et m’abandonner et moi je serais seule … tu étais la seule, la seule à être là pour moi …. » Tu pleurs, tu ne peux plus rien faire pour contrôler cette avalanche de larme … « et moi je t’ai laissé tomber … » Tu fermes les yeux tentant vraiment de te calmer avant de faire un malaise.
 


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Message Sujet: Re: it's painful, you're my remedy. | Solie.    it's painful, you're my remedy. | Solie.  Empty Mar 8 Jan - 0:28


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{ it's painful, you're my remedy }
crédit/ tumblr ✰ w/@mattie bowens
Tu te demandais ce que tu avais pu faire de mal dans l’une de tes vies antérieures pour devoir vivre cela. Ce n’étais pas une vie pour toi qui aimais tant vivre c’était là une foutue ironie. Tu avais toujours vécue pour les autres à t’en oublier parfois un peu trop puis le jour où tu t’étais décidé d’avancer un peu pour toi on te reprenais tout. La vie te reprenais tout et l’espoir avec. A aussi tu ne semblais pas y avoir le droit. Tu avais passée des journées entière à imaginer la sensation que laisserais la mort sur ton âme. Combien de fois tu t’étais imaginé les adieu et ton derniers souffles après un derniers sourire aux être que tu aimais ?!... Surement beaucoup trop ou bien pas assez alors que tu avais finalement accepté la fin tu ne te sentais pas prête. Tu ne semblais pas avoir assez de temps devant toi pour laisser tout l’amour qu’il te restait à donner et toutes ces choses que tu t’étais imaginé faire avant de mourir. Tu n’y avais le droit apparemment. Etais-ce là ta punition pour avoir sacrifier la vie de ta sœur pour rallonger un peu plus ton espérance de vie ?! Payer tu pour le mal qu’avais causé tes parent à un être qui n’avait rien demandé en venant au monde ?! Ce n’était surement là que la balance de l’univers, de l’existence qui s’équilibre. Une vie pour une autre cela semblait aussi simple sur le papier. En réalité tu en avais le cœur déchiré. Tout laissait un gout d’inachevé sur le fond de ton palais. Tu avais cette sensation que tout sonnais comme une dernière fois. Tu avais fait ton choix pourtant mais, tu en restais pas moins paralyser par une peur inexplicable. Tu étais prête à rendre les armes mais, la fin te brisé. Quitter les tiens d’anéantissais et pourtant tu n’en montrais rien. Tu te devais être forte une dernières fois pour eux. D’autant plus pour Mattie qui avait déjà bien trop donner pour toi. Bien trop perdue aussi. Ton bébé à toi, ta bouille blonde dans tes bras tu voulais vivre le moment avec elle. Lui donner tout l’amour et la force qu’il te restait pour te dire que jusqu’à la fin, tu avais été là… mais, elle avait raison tu avais l’impression de l’abandonner. Ah elle ne rendait pas les choses faciles. Elle est Jax c’était passer le mot. Il t’en brisé un peu plus le cœur de te dire que tu n’étais encore là qu’une égoïste. Jusque dans la mort, jusque bout. Tu les abandonné et pourtant tu avais l’impression de le faire pour leur bien. Pour ne plus leur causé ces haut et ces bas. Cette peine perpétuelle et cette peur. Tu voulais les libérer. Te libérer. Comment lui dire qu’elle avait tort alors qu’elle avait raison. Tu aurais tellement voulue que les choses soit plus simple. Différentes. Tu ne dis rien n’ayant pas le courage de relever, n’ayant pas le courage de contredire ces paroles qui raisonne dans ton cœur à t’en mettre les larmes aux yeux. Tu l’étouffes ce sanglot. Tu les retiens ces larmes. Tu dois être forte. Forte pour vous deux. Ces larmes qui te prennes au cœur et qui te secoues et tu t’en veux. La culpabilité qui te ronge et malgré tout, tu n’as pas changé d’avis. Malgré tout tu ne te voie pas resté au détriment de la vie de ta petite sœur. Pas encore une fois. « Chuut ma belle, ne t’en fait pas… » Que tu la berces alors que ces sanglots dans tes bras tu les contiens. Tu carasses ces cheveux pour tenter de l’apaisé. Tu voudrais lui dire que tout vas bien mais, tu ne veux pas lui mentir. Elle avait malheureusement raison pour vos parents mais, toi vivante tu ferais en sorte qu’elle ne soit pas laissé seule et ça, tu voulais qu’elle le sache. « Tu sais Mattie… je n’arrête pas de me battre je décide juste de me laisser partir dignement, je suis épuisées…  » tu sais que tes mots n’étaient probablement pas ceux qu’elles voulaient entendre mais, tu te devais de lui dire la vérité. « Rien avoir avec ta grossesses Mattie… c’est moi, j’ai pris ma décision depuis longtemps, depuis la dernière fois… Tu n’as pas à choisir entre moi et le bébé… tu te choisis toi Mattie, et si tu ne le fait pas et bien je le fait pour toi !! Tu as le droit à ta vie, tu m’as déjà assez donné !! » Une larme qui perles sur ta joue que tu effaces immédiatement de ta main libre. Pourquoi l’amour aller de pair avec le chagrin ?! Pourquoi le monde n’était pas que beauté ?! Pourquoi il fallait toujours qu’il y est de la souffrance… Des questions qui n’auraient jamais de réponse. « Les parents j’en fais mon affaire, tu m’entends !! Je ne suis pas encore partie… et tu ne seras pas seule, il y aura Jax… et le Papa, non ?! J’en fais mon affaire de mon vivant s’il t’abandonne lui !! J’ai encore un peu de force pour protégé ma petite sœur comme même !! » Voilà que les larmes tu ne les contrôle pas, elles tombent d’elles même. Silencieuse. Tu serres ta moitié dans tes bras aussi fort que tu le peux. Ton visage que tu plonges dans ces cheveux pour te réconforté de sa douce odeur. « …et arrêtes de dire que tu m’as abandonné tu veux !! Ce n’est pas le cas… je t’aime ma belle, tu le sais ça ?! » Puis tu ne dis plus rien, tu as tout dit. Tu y a laissais ton cœur au même rythme que tes larmes que tu ne retiens plus.  
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