SAVE THE QUEENS
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 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)

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Message Sujet: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 2:23

save the queens ---- / Elijah Marsh

24 ans ---- / Ace of spades ---- / Will Higginson

identité complète Elijah, une barcarolle aux fragrances fébriles. Le parfum enivrant des épices du proche orient, le mémento d'un nom prophète. Une ironie qui écorche et qui damne ce libre penseur que tu es. Tes yeux, deux billes d'eau glacée et ta peau mordorée élèvent ce coeur de métissage que tu es. Celui que tu dresses avec fierté et qui invoque inlassablement ton blase. Ton nom, lui,  Marsh est l'écho de ce qui n'est pas tient. Un titre d'emprunt qui te colle à la peau, qui brûle cet épiderme qu'on scelle à celui d'un autre. lieu de naissance et origines T'es né un soir brûlant d'été, le 23 Août 1993 à Nazareth, en Israël. Une Galilée aux mille et une saveurs, aux mille et une couleurs qui n'a d'ancrage dans tes pensées que celle d'une ombre sur de la chair. Ton existence s'est accrochée, elle, aux vestiges de la ville lumière. D'un pays à la liberté insolente. La France. Paris et son tumulte. Paris et ses baisers passionnés. Paris et frivolités. Paris, tout simplement. Toi tu es tout ça, ce chic et ce choc, cigarette au bord des lèvres, prunelles tantôt assassines tantôt rieuses. études ou métier Une esquisse, un fusain, ton métier c'est la chance dévorante du débutant. En réalité tu n'as jamais trop compris. Il a suffit de quelques feuilles blanches gribouillées pour que ça te tombe dessus. Oui parce que le hasard ne te caresse pas, il te heurte. T'es devenu illustrateur , pas par passion, seulement parce que tes doigts en sont capables. Tu fais de la fiction une réalité, tu élabores des rêves et des idées. orientation sexuelle Pansexuel, tu aimes la chair, les âmes nébuleuses et sibyllines. Peu importe le sexe, tu fonctionnes par pulsion non par circonspection. statut civil Est ce que t'es en couple ? La définition sous entendant une forme d'attachement il est clair que ce n'est pas ton cas. Toi, on ne t'arrime et ne t'enchaîne à personne. Tu es là où les alizés te mènent. Ces corps sont tiens seulement parce que tu les laisses dessiner les courbes de ta peau dorée. Jusqu'à quand ? Ils savent que demain est fragile, que demain est fatal, que demain est peut être inexistant tout simplement.  pi, scénario ou prélien Personnage inventé

traits de caractère Toi t'es le spectre, celui qu'on perçoit sans jamais réussir à le saisir. Tantôt une chimère, tantôt une menace, t'es qu'une enveloppe charnelle en somme. Celle qui passe dans les couloirs comme une ombre qu'on peine à freiner. On dit que tu dégages une espèce d'aura électrique que tu n'as pas demandé, de celle qui attise, de celle qui transperce. Tête brûlée ou primaire désinvolte, tu peux être aussi respectueux qu'insolent. Te contenter du strict minimum pour ceux qui t'indiffèrent ou supplicier pour ceux auxquels tu tiens. Tu es à la fois l'homme mystérieux, le calme avant la tempête, t'es le froid glacial qui cache un sang chaud évident. À côté de ça tu traînes ce petit côté enfantin, ce sourire salement impertinent qui s'affiche régulièrement sur tes lippes. T'es effrontée et la manipulation est un art que tu manies habilement. T'es un électron libre, tu abats les cartes en suivant exclusivement tes propres règles. Tu as le charisme des anges et l'indécence du démon.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01/ Nazareth, Israël (L'éclosion) : - à une époque où l'amour n'était qu'une délectable utopie -

Elle était faite de la même matière que les rêves. Douce et délicate. Il était fait de la même matière que les songes, délirant et fiévreux. Le bel oiseau de nuit, celui aux ailes homériques, qui fascinent et qui frappent. L'apologie de la beauté profane, celle qui fait autant de bien que de mal. Elle ? Quel autre choix avait-elle que d'être une martyre de ce carnage ? Une oeillade a suffit à la mettre à genoux face à cet être insoumis, un regard a suffit à faire de cet éphèbe un être écorché face à cette fragilité de porcelaine. Un instant de grâce, une secousse Divine, peu importe la substance tant que celle ci est inéluctablement mortelle. Les vents contraires sont faits pour se heurter, se désarmer encore et encore voilà pourquoi cette page est si froissée. Elle a subi les affres du temps, les évidences qu'imposent une antinomie. Ils étaient faits l'un pour l'autre, tellement qu'ils se sont perdus dans les méandres de cet amour incongru. Lui, l'enfant terrible, l'électron libre qui s'élève dans la mélodie insoumise, insolente. Elle, la poupée gracile aux lèvres rosées et à la peau dorée. Cette beauté sauvage du Moyen-Orient. C'était presque risible, presque trop fracassant. Chronos garde encore en son sein leurs rires étouffés et leurs baisers salés. Est ce qu'elle se souvient de cette expression qui a signé sa déchéance ? Éclater en sanglot. Elle a toujours eu un faible pour cette expression. On n'éclate jamais de faim ou de froid. En revanche, on éclate de rire ou en sanglots. Il est des sentiments qui justifient qu'on vole en éclats. Leur relation était de celle là, de celle qui brise, qui embrase. Personne n'y a cru et ils se sont nourris de cette amertume, de ces voiles de médisances. Quelques mois, quelques années ... la durée ne fait pas l'intensité. Ils étaient ce qu'on appelle deux âmes voués à s'exécrer à force de trop s'aimer. Et c'est là ou tu es apparu, toi l'ange déchu, toi le fruit de cette irrévérence. Seulement comment retient-on la violence d'un mistral ? Il filtre entre des doigts déjà condamnés, il s'évapore comme un badinage d'été, une idylle morte née. Il était parti. Lui l'enfant sauvage, le spectre saisissant insaisissable. Toi ? Tu es l'héritage de son être tout entier, de sa peau dorée, de ses ailes désincarnées, de sa liberté à crever. T'es le don du démon, t'es le baiser du diable.

02/ Montmartre, France : - 17 Octobre 2008 - (l'élévation)

Une citation dit qu'on a des souvenirs de villes comme on a des souvenirs d’amours. Un dogme, la substance même de ton existence. Cela fait maintenant plusieurs années que ton corps révolté a foulé le sol français, et plus spécialement la ville lumière. À l'instant même où la brise légère a caressé ton visage tu as goûté aux plaisirs cartésiens de cette capitale des plaisances. Une extase propre à Paris, propre à l'odeur des croissants chauds sur les terrasses des cafés et aux ombres furtives des passants pressés. Paris. La ville de l'Amour, la Somptueuse. Elle représente tout ce que les fanatiques religieux du monde détestent : Consumer la vie au point de l'en faire crever. Une tasse de café parfumé, l'odeur des croissants brûlants, de belles femmes en robes courtes qui sourient librement, l'onctuosité d'un pain chaud et doré, ce délicieux nectar appelé vin, partagé entre les tintements de verres et les rires grossiers, la fragrance des parfums chics sur les poupées aux cils de biche, les enfants qui étourdissent le jardin du Luxembourg, le droit de ne pas croire en Dieu, de ne pas s’inquiéter des calories, de flirter, fumer, profiter du sexe hors mariage, prendre des vacances, lire des tribunes ou quelques mots érotiques, s'instruire en toute insouciance, rire avec insolence, grogner comme seuls les parisiens savent le faire,  railler les religieux, les athées, les hommes politiques mais surtout rire de ce qu'on est et de ce qu'on n'est pas. Et surtout, surtout, vivre, vivre à en crever au delà des inquiétudes, avec impertinence, avec une putain d'inconstance.

Toi t'es la personnification même de cette ville. L'interdit, l'insolence, le chic et le choc, la fièvre, le chaos et la lumière, des invraisemblances propres à cette cité devenue tienne. Cette ville lumière, tu fais parti de ses monuments mythiques, de ses passants impatients, de ses métros défoncés, de ces nuages blanchâtres qui sortent des lèvres de ces fumeurs invétérés. Paris tu l'as usé à force de trop l'aimer. Montmartre, ses artistes, cette nostalgie d'un instant suspendu dans le temps, une photographie en noir et blanc qui écorche les coeurs et s'ancre sur les peaux. Ses amants, ceux qui gueulent leur amour à la gueule des opprimés, des puritains, des inhibés, qui cadenassent l'art abstrait, qui écrivent sur les murs le droit à leur liberté. La basilique Sacré Coeur, le Louvre, les Beaux-Arts, ces architectures d'élégance, de délicatesse qui ont vu naître les espoirs de demain, les affranchis, les marginaux. Paris. C'est plus qu'une ville, plus que des réminiscences, plus qu'une utopie, c'est un lieu emblématique du passé, du présent et sans aucun doute du futur. Toi tu es ce parisien qui traîne les pieds la clope au bec sous prétexte qu'il se fout d'être un parmi tant d'autres. Tu es cette outrecuidance incarnée, cette impertinence sublimée. Tu fais parti de ceux qu'on appelle "les parisiens" et non plus "les français". Tu es de cet ère où les mots, les actes n'ont plus de limite que celles qu'on leur donne. T'es la chimère de la jeunesse irrévérencieuse, audacieuse, orgueilleuse, prétentieuse et pourtant tellement, tellement précieuse. Oui, parce qu'être parisien c'est être cet ombre qu'on s'arrache, qu'on désire jusqu'à plus soif. C'est être l'insaisissable, c'est être un noctambule sans trop de foi sans trop de loi.

03/ Rue de Rivoli, Paris, 2016  (la damnation)


Imperturbé, imperturbable. Damné, damnable. Oui, t’étais d'une humeur massacrante ce soir. Un effet domino que tu dois aux dégénérés qui pullulent le lieu de ton travail. Ordinairement tu tentes de maîtriser cette rage impétueuse qui te dévore les entrailles parce que tu sais que cette fièvre tu l'imploseras ailleurs. Entre les draps froissés d'un lit défoncé. Une méthode lubrique qui te permet d'assouvir tes pulsions premières contre une chair tremblante de désir, tendue à l'extrême contre ton corps assoiffé. Ce soir n'échappe pas à la règle mais cette fois c'est plus matériel, plus sexuel que spirituel. Les soupirs murmurés au creux de ton oreille, ses hanches exaltées, la sensualité mélangé à la lascivité. Un échange dont tu te satisfais depuis quelques mois, suffisamment pour rester, ce soir encore du moins. C’est comme une sorte de havre de paix, l'unique endroit où tes paupières goûtent à un apaisement éphémère. Et pourtant tu sais que cette enveloppe charnelle, ce luxe corporel n'est pas suffisant à enrayer toute cette effervescence qui t'anime. Tes doigts tachés encerclent ce verre que l'on te tend. Tes prunelles ne se lèvent même pas sur cet homme qui te sert, désinvolte tu es. La voix de ta partenaire s'élève. Cette créature, la seule ayant droit de ses phalanges sur ton épiderme brûlant, celle qui t’avait proposé cette soirée d'une voix presque tremblante, espérant l'inespéré. Elle le savait, tu étais capable de disparaître à tout moment et cette soirée n'était en rien synonyme de complaisance ou d'une intimité partagée. Ton acceptation est due à ce sourire figé, le sien, cette fragilité tantôt délicate, tantôt tumultueuse qu'elle tentait de dissimuler. Voilà ce qui illustre cet intérêt que tu acceptes de lui offrir, à elle et non pas à une autre, sachant que là où elle s'accroche toi tu réprouves. Tes prunelles passent de ton portable à la porte de sortie, douce aspiration. “T'es ... très beau ce soir” Ce compliment elle ne sait pas comment le formuler, elle craint ta réaction, les mots s'écrasent presque dans sa gorge alors que ses joues rosées trahissent sa pseudo maladresse. Tes iris aussi bleues que deux litres d'eau glacée se plantent dans les siennes alors qu'un imperceptible sourire filtre de tes lèvres charnues. Tu l'apaises même si tu ne dis rien, tu n'as rien à dire de toutes les manières. Ses sentiments ne sont pas tiens, elle le sait. T'es vide de tout attachement. Rien, l'inconsistance d'un coeur sec et d'une bestialité exaltée. Tu tournes la tête et tu en profites pour sortir une clope de ton paquet avec une désinvolture qui t'est propre. Tu la glisses entre tes lippes rosées alors que tes mains allument le bout. Tu inspires, tu exhales, cette fumée blanchâtre que tu apprécies sans modération aucune. Tes phalanges finissent par se glisser dans tes cheveux.  “J'apprécie cette odeur. Elle me rappelle un peu ...” Tu n'entends pas la fin de sa phrase, tu la vois simplement porter à sa bouche une cigarette mentholée d'un geste trop hésitant pour être assuré. Tu portes le liquide ambré de ton verre à tes lèvres, appréciant la chaleur du liquide dans ta trachée, l'amertume sur ton palais, sur ta langue glacée. Pas mal Tes prunelles mirifiques balayent la pièce comme si elle n'était faite que d'une douce transparence. Tu finis d'une traite ton verre, ta mâchoire contractée, tes traits peints dans une indifférence totale.  “La musique est excellente” Incapable de faire semblant tu ne daignes pas lui répondre. Ton corps tout entier se décolle du bar désireux de mettre fin à ce calvaire que tu n'estimes pas tien. Une main engouffrée dans la poche de ton chino, l'autre en train de martyriser cette croix que tu portes autour de ta nuque, symbole d'un passé presque oublié, tu t'éclipses. T'es comme un foutu vent incapable à maîtriser, incapable de saisir. Un pas, deux, tu ne t'arrêtes pas. Tu pourrais attendre Azilis mais tu ne le fais pas, t'es pas de ceux qui attendent quoi que ce soit. Tu te déplaces avec l'agilité et la grâce d'un fauve parmi les corps déchainés. C'est seulement le lendemain que tu comprends qu'une seconde suffit. Une soirée. Une nuit, peu importe. Azilis n'était pas là les heures suivantes, ni mêmes les autres d'ailleurs. C'est sur du papier froissé que tu as appris qu'au delà d'un gouffre sentimental c'était tout autre chose qui vous séparait maintenant. La vie, tout simplement. Elle n'était plus. Tes doigts se crispaient contre ce mug qui contenait un café maintenant bien trop froid. Ta désertion avait eu un prix. Le sien.
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save the queens ---- / BEHIND THE MASK

Aéliah/    ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2480631781   ans ---- / rpgiste

ville Rijeka (Croatie)  études ou métier Étudiante communication/journalisme avis général sur le forum ça semble être une petite pépite  ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3227196488  le détail qui t'a fait craquer la présence du chatou  Arrow  fréquence de connexion 3/7 le mot de la fin  ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3227196488

Code:
[b]Will Higginson[/b] / [i]Elijah Marsh[/i]
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Eros Kidd;

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Eros Kidd



layson
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skadden, strauss et knollys
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29


b r y n n / k u r t i s / e l i s a / b i l l i e
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 2:28

j'kiffe le blase ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 786776605
bienvenue à la maison et courage pour ta fiche ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2480631781

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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 4:01

t'es beaucoup trop beau, il va falloir que tu m'aides à trouver un nouveau visage à mon scénario du coup. ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2480631781
bienvenue. ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3227196488

j'adore le pseudo. ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3176379322
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 4:15

▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 697000959 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 1774268211
C'est beau par ici. ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2480631781
Hâte d'en savoir plus sur ton sexy Elijah ! ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 4113627247 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3794924939
En tout cas, bienvenue chez toi ! ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 805256838 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 225861324 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2480631781
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 7:01

mon bébé
mon chatou
si heureuse de te revoir dans le rang des rpgistes ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 697000959
▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 697000959
je t’aime et elijah il est parfait ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 4113627247
hâte hâte hâte ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3227196488
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 8:29

Le pseudo, le vava ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 697000959
Bienvenue par ici ! ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3227196488
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 9:02

ce dieu. ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 1774268211
bienvenue à la maison. ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2746119247
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 9:11

GOSH ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 1505825564 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 697000959
pseudo, vava... je fond ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 786776605
ouelcome par ici ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 2371390455 ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 625796518
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 9:38

L'avatar quoi ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 697000959
Bienvenue ici et vite cette fiche vide fait me fait peine ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 917228000
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Message Sujet: Re: ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah)   ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) Empty Jeu 6 Sep - 12:28

Welcome ▸ Et tes rêves se brisent sous mes phalanges (Elijah) 3794924939
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