hey strangers (camaris)

〞hey stranger

(chez art), ft. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Il est tôt. Trop pour commencer la soirée. Ou peut être que celle de la veille ne s'est jamais terminée. Ses pas le mène sans appel vers l'appartement de Art, comme une envie de folie, comme un besoin d'retrouver sa clique. Il tente d'ailleurs de joindre son ami pour ne pas arriver comme un cheveu sur la soupe -pas que ça l'ai déjà dérangé jusque là ceci dit- mais ce dernier ne fourni aucune réponse. Cam a passé une journée d'une longueur abominable et l'ennuie le terrifie. Si son hyperactivité n'a jamais été diagnostiquer, il est clair qu'il ne perd pas une occasion de bouger. Il aime ne pas pouvoir penser, son esprit accaparer par les conneries, il n'a pas besoin de se centrer sur lui même et sa propre existence.

Le code en bas qu'il connait par cœur et qu'il compose de mémoire avant de monter les marches qui le sépare de la porte qu'il a si souvent poussé. Il frape une première fois mais la réponse tarde. Aller mec, ouvre, si t'es en train de baiser elle peut attendre un peu non ? Bros before Hoes. Le besoin constant de séduire qui l'poursuit lui. Art est du genre à changer de fille comme de chemise. L'concept le dérange pas plus que ça Cameron, après tout, chacun est libre de vivre sa sexualité comme il l'entend. Il lui arrive aussi d'butiner au gamin même s'il n'est pas très doué pour ça. Il s'attache et se détache trop vite. C'est comme un ouragan dans son cœur, ça l'possède pendant des jours, des semaines et ça finit par s'estomper avant même qu'il en arrive à ressentir quoi que ce soit de réel. La porte finit par s'ouvrir sur Sola et un sourire radieux qui glacer ses lèvres. Oh salut. c'est tout ce qu'il trouve à dire lui. Comme si ces mots avaient de toutes façons la moindre importance face à ce regard de béatitude qu'il pose sur elle. Ce n'est pas Art. Loin de là. C'est encore mieux.

Elle est belle putain. Interdite mais belle avec ces sourires trop franc pour ne pas le perturber.

Code - Brenda

Elle n’est jamais vraiment seule, Sola. Toujours entourée. Au travail ou à la coloc, elle a besoin de la présence et de la chaleur des autres pour rayonner. Mais parfois, parfois elle sature, parfois elle a besoin de prendre le large. Et quand elle se sent submergée, c’est chez son frère qu’elle vient se réfugier. Elle sait qu’elle y aura toujours une place, même s’il n’est pas toujours disponible, même s’il invite ses potes, ou une fille. C’est comme ça, entre eux. Mais en ce moment, en ce moment il y a quelque chose qui ne va pas, et elle n’arrive pas à mettre le doigt dessus. C’est comme une fausse note dans une symphonie. Elle voit bien que quelque chose ne tourne pas rond, et ça la tracasse. Il travaille, ce matin, mais sola est restée dormir puisqu’elle est en repos, ce qui est rare. Elle a la fâcheuse tendance à cumuler les heures supplémentaires et finit régulièrement sur les rotules. Elle a plus ou moins passé la journée à glander, s’étant mise en tête de regarder la première saison d’un manga qui lui faisait de l’œil depuis un moment. Plongée dans ce dernier, elle n’entend pas tout de suite la porte résonner. Elle entend cependant très bien la voix grave d’un homme, à travers l’entrée. Elle s’inquiète, dans un premier temps, avant de se rappeler qu’elle n’est pas chez elle et que c’est très certainement un des copains de son frère. Elle met son épisode en pause et se lève pour venir ouvrir, se retrouvant face à Cameron. Un sourire vient éclairer son visage. « Salut ! » qu’elle répond avec engouement. « Artie bosse, il finit dans une heure, je crois. » qu’elle dit en posant un doigt contre sa lèvre inférieur tout en essayant de se souvenir du planning de son jumeau. « Vous avez prévu un truc ? » qu’elle demande en ouvrant la porte un grand, l’incitant ainsi à rentrer. Elle s’efface légèrement en tirant sur le sweat d’Art, qu’elle a piquer ce matin. Elle porte un short en coton qui dépasse à peine sous le haut, bien trop grand pour elle. Ses pieds sont nus. Elle n’avait clairement pas prévu de voir du monde aujourd’hui.

〞hey stranger

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L'gamin sème le trouble partout où il va mais quand il se trouve en face de la jolie Solaris, y'a comme une réaction chimique qui s'expose à tout son être et le rend un peu hagard, un peu maladroit aussi -enfin, plus que d'habitude- parce que c'est elle qui vient jouer avec cet organe un peu passé de mode pour cette génération brisée, son cœur. Mal sapé, elle en reste néanmoins belle. Le pull trop grand qu'elle a du squatter à son frère et qui plante des courbes douces et avantageuses. Ces jeunes tout à fait découvertes par contre qu'il ne fixe pas trop longtemps par peur de passer pour un vieux pervers. Et quand elle lui raconte que son frère est partie, il réalise qu'elle a du l'entendre vociférer les mots moches, les mots qu'il utilise entre mec mais qu'il aurait peut être gardé pour lui s'il avait su. C'est fait maintenant.

Elle l'invite malgré tout à entrer dans l'appartement. Une seconde d'hésitation, il n'est certains d'avoir déjà été confronté à la présence de la belle seul en tête à tête. Il finit malgré tout par se laisser porter et entre dans la pièce qui sert d'entrée. pas vraiment. qu'il répond, le sourire aux lèvres. J'avais seulement envie de sortir. Se confronter au monde, à ses humeurs. Il est comme ça Cameron, il aime se frotter à toutes sortes de choses, son temps sans arrêt occupé, pris dans des conneries l'plus souvent. Il ne sait pas rester en place à ne rien faire, il a besoin d'bouger et de savourer la vie comme il aime le dire. Conscient que sa débauche ne sert qu'a planquer un trouble plus intérieur dont il ne parlera qu'à ses songes.

Plutôt du genre sans gêne, il vient s'installer sur le canapé d'son pote et fixe une seconde la télévision, il l'a apparemment coupé dans une journée glande. tu regardais quoi ? sa curiosité piquée au vif, lui qui l'imagine tout à fait se saisir de séries à l'eau de rose où les personnages sont tous de beaux clichés ambulant. Elle qui lui semble un peu fleur bleu. Ceci dit, il n'y a que l'image qu'elle lui renvoie de loin, parce qu'ils ne se connaissent pas vraiment, eux qui n'ont jamais tout à fait pris le temps de discuter.

Code - Brenda

» we might as well be strangers (finn)
» strangers again (carmen)