SAVE THE QUEENS
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Message Sujet: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 12:11

save the queens ---- / ISAAC BLACKHEART

24 ans ---- / ace of spades ---- / tom webb

identité complète / isaac eugene blackheart - un nom à l'image du reste ; ça commence sur du biblique et ça s'achève sur un mauvais présage. lieu de naissance et origines / middle of nowhere, arkansas, usa. plus précisément hoxie, population deux : isaac et son ennui. red-blooded american, il a son premier amendement dans le coeur et utilise 'y'all' avec une excédante régularité. études ou métier / (pancake king south of flushing) cuistot beau parleur d'un café hype du queens effervescent. iz manie la spatule avec une grâce masculine perfectionnée sur six ans d'expérience, d'abord dans l'arkansas avant de mettre sa pâte à pancake au service de la grosse pomme. orientation sexuelle / (hétéro) iz est bien trop chrétien pour quoi que ce soit d'autre que girlsgirlsgirls. contrairement aux idées reçues, ce n'est pas une question de tolérance mais tout juste d'esthétique. il aime la spiritualité des longs cheveux sur son oreiller, le mysticisme impénétrable du beau sexe quand ses draps se font confessionnal. le dévot a besoin de prier au nom d'une cause plus grande que lui et quand il pose les yeux sur sa mère ou sur dee, ça ne laisse aucun putain de doute : dieu est une femme.  statut civil / (célibataire) il papillonne, il ne s'habitue pas, il passe à autre chose. un de ceux qui préfèrent la chasse, on secoue la tête sur son passage, "pas un gars pour toi". pourtant, elles tombent toutes. et elles disparaissent, peu de temps après. il y a les figurantes, les sporadiques, les revenantes. il y a celles pour la nuit, celles pour la semaine. et il y a celle. celle qui ne sera jamais à lui. celle qui l'a toujours trop été. pi, scénario ou prélien / inventé.

traits de caractère / charmeur, a le goût du risque, belliqueux à l'excès, loyal, paresseux, beau parleur, insolent, caustique, observateur, don juan de service, moqueur, ardent,  indépendant, utilise l'humour comme une arme, susceptible, auto-suffisant, flemmard, hypocrite, intuitif, impulsif, sûr de lui, oublieux, charmeur, protecteur, réaliste, frondeur, rentre-dedans, solaire ascendant tempétueux.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
as i lay dying (1930), william faulkner. il en souffre depuis la puberté. elles sont devenues familières. des migraines comme une guillotine, soudaines, toutes puissantes, annihilantes. claustrophobie dans sa propre boîte crânienne. le diagnostic est tombé alors qu'il avait treize ans : algie vasculaire de la face, plus communément appelée "migraine du suicide". souffrance chronique qui n'a jamais pu être ni expliquée, ni traitée. invariablement, lorsque la médecine moderne s'avère impuissante, la belle analyse d'hippocrate n'est rien d'autre que "attendre que ça passe", le haussement d'épaules verbal. alors, enfermé dans sa chambre, volets clos, il gémit sans s'entendre, serre les dents et les poings, ne supporte pas le son le plus infime, ou le poids de sa propre peau. il en ressort deux heures, six heures plus tard - dans le pire des cas, le lendemain. les traits cadavériques. les lèvres tachées de sang à force d'avoir voulu retenir les hurlements derrière les dents, l'hémoglobine sur les doigts car les ongles fourragent désespérément dans l'épiderme. et si, contrairement aux souhaits répétés de son père, sa génération de bons à rien n'a pas été gratifiée d'une guerre mondiale, isaac se combat lui-même toutes les deux semaines – une fois par mois s'il est chanceux. ils se demandent tous pourquoi, au quotidien, il entretient ce goût si prononcé pour la douleur, la destruction. fools. c'est tout ce qu'il a jamais connu. il vit façon binaire, des plages de douleur entrecoupées de moments de répit, son existence sur un oscillogramme. isaac a toujours préféré la satisfaction du ici et maintenant aux plans d'avenir - et est-ce que ça te surprend vraiment ? quand il émerge, quand il se relève, il choisit de boire, crier, fumer, rire, déchirer, sauter, baiser, danser, apprendre, pouvoir  - car il sait qu'il vit à crédit. car, quand il émerge, il n'est jamais certain que ça ne soit pas pour la dernière fois.

other voices, other rooms (1948), truman capote. il n'a jamais vraiment dormi, isaac. il ne connaît pas le bonheur simple de se laisser mourir chez morphée, de s'absenter quelques heures de la réalité, de la terre, de son corps. il est né comme ça, maudit au berceau d'un problème chronique d'hyposommeil. il ne s'abandonne jamais totalement à ses draps. une partie de son conscient reste alerte. peut-être a-t-il peur de se réveiller en souffrance, affligé d'une de ses migraines bibliques. peut-être a-t-il juste peur. d'où les cernes. d'où la fatigue. d'où le regard distant, insaisissable, au réveil. toi aussi, tu ferais cette tête, si tu te souvenais presque à le perfection de chaque traumatisme ayant eu lieu dans tes rêves, chaque folie, chaque invention terrifiante, chaque mise en scène malsaine. si tu te rappelais, au petit matin, tout ce que tu as vécu cette nuit, tout ce que t'as connu, tout ce que t'as perdu au réveil. c'est pour ça qu'il ressent un tel besoin, paraissant anormal à ceux à qui il n'offre pas la vérité, de dormir accompagné. certes, chaque bruit, mouvement, respiration profonde le réveille, l'agite. mais il préfère ça qu'être réanimé par un plancher qui craque, une sirène au loin, l'eau dans les tuyaux. car, lorsqu'il dort auprès d'une silhouette, il y a ce calme sur leur visage, cette régularité dans les poumons – et par mimesis, iz se prend au jeu, ferme les paupières. et dort enfin, dort un peu.

to kill a mockingbird (1960), harper lee. isaac, de loin, c'est rien d'autre que du white trash, pur produit du sud américain, sans thune, sans éducation, sans père. c'est les stigmates de celui qui a connu l'alcool trop tôt, aimé les filles trop vite. le mec qui répare sa bécane détraquée tous les trois jours, james dean moderne, t-shirt blanc tâché de cambouis. qui paie en clins d'œil car il n'a rien dans les poches. c'est le southern drawl épais qui fait tinter les mots, l'accent venu d'un monde où le temps est gluant - chaque mot est paresseux, mielleux, languide. les taches de rousseur amenées par le soleil, qui appelle tout homme hombre et toute femme darlin'. après s'être battu contre lui pendant deux décennies, il a décidé d'embrasser son stéréotype. de s'en faire un allié. personne ne se méfie de lui, du démuni qui a grandi avec sa mère dans un trailer minuscule, branlant, honteux. du type qui n'a pas fait d'études. mais putain, il retient tout, iz. il laisse trainer ses oreilles, remplies de bourdonnements. il fait partie des meubles, il est celui qu'on oublie, qu'on ne voit même plus. et il collectionne les secrets des autres comme certains épinglent les papillons. as-tu remarqué comme les connards sont plus dociles, une punaise en pleine poitrine ?

cat on a hot tin roof (1955), tennessee williams. isaac, c’est un symbole. l’american dream qui a mal tourné. l’american dream tel qu’il est au réveil. iz, en terme de carriérisme, il est assis à l’opposé du spectre, déplié au soleil comme un chat démesuré, une clope entre les dents. son job n’a qu’une présence très marginale dans sa vie. veni vidi vici cinq jours sur sept, il pointe nonchalamment. enfile son tablier en coton crème - celui qui, avec ses cheveux tâchés de soleil et just the right light, lui a parfois valu une comparaison à apollon. il devient autre. isaac du café est isaac du reste, les angles en moins. les ombres à part. au taf, il est le breakfast angel du quartier - les pancakes sont moelleux, les blagues sont faciles et ils rient pourtant tous. le vrai iz, le seul qui ne fait pas semblant, est une créature de pleine lune. un loup-garou des bars, tout en ecchymoses et cœur brisé. il travaille, si pas tout à fait le strict minimum, du moins le strict nécessaire. ce qu’il faut pour vivre. pas suffisamment pour laisser apollon prendre toute la place. pas suffisamment pour mourir, lui, un petit peu. il est heureux. sans ambition. il a ses habitudes. ses facilités. il flirte avec les clients avec plaisir, réserve ses plus beaux sourires pour les quinquas penchées sur leur tasse de cappuccino. elles en ont terriblement plus besoin que n’importe quelle minette faisant grâce à son lit - pour lesquelles, du reste, il n’a jamais déployé moitié autant d’efforts. il retient les prénoms, les préférences culinaires, dessine des cœurs en chocolat fondu. il se sent utile. il fait attention. il n’a jamais rien souhaité de plus.

the heart is a lonely hunter (1940), carson mccullers. son hobby, ce sont les femmes. les voyelles sucrées, les gémissements étouffés, les silhouettes dans l'obscurité. les filles, il en est fou, il en est faux, il en est fort. il a la séduction facile, innée. les voyelles roulent sur sa langue avec lenteur et insistance. et toi, tu te laisses avoir, car il a les paupières mi-closes, le sourire chérubin, les doigts voletant jamais loin de ta hanche. et bien qu'il ne veuille rien de sérieux, même s'il se fait traiter de connard au bout du compte, il n'a rien à se reprocher - ou c'est ce qu'il aime à se dire. il est honnête, ne mène personne en bateau. comment pourrait-il, alors que sa réputation le précède. c'mon, honey, si t'as cru une seconde que la nuit finirait par une promesse, le problème vient de toi.

midnight in the garden of good and evil (1994), john berendt. depuis l’enfance, isaac entretient une relation amour-haine avec la religion. il se reconnait en elle : ce besoin d’auto-flagellation constante, le gothique décrépi, l'imagerie grise mais décadente. il a grandi sur les bancs râpeux de l’église baptiste de son quartier, traîné par sa maternelle. deux membres réfractaires d'une paroisse radicale, pour la simple raison que chez les blackheart, il n'y avait pas toujours de quoi se payer l'essence et c'était la seule où ils pouvaient se rendre à pieds. là-bas, chaque dimanche matin, on lui a apprenait la haine, le conservatisme, le mépris et, chaque dimanche soir, sa mère s’empressait de défaire les épines. pour ne garder que le meilleur, que l’amour pour the big man upstairs, cette relation père-fils d’adoration mêlée de crainte, celle qu’il n’aurait jamais pu trouver chez lui. et si son côté rationnel, cartésien, évolutionniste, est en conflit direct avec ses croyances, il a besoin de croire, iz. il a besoin de savoir qu’il y a une justice. qu’il y a une vie après la mort. qu’il existe un enfer où son père croupit, brûle, décante - et où, probablement d’ici quelques années, il ira le rejoindre. léché par les flammes, mais la tête haute. couronne d’épines lui crevant la nuque.

the sound and the fury (1929), william faulkner. c’est tombé comme un couperet clinique à treize piges. migraine suicide. suicide. deux syllabes latinisantes qui le suivent depuis lors. et peut-être que la seule raison pour laquelle il est toujours vivant, isaac, c’est le fait que la science attende de lui qu’il s’enfonce un colt entre les lèvres. esprit de contradiction : lorsque la douleur le relâche, il fait tout pour vivre. il vit trop fort, trop bruyamment, trop vite, il a l’existence brutale, la respiration violente. il se couche sur sa bécane, les gaz à fond, jusqu’à entendre le vent hurler entre ses côtes. il crie sur les toits à quatre heures du matin, danse sur le rebord du balcon, huit étages de vide sous les talons. il accepte les coups comme une offrande et les rend comme un cadeau, trace les constellations violettes sur son épiderme, s’est entiché du goût du sang. tout le monde prétend ne pas s’en rendre compte, mais sa façon de vivre, elle est terriblement suicidaire.

child of god (1973), cormac maccarthy. isaac, c'est un momma's boy à temps plein. la première chose qu'il a fait avec son salaire, c'est installer sa mère dans un appartement moins étroit que leur trailer. même si ça signifiait se passer de nouvelles fringues et de coronas pendant trois ans. c'est pas du mauvais goût, c’est pas du kitsch, juste une question de survie. en grandissant, elle était la seule personne sur qui il pouvait compter, la seule constante. le seul adulte qui tenait droit, sans béquille, à qui il aurait voulu un jour ressembler. mais il a compris. il a fini par comprendre. que ce n'est pas lui qui avait besoin d'elle, mais elle qui avait besoin de lui. que s'il ne la protégeait pas, elle allait s'émietter au soleil, faillir sous les mots d'un mari cruel, s'agenouiller sous le poids des dettes. et il l'aime sa mère, putain comme il l'aime. il lui dit, souvent, la couvre d'attentions, s'occupe d'elle, la berce, la borde. elle s'est remariée, depuis. elle réapprend le bonheur - et il ne devrait pas être si amer à l'idée qu'elle ait trouvé un homme décent avec qui refaire sa vie. il sait qu'il devrait en être reconnaissant, couvrir cet homme de gratitude et putain, il le fait. du mieux qu'il peut. mais il y a une partie de lui qui meurt un peu chaque jour de savoir que sa mère, cette divinité du quotidien au pied de laquelle il dépose chaque petite victoire comme une offrande, n'a plus autant besoin de lui qu'il a besoin d'elle.

a good man is hard to find (1953), flannery o'connor. et de l'autre côté du code génétique, il y a son père. le connard originel. qui utilisait ses poings comme argument final. qui a souvent levé la main sur son fils, mais ne la lui a jamais tendue. un homme cruel, vide de sens, vide de sang – car c'était toujours celui d'isaac qui coulait, alors que leurs deux peaux finissaient craquelées sous le coup de la colère. mais il ne disait rien, iz. il mordait sa langue. car tant qu'il ne touchait pas à sa femme, ce n'était pas si grave. car tant qu'il ne touchait pas à sa femme, il n'était pas vraiment un monstre, pas vrai ? et isaac, dans le fond, il l'avait cherché, il avait été insolent, il avait répondu, pas vrai ? et il n'avait pas le droit de se plaindre, car autour de lui, il y avait des orphelins, des papas en prison - et quelques coups, ce n'était rien, en comparaison, ça ne valait pas un mot, pas une larme. mort il y a six ans, son père est poussière maintenant. il croupit sous terre, là où il aurait toujours dû rester. s'étant débarrassé de toutes les possessions de son géniteur, il n'y a que deux choses qu'isaac en garde : en premier lieu, le patronyme. blackheart, la menace, l'avertissement. tragiquement prophète. une lignée d'hommes qui ne savent pas aimer, ou aiment trop, trop fort, trop mal, trop à la fois. la seconde, c'est la vérité par les poings. la rage qui bout entre les phalanges, qui échauffe l'épiderme. mais c'est pas un connard, isaac, pas ce genre de connard du moins. alors il attend d'être seul, et envoie son poing dans le mur. et si ça ne suffit pas, il trouve un crétin, n'importe lequel. il joue avec lui comme un chat avec une souris, souffle dans sa nuque jusqu'à ce que le crétin frappe en premier. jusqu'à ce que la fatigue l'emporte sur le désarroi, jusqu'à voir des violettes lui pousser sur la mâchoire, les bras, les mains. quelle ironie. le manuel aux doigts abîmés, les globules constamment à fleur de peau.

the violent bear it away (1960), flannery o'connor.
il a une belle gueule, iz, il a la langue acérée, la peau immatérielle qui glisse entre les mailles du filet. et parfois, juste parfois, il le voit. ce connard qu'il aurait pu être, qu'il aurait pu devenir, s'il laissait parler son 'ça' freudien. il le voit, ce monstre contre qui il se bat chaque jour. ce mec suffisant, aimant l'odeur du sang et le silence des femmes. il lui fait peur ce type, mais il sait qu'il a le gène en lui, qu'il n'est jamais bien loin, transmis par un père violent, par une terre hostile. il fait tout pour le museler, mais il le sent de plus en plus souvent contrôler sa langue et faire danser ses doigts. son alter-ego, son 'lui' parallèle, celui qui aurait existé dans un univers sans conditions, sans comptes à rendre, sans sa mère et sa bande, son amarrage à la réalité. réveillé, dieu merci en peu d'occasions, par l'alcool, le désespoir, la colère. il le hait. c'est ce connard qui l'a poussé dans les draps de sa meilleure amie. c'est ce connard qui l'a allongée sur ses draps. et si c'est ce connard qui s'endort avec la silhouette gracile, c'est bel et bien isaac qui se réveille avec un long cheveux cuivré autour de son poignet et une chape de culpabilité contre les épaules. tu l'as peut-être aperçu, l'espace d'une seconde, au détour d'une parole blessante, d'un regard glacial - vite balayé par des excuses, des caresses, des mots doux. le feu et le gel, ses deux seules positions sociales.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK

ivy ---- / 23 ans ---- / rpgiste

ville / belgique études ou métier / littérature et linguistique avis général sur le forum / a+ le détail qui t'a fait craquer / la localisation à 100% fréquence de connexion / 5/7 mais ça peut varier méchamment le mot de la fin / + le moodboard pour les visuels  — southern gothic. 3476085353   


Code:
[b]tom webb[/b] / [i]isaac blackheart[/i]
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 12:14

perfection — southern gothic. 1774268211 — southern gothic. 1774268211 — southern gothic. 1774268211 — southern gothic. 1774268211
le vava + la plume, de ce que j'ai commencé à lire — southern gothic. 697000959 — southern gothic. 1774268211 le personnage a l'air terrible — southern gothic. 3227196488
bienvenuuuue beauté — southern gothic. 3227196488
je viendrai te quémander un lien — southern gothic. 2465598603
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 12:15

GOSH — southern gothic. 1774268211 — southern gothic. 1505825564 — southern gothic. 697000959
TOM MODE GROUPIE ON — southern gothic. 786776605
Quelle jolie plume en plus — southern gothic. 2470315465
Ouelcome par ici... — southern gothic. 2465598603
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 12:28

MAIS OMG
j'ai le droit d'être amoureuse ? c'est magnifiquement écrit  — southern gothic. 697000959 et que dire de ce choix d'avatar  — southern gothic. 3176379322 trop de perfection pour mes yeux  — southern gothic. 1505825564
bienvenue à la maison mon chat et j'vais réfléchir avec qui j'pourrais venir chercher un lien  — southern gothic. 3794924939  — southern gothic. 3794924939  — southern gothic. 3794924939
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 12:29

Bienvenue — southern gothic. 3176379322
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 12:56

cette perfection canonique.
je meurs de retrouver mon absolu bb, mon precieuuuuux. — southern gothic. 3176379322
cette tête. cet aesthetic. cette plume de dingo.
le southern gothic partout.
et toi.
toi.
toi — southern gothic. 3227196488
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 13:56

Tooooooom — southern gothic. 2470315465
Bienvenue ! Hâte de lire la suite de ta fiche
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 14:14

Je vais faire simple, j'adore. — southern gothic. 946831849
Bienvenue par ici petit Brick.

p.s. : ma meilleure amie souffre d'algie vasculaire de la face, c'est de famille, et je confirme que c'est un ptn de cauchemar.
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 14:23

cette plume — southern gothic. 697000959
bienvenue — southern gothic. 3794924939
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Message Sujet: Re: — southern gothic.   — southern gothic. Empty Dim 26 Aoû - 14:30

déjà, ton pseudo.
ensuite, ton avatar.
puis, ta plume.
enfin, ton personnage.

j'ai rarement trouvé un personnage aussi réel, t'es bluffant. — southern gothic. 697000959

en lisant ta fiche, j'ai eu des idées avec absolument tous mes personnages, et même celui qui arrive bientôt (autant te dire, que tu n'échapperas pas à ma présence sur ta fiche de liens).
les différents aspects de ton beau font qu'il convient à toutes les situations, peut s'allier à tous les caractères, c'est .......  — southern gothic. 946831849

bienvenue. — southern gothic. 3227196488
en plus, j'pense qu'on fait à peu près les mêmes études toi et moi. — southern gothic. 2480631781
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